CHAPITRE DIX : MISSIONS EN ANGLETERRE ET EN SCANDINAVIE


"En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père, et ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement" [Jean 5:18].

"Ils étaient tous dans l'étonnement et glorifiaient Dieu, disant : Nous n'avons jamais rien vu de pareil" [Marc 2:12].

 

Guérison de Florence Nightingale [7 avril 1950]

"Dans ces derniers jours, Dieu s'est manifesté au milieu de nous par ses signes et ses miracles ... et le fait qu'il veut nous guérir et nous sauver devrait nous jeter tous dans ce sentiment d'urgente nécessité qui nous pousserait à rechercher cette guérison jusqu'à ce que nous la trouvions...

Florence Nightingale, l'arrière-petite-fille de Florence Nightingale [célèbre par son action auprès des blessés durant la guerre de Crimée de 1854 à 1855], ne pesait presque plus rien. Elle était dévorée par le cancer... Elle savait que nous ne pouvions pas venir en Afrique...

Le médecin lui avait dit qu'elle ne devait pas bouger, mais dès qu'elle a su que je viendrais en Angleterre, elle a pris l'avion jusqu'à Londres allongée sur un brancard ... Elle était tellement affaiblie qu'elle ne pouvait plus me parler. Il a fallu que quelqu'un prenne ses mains pour les mettre dans les miennes...

Elle pleurait... Elle n'avait plus que la peau sur les os... Elle était dans un état désespéré ! Et on l'avait amenée là sans même bien se préoccuper de savoir si je pourrais venir la voir.

... J'ai prié de tout mon cœur, et pendant que je priais, une colombe est venue se poser sur la fenêtre, et s'est mise à roucouler... Je venais juste de quitter l'aéroport. J'ai pensé qu'elle était apprivoisée, mais dès que je me suis relevé en disant "Amen", elle s'est envolée... Et tout à coup j'ai dit : "Vous savez ce que signifie la présence de cette colombe ? C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR: Tu ne mourras pas, mais tu vivras !" Aujourd'hui cette femme est vivante parce qu'elle a été poussée dans ses derniers retranchements... Le désespoir l'avait conduite à prendre position : vivre ou mourir. Et alors les choses se sont si bien agencées qu'elle est arrivée là-bas en même temps que moi."

["Footprints" p. 216, d'après "Desperation", § 127 à 134, 1er septembre 1963 à Jeffersonville, Indiana]

 

La guérison du Roi George VI d'Angleterre

"A Fort Wayne un homme d'affaires, Walt Amen, souffrait de sclérose en plaques et était alité depuis dix ans. Et à la suite d'une vision il avait été parfaitement guéri. C'était un ami du secrétaire particulier du Roi George. Et c'est ainsi que le Roi m'a écrit, me demandant de venir prier pour lui. A l'époque je n'avais pas pu y aller et j'avais téléphoné disant que je prierais pour lui, et que Dieu entendrait la prière tout aussi bien que là-bas.

Mais un autre télégramme m'a enjoint d'y aller aussitôt. J'y suis allé, le Seigneur l'a guéri. Auparavant il ne pouvait pas rester cinq minutes debout, mais dès le second jour je crois qu'il a fait ses dix-huit trous au golf. Et il n'a plus jamais eu d'ennui avec cela par la suite.

J'étais en Afrique quand il est mort [5 février 1952]. On avait décelé une petite tumeur au poumon, et on a décidé de l'opérer ... Et un caillot a atteint le cerveau et l'a tué instantanément."

["Footprints" p. 175, d'après "Testimony", 29 août 1953 à Chicago, Illinois]

 

En Scandinavie (1950)

Après quelques jours passés à visiter Londres puis Paris, William Branham et son équipe arrivèrent le 14 avril 1950 à Helsinki. La première réunion attira sept mille personnes et l'après-midi une file d'attente large de quatre personnes et longue de huit cents mètres se forma dans l'espoir d'obtenir une place assise. A Kuopio, au nord, le haut niveau de foi permit de nombreux miracles : ainsi la petite Viera Ihalainen [cf. ci-après], orpheline de guerre, fut libérée de ses béquilles et de son appareil orthopédique après avoir simplement touché le vêtement de W.Branham. Durant trois soirées, William Branham se contenta de prier brièvement pour chaque personne de la ligne de prière. A la fin de chaque réunion il y avait un tas de béquilles et de cannes abandonnées. Les frères Moore et Lindsay priaient le matin pour les malades, en particulier pour les sourds et les aveugles : une fois, sept ou huit furent guéris les uns après les autres.

La résurrection d'un jeune Finlandais tué lors d'un accident automobile [cf. ci-après] fut l'un des sommets de ce séjour en Finlande. L'Eglise d'Etat après une assemblée générale se prononça en faveur de la doctrine de la guérison divine. En Norvège par contre les autorités interdirent la prière pour les malades : deux cents pasteurs signèrent une lettre de protestation contre cette décision. En Suède, les réunions de Gotenburg [Goteborg], Orebro, Ornskoldsvik au milieu du mois de mai attirèrent des milliers de personnes à chaque réunion.

[D'après "A Man Sent From God" de Gordon Lindsay, Chapitre 22, p. 208 à 216]

 

La guérison de la petite Viera Ihalainen

"Lorsque je suis arrivé ce soir-là, on avait donné l'ordre que personne ne soit dans les rues, même simplement pour me parler. Je n'aime pas qu'on fasse cela. Mais il y avait une telle ruée, qu'on m'avait gardé dans une chambre.

Je me souviens, je suis passé entre deux rangs de soldats avec baïonnettes, et je suis entré dans le hall ... Là, une pauvre petite fille finnoise me regardait, elle croyait avoir mal fait, elle s'est mise à trembler. Je savais que cette enfant voulait me voir, elle était infirme, elle avait une courroie autour d'elle, une sorte de corset de cuir par-dessus l'épaule. Une de ses jambes était plus courte que l'autre, et elle ne pouvait pas s'en servir. Elle portait un appareil orthopédique et deux béquilles. J'ai remarqué ses cheveux ébouriffés et ses vêtements tout déchirés, j'ai appris plus tard qu'elle était orpheline de guerre. Par charité, on lui avait donné cet appareil.

Elle m'a regardé, puis a baissé la tête, puis m'a regardé à nouveau ; je lui ai dit : "Ma petite fille" ... elle ne pouvait pas me comprendre, et je lui ai fait signe, elle a souri et elle s'est avancée vers moi en balançant la jambe. Je suis resté immobile et je l'ai regardée. Quand elle a été près de moi, elle a posé ses béquilles, et je me suis demandé ce qu'elle allait faire ! Elle s'est accrochée à mon manteau et a embrassé ma poche. Mon cœur s'est brisé ; elle a écarté sa jupe, c'est une façon de saluer pour les petites filles de Finlande, elle m'a remercié et je l'ai regardée à nouveau et j'ai pensé : "O Dieu ! même si j'étais le plus grand hypocrite du monde, tu récompenserais cette petite fille pour une telle foi", et voulant m'en aller, j'ai eu une vision : la petite fille marchait normalement. Bien qu'elle ne comprît pas, je lui ai dit : "Ma petite fille, Jésus t'a guérie", et j'ai continué mon chemin.

Ce soir-là, des piles de béquilles ont été abandonnées, car le Seigneur a agi puissamment. J'avais terminé, quand j'ai décidé d'appeler encore une personne. Savez-vous qui c'était ? C'était justement cette petite fille qu'on a placée sur l'estrade. J'ai dit à l'interprète : "Dites exactement ce que je dis. Ma petite fille, là-bas à l'entrée, Jésus t'a guérie. Alors va t'asseoir tandis qu'on t'enlève cet appareil. Place les mains sur les hanches, et descends la main à mesure qu'ils enlèvent l'appareil, jusqu'à ce que tu sentes que ta jambe est de la même longueur que l'autre, puis viens me la montrer." Alors nous avons appelé quelqu'un d'autre en attendant. Quelques instants plus tard, elle est venue avec ses béquilles, tenant l'appareil, et courant aussi vite qu'elle pouvait, tout à fait normalement. Jésus-Christ l'avait guérie !"

["Monsieur, nous voulons voir Jésus", Renens, Suisse, cité dans "Biographie de William Branham" de André Morin, p. 202 et 203 ; "Perseverance", le 16.11.1963 soir, §11 à 37].

 

Le petit finlandais Kari Holma ressuscité

"Un jour, je visitais la Floride en train. J'ai eu une vision d'un petit garçon très pauvrement habillé, les cheveux coupés. Il avait été tué. Son petit pied avait traversé sa chaussette et était tout écrasé, il se tenait allongé sur le côté, au bord de la route. Il y avait beaucoup d'herbe verte, de grands rochers et beaucoup d'arbres, des sapins. J'ai continué ma route vers la Floride, j'ai vu le frère Bosworth, nous étions dans une grande foule comme celle-ci et je lui ai dit : "J'ai une vision inscrite ici dans ma Bible qui doit encore se produire (lorsque ces visions me viennent, je les écris)" ; et je lui ai décrit la scène en lui disant que le garçonnet serait guéri.

Tandis que je poursuivais mon périple, qui dura deux ans, à travers le pays, cette vision a été décrite à des milliers de personnes. Cela a été publié dans les journaux un peu partout en Amérique. Deux jours après avoir eu cette vision, je m'approchais de la grande tente, et un homme est venu à ma rencontre : "Frère Branham, je suis sûr que votre vision concerne mon petit garçon, il est là derrière, mort. Il est mort depuis ce matin. Il s'est noyé dans une écluse. Ah ! venez le voir, je ne veux pas que l'employé des pompes funèbres l'emporte." J'y suis allé avec quelques frères, mais, lorsque j'ai vu le petit garçon, ce n'était pas celui de la vision. Celui que j'avais vu avait huit ou neuf ans, alors que celui-ci en avait cinq. Le petit garçon que j'avais vu était très mal habillé, mais celui-ci était très bien habillé. Celui que j'avais vu avait des cheveux châtains, et celui-ci des cheveux noirs, droits. Ici, il n'y avait pas de rochers, pas d'herbe, pas d'arbres. Ce n'était pas là la vision. Alors j'ai prié pour le réconfort du père.

Environ deux ans plus tard, je me trouvais à Kuopio en Finlande, et plusieurs frères m'ont fait monter sur une tour d'observation, pour me montrer ce qu'il y avait à voir. Souvent, pendant les campagnes, je ne mange pas beaucoup, quelquefois je jeûne pendant quelques jours. Et justement, alors que j'avais jeûné pendant quatre ou cinq jours - je fais cela parce que la Parole dit que cette sorte de guérison se fait par le jeûne et la prière - j'ai dit à l'un de ceux qui me conduisaient : "Quelque chose va se produire." Je ne sais pas pourquoi, je suis descendu de la tour et j'ai rencontré un Anglais qui buvait et qui a demandé ce que l'on faisait là-haut. Je lui ai dit qu'on était en train de chanter des cantiques. "Oh, je ne crois pas à ces choses-là".

J'ai répliqué : "Vous devriez avoir honte" ; quelques instants plus tard, nous l'avons conduit à Jésus.

Nous avons regagné les voitures, et nous avons commencé à redescendre la route. Et, de la colline, à plusieurs kilomètres, j'ai vu les gens qui couraient et une voiture qui revenait : "C'est sûrement un accident". Vingt minutes plus tard nous sommes arrivés sur le lieu de l'accident...

Deux petits garçons, l'un âgé de neuf ans et l'autre de cinq ans venaient de s'engager sur la route lorsqu'une Ford a pris un virage rapidement et les a renversés. Le petit corps d'un des garçonnets a été projeté très haut avant de retomber dans l'herbe, il était encore là, un manteau posé sur lui. L'autre petit garçon respirait à peine, et a été conduit aussitôt à l'hôpital.

Trois cents personnes faisaient cercle autour du petit mort, et le maire de la ville était arrivé. On est allé chercher le père et la mère qui travaillaient très loin dans une ferme. Mes frères sont sortis ... et sont revenus me dire : "Allez le voir, frère Branham." ... Je ne voulais pas. Mon fils Billy avait justement cet âge-là... Il y avait longtemps que je n'étais pas rentré à la maison, et je ne voulais pas regarder ce garçon.

Après un moment, un frère insista : "Venez, frère Branham." Alors, finalement, je suis sorti de la voiture, et quand ils ont enlevé le manteau de dessus l'enfant, je l'ai regardé : ses petits yeux révulsés, sa langue pendante, son petit pied écrasé à travers la chaussette, ses chaussures arrachées et ses bras tout recroquevillés, ... et le sang sortait de ses oreilles. C'était horrible ; je me suis mis à pleurer, et j'ai voulu m'éloigner... J'ai senti quelqu'un mettre sa main sur mon épaule, j'ai pensé que c'était un frère, et je me suis retourné pour le voir, mais il n'y avait personne et la main était toujours sur mon épaule... Je me suis mis à marcher, mais la main me retenait. Voyez combien un homme peut être stupide. Nous ne comprenons pas les choses spirituelles. J'ai regardé le cadavre du petit garçon et j'ai dit à mon interprète : "Qu'on enlève à nouveau ce manteau." J'ai regardé ce visage ; il me semblait avoir déjà vu ce garçon quelque part. J'ai demandé à l'interprète : "Est-ce que ce petit garçon est venu à une réunion de prière ?" Personne ne le connaissait, mais il me semblait le connaître. J'ai voulu partir, mais la main m'a encore retenu. Je me suis arrêté et j'ai regardé : c'était le champ d'herbe, les rochers, les arbres, et il était là, les cheveux coupés courts ... son petit pied traversant la chaussette, tout parfaitement conforme à la vision.

Oh ! vous ne savez pas comme je me suis senti à cet instant-là ! Tous les diables, les démons de l'enfer n'y pouvaient rien. Dieu avait parlé. Oh ! quel sentiment, je savais ce qui allait se produire. Je me suis retourné vers les frères et je leur ai dit d'ouvrir leurs

Bibles...

"Regardez la page de garde, lisez." Ils ont lu la description du petit garçon. "Regardez-le, regardez les arbres, c'est le petit garçon que j'ai vu, il y a deux ans. AINSI PARLE L'ETERNEL. Si ce petit garçon n'est pas debout sur ses pieds dans cinq minutes, alors je suis un faux prophète. Oh ! quelle chose extraordinaire ! Restez immobiles" et j'ai parlé à l'auditoire.

Tous ceux qui étaient là n'ont pas voulu croire, je les ai vus se pousser du coude et dire : "C'est un fanatique !". Mais ce n'est pas leur incrédulité qui a empêché la chose d'arriver. Je me suis tourné exactement comme le Seigneur me l'avait dit, et j'ai prié : "Père Céleste, toi qui ne peux mentir, tu m'as montré il y a deux ans qu'il devait ressusciter. O Dieu ! entends la prière de ton serviteur. Je fais ce que le Père m'a dit de faire. "Celui qui croira en moi fera aussi les œuvres que je fais". Mort, tu ne peux le retenir plus longtemps, Dieu a parlé ! Laisse revenir cet enfant." Et l'enfant a crié, il s'est relevé, il regardait autour de lui...

Les gens se sont évanouis. C'est écrit ici et signé par le maire de la ville, par un notaire...

Ce miracle fut raconté à travers toute la Russie.

Lorsque nous arrivâmes près de la frontière, ce soir-là, il y avait des soldats russes qui se tenaient au garde à vous, pleins de respect. Quatre soldats finnois devaient m'accompagner à travers les rues de la ville, pour me permettre d'arriver au lieu de réunion. Ils se tenaient au garde-à-vous, saluant, les larmes coulant sur leurs joues. Mon interprète m'a raconté ce qu'ils me disaient : "Nous voulons recevoir un Dieu comme celui-là, nous croirons des choses comme celles-là." ...

Pourquoi le christianisme ne va-t-il pas bien ? C'est la faiblesse de la chair. Les prédicateurs ont peur de prendre Dieu au mot..."

["Monsieur, nous voulons voir Jésus", Renens, Suisse, cité dans "Biographie de William Branham" de André Morin, p. 198 et 201 ; "Footprints" p. 221 d'après "The Absolute", 30 décembre 1962 ; "Il en sera comme il m'a été dit", le 18.8.1950, §27 et s.]

 

[Gordon Lindsay qui était présent, reproduit dans "A Man Sent From God", p. 209 à 211, le témoignage du pasteur de Kuopio. Selon ce dernier, l'enfant a été conduit à l'hôpital : il reposait à l'arrière de la voiture sur les genoux de William Branham et de l'interprète, Miss Isaacson. Le pasteur, Gordon Lindsay et Jack Moore occupaient les sièges à l'avant. Le pouls et le cœur de l'enfant ne battaient plus ; il ne respirait plus. William Branham s'est alors agenouillé dans la voiture. Les frères Moore et Lindsay se sont joints à sa prière. Cinq minutes plus tard, à l'arrivée à l'hôpital, les yeux de l'enfant se sont ouverts. Le soir William Branham a dit au pasteur : "Ne vous en faites pas ! L'enfant qui était dans votre voiture vivra." L'enfant quitta l'hôpital trois jours plus tard.]

 

Le second petit garçon guéri

"J'ai oublié de vous parler du deuxième petit garçon écrasé sur la route et qui avait été conduit à l'hôpital. Après deux jours, il n'avait pas repris connaissance. Sa maman était dans tous ses états lorsqu'elle est venue me trouver à l'hôtel... Elle voulait que j'aille prier pour son garçon. Le lendemain, j'ai dit à cette maman et à son mari : "Que voulez-vous?"

"Allez guérir mon petit garçon." "Je ne peux pas."

"Mais vous avez guéri l'autre petit garçon."

"Ce n'est pas la même chose ; Dieu m'avait montré chez moi une vision à son sujet." "Alors ayez une autre vision pour mon petit garçon." Ah ! Ça, c'était une maman ! Que c'était beau.

"Malheureusement, je ne peux pas faire des visions, c'est Jésus qui les donne. Etes-vous chrétienne ?" "Non."

"Et votre mari ?" "Non !"

"Pourquoi ne devenez-vous pas chrétiens ? Si votre petit garçon meurt, il ira au ciel, car c'est un petit enfant, mais si vous mourez et que vous n'êtes pas chrétiens, vous ne le reverrez jamais, jamais plus. Ne voulez-vous pas être chrétiens ? En faisant cela, vous pourriez trouver grâce aux yeux de Dieu." Alors ils se sont agenouillés et ils se sont vraiment convertis. Le père a embrassé sa femme et ils sont retournés chez eux, mais la petite maman a dit : "Oh! maintenant, allez guérir notre garçon."

"Ma sœur, c'est contre les règles de cette campagne que je fasse une visite personnelle. Si on va chez l'un et non chez l'autre, cela crée des rancœurs. Si le Seigneur me conduit, alors c'est différent, mais je ne puis y aller ainsi. Allez chez vous ; Jésus peut me donner une vision dans cette chambre, aussi bien qu'il l'a fait il y a deux ans chez nous."

Elle m'a écouté puis m'a dit : "Alors ayez une vision !"

"Il se peut que Jésus ne me donne aucune vision, peut-être ne le fera-t-il pas, mais s'il le fait, je viendrai vous appeler." Elle est rentrée chez elle. Dix minutes plus tard le téléphone a sonné. L'interprète a pris l'appel : "Est-ce que frère Branham a reçu une vision ?"

"Non." Alors on a raccroché. Dix minutes plus tard, cela a recommencé.

Ce soir-là, lorsque je fus rentré chez moi, j'avais ma Bible sur mon cœur. Un frère était avec moi. Il m'a dit : "Billy, te rappelles-tu ces mauvais bonbons que nous avions achetés au Canada : goûte à ces deux petits morceaux de chocolat !"... Chacun se retira dans sa chambre...

Je me suis écrié : "Mon Père Céleste, un jour glorieux, Jésus viendra et renouvellera toutes choses. Oh ! Je t'aime Seigneur, tu es merveilleux, je t'aime de tout mon cœur, mais veux-tu être miséricordieux ?" J'ai entendu quelque chose. Il y avait sur une table un vase avec deux fleurs, l'une vers le Sud était à moitié penchée, l'autre penchait vers le Nord jusqu'en bas. Je me suis demandé d'où cela venait. J'ai regardé, et à côté de moi se tenait un ange, grand, avec une robe blanche, les cheveux noirs, le visage doux avec les bras croisés, et il me regardait : "Que t'a donné ton frère ?"

"Deux morceaux de chocolat."

"Mange-les".

Alors j'en ai pris un morceau, je l'ai mis dans ma bouche et je me suis mis à le manger, il avait bon goût. Juste à ce moment, la fleur qui penchait vers le Nord a fait un bruit et s'est redressée. Je me suis demandé : "Qu'est-ce que cela signifie ?"

Géographiquement, c'était exactement comme les deux garçons renversés, l'un au Sud, l'autre au Nord, et celui du Nord avait été ressuscité des morts.

"Mange l'autre morceau" a repris l'ange. Je l'ai mis dans ma bouche et je me suis mis à le manger. C'était très amer, je l'ai enlevé et j'ai entendu quelque chose, j'ai regardé l'autre fleur. "Mange" m'a répété l'ange. J'ai remis le chocolat dans la bouche et j'ai retenu ma respiration. Au moment précis où j'avalais, l'autre fleur s'est redressée à côté de la première. "Mais que signifie tout cela ?... Allez appeler la mère du petit garçon. Alléluia ! Dieu a entendu sa prière et le petit garçon sera guéri."

J'ai couru au téléphone ... et tout le monde s'est mis à crier et à courir. La mère du garçonnet était à l'hôpital où son enfant était mourant. Quand elle est venue au téléphone, elle a crié de toutes ses forces : "Frère Branham, le petit est revenu à lui et nous l'emmenons chez nous maintenant. Le docteur ne trouve plus rien de grave en lui." Louange soit à l'Eternel !

Est-ce à dire que j'ai eu quelque chose à faire dans cette guérison ? Non, c'est la prière de la maman qui a sauvé l'enfant. Moi, je n'ai fait que constater que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement."

["Monsieur, nous voulons voir Jésus", Renens, Suisse, cité dans "Biographie de William Branham" de André Morin, p. 204 et 206 ; "Il en sera comme il m'a été dit", le 18.8.1950, §40 et s.].

 

L'opposition au ministère de William Branham

Déjà une forte opposition commence à se manifester contre le ministère de William Branham.

Dans les années 50, d'autres évangélistes priaient pour les malades et obtenaient des résultats parfois aussi extraordinaires. Mais il était le seul à pouvoir proclamer, lors des campagnes de guérison, sa soumission aux directives de Dieu données au travers d'un Ange, le seul à manifester de façon parfaite le don de discernement en présence d'une Lumière Divine.

Certains ecclésiastiques l'ont accusé d'être soumis à un "démon familier", ou de pratiquer la télépathie démoniaque, ou encore d'être au service de Satan.

Ces attaques sont en elles-mêmes un accomplissement des Ecritures qui rapportent : "Le Fils ne peut rien faire par lui-même, mais seulement ce qu'il voit faire au père, et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait également. Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait" (Jean 5:19,20). "Celui qui croit en moi fera, lui aussi, les œuvres que moi je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais vers le Père" (Jean 14:12).

"Les Pharisiens ... dirent : Cet homme ne chasse les démons que par Béelzébul, le prince des démons" (Matthieu 12:24).

"S'ils ont surnommé le Maître de la maison Béelzébul, à combien plus forte raison surnommeront-ils ainsi les gens de sa maison !" (Matthieu 10:36).

"Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même... Mais si c'est par l'Esprit de Dieu , que moi, je chasse les démons, le royaume de Dieu est donc parvenu jusqu'à vous... C'est pourquoi je vous dis... quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné, mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir" (Matthieu 12:26 à 32).

Quant au "don de discernement", William Branham a rappelé systématiquement tout au long de son ministère qu'il s'agit :

  • d'une caractéristique de la "Parole de Dieu" laquelle est décrite dans la Bible comme étant "vivante et efficace jusqu'à partager âmes et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n'est cachée devant lui, mais tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte" [Hébreux 4 :12-13] ;
  • donc d'une caractéristique de Jésus-Christ, car il est la Parole faite chair : ce don a été manifesté par Jésus quand il a discerné quel était le nom de Simon et celui de son père Jonas [Jean 1:42], que Nathanaël avait été sous le figuier [Jean 1:48], que la Samaritaine avaient eu cinq maris [Jean 5:18] ; dans ces trois cas, ce signe avait suffi aux témoins pour croire que Jésus était le Prophète attendu ; par ce même don, Jésus savait "ce qui était dans l'homme" ;
  • d'une caractéristique des prophètes, aussi appelés "voyants" dans l'Ancien Testament [1 Samuel 9:9 ; 1 Chroniques 9:22 ; 2 Chroniques 16:7], le Messie devant être le Prophète par excellence ;
  • d'une caractéristique de la manifestation de l'Esprit de Dieu avant un événement capital et avant un grand jugement : l'Ange resté avec Abraham a discerné le rire incrédule de Sara dissimulée sous sa tente, et cela au moment où l'Ange annonçait la venue prochaine du fils promis, et peu avant la destruction de Sodome ;
  • d'un signe caractéristique de la fin d'une période, ou, pour employer le langage prophétique, du "temps du soir" ;
  • d'un signe qui, depuis la venue de Jésus-Christ, n'avait encore été manifesté qu'aux Juifs et aux Samaritains, mais pas encore aux non-Juifs.

 

D'autres exemples de discernement en fin de réunion

[Les trois exemples ci-après sont extraits de trois fins de prédications, choisies parmi des centaines et des centaines, où les mêmes phénomènes se sont reproduits, parfois avec encore plus d'intensité. William Branham a souvent affirmé, en prenant à témoin des pasteurs présents, que le don de discernement était beaucoup plus actif en dehors des réunions, en particulier durant les entretiens privés].

"Moi, je ne peux pas guérir. La guérison a déjà été acquise par l'Esprit Saint. Le Christ est mort sur le Calvaire... La Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement... Il est un Souverain Sacrificateur qui peut être ému par nos infirmités... Maintenant regardez à lui. Comment prendre contact avec lui ? Par votre foi...

Cette femme ici est une étrangère pour moi... C'est une Chrétienne ... je sens son esprit, comme un cœur qui bat ... et je sais que l'Esprit de Dieu qui est sur moi maintenant reconnaît qu'elle est ma sœur. Son esprit s'unit à l'Esprit qui m'a oint... Cet Ange du Seigneur dont vous avez vu la photo, la Colonne de Feu, ... est à moins de deux mètres de moi... Il ne se trompe jamais... Vous êtes consciente que quelque chose se passe n'est-ce pas ? Un sentiment de douceur humble ... j'observe la Lumière entre cette femme et moi. Cela s'ouvre. Vous avez la tuberculose... Il y a un garçon ici ... le même Esprit est sur lui ... c'est votre petit-fils. Il a un problème de sinus, et son poumon porte une cicatrice. Vous vous appelez Madame Harris. Rentrez chez vous avec votre petit-fils, vos problèmes ont disparu...

Venez sœur. Vous voulez être débarrassée de votre mal d'estomac ? Allez, remerciez Dieu et dites : "C'est terminé", croyez de tout votre cœur...

Voici un gentil petit garçon. Tu es trop petit pour avoir la foi. Mais regarde ici un instant vers frère Branham. Bien. Ton problème cardiaque est terminé. Tu peux rentrer chez toi guéri. Jésus t'a guéri...

Le Saint-Esprit est ici, il connaît toutes choses. Croyez-vous cela madame ? Venez ici un instant. C'est la première fois que nous nous rencontrons. Croyez-vous que Jésus-Christ dont je parle est le vrai Fils de Dieu ? Croyez-vous que je le représente de façon juste ?... Croyez-vous qu'il m'a envoyé vous aider ? Vous avez un problème au dos, votre mari a un problème au dos et à la jambe, et votre fille a un problème au cou, tout cela à la suite d'un accident d'automobile. Rentrez chez vous, vous allez tous bien vous porter...

Avec ce bébé qui porte un corset, nous voyons quel est le problème. Croyez-vous, sœur, que Dieu va permettre à cette petite fille de grandir et de devenir une belle jeune fille ? ... Je pose mes mains sur ce cher petit bébé qui n'a pas la possibilité de croire par lui-même. Je condamne cette infirmité. Dans le Nom de Jésus-Christ, que ce bébé marche et vive... Allez, enlevez ce corset et il pourra marcher. Croyez...

Un moment, quelque chose se passe dans l'auditoire... Si vous croyez, vous n'aurez pas besoin d'être opérée de la vessie. [Une sœur crie : "Oh ! oh ! oh !"]. Vous avez touché Son vêtement sœur... Elle était assise là-bas, et elle ne pouvait pas me toucher et elle a prié : "Mon Dieu, dis-lui de m'appeler." ...

Vous n'êtes pas venue pour vous, mais pour votre fils. Ses muscles sont en train de s'atrophier, et à cause de cela il devient nerveux et il s'est mis à loucher... Il s'appelle Donald. Rentrez chez vous, croyez et qu'il soit guéri..."

["Let Us See God", § 178 et 202 à 265, 29 novembre 1959 à San Jose, Californie]

"... pour cet homme ici avec ses membres et son bassin dans cet état, avec ses béquilles, c'est la seule occasion pour lui de redevenir normal, il a parcouru des kilomètres et il veut revenir chez lui témoigner à la gloire de Dieu... Démon, toi qui rends ce corps infirme, je viens te défier dans la foi et je t'adjure par Jésus le Fils de Dieu de quitter cet homme... Soyez tous respectueux ... le Seigneur est proche... Cet homme ne pourra jamais marcher sans ses béquilles si Dieu ne vient pas à son secours maintenant ... et ce serait pire ensuite pour lui... Ou bien Satan le brisera, ou bien Dieu le délivrera parfaitement... Monsieur, croyez-vous de tout votre cœur que vous allez rentrer chez vous et porter ces béquilles sur vos épaules demain en témoignant dans les rues de votre ville ? ... Le servirez-vous ?... Vous avez pensé récemment à cela ... vous avez dit : "Si Dieu me guérissait, je marcherais plus près de Lui."... Et il n'y a pas longtemps vous parliez de ces choses dans une voiture, vous étiez assis à l'arrière et vous parliez à quelqu'un devant, et la voiture est passée sur une bosse dans un virage à droite à ce moment-là... C'est maintenant le temps de votre délivrance. Dieu Tout-Puissant, tandis que la puissance de ta Présence est ici ... envoie tes bénédictions sur lui... Accorde-le Seigneur, par Jésus-Christ. Démon, toi qui as rendu cet homme infirme, mon frère a fait sa confession ... tu ne peux le tenir plus longtemps ... il veut glorifier Dieu. Je viens te défier dans le Nom de Jésus-Christ, par le don de guérison dirigé par un Ange, je t'adjure par Jésus le Fils de Dieu de sortir de lui. Voilà, il s'en va. Gardez tous la tête baissée."

["Casting Out Devils" § 57 à 63, 26 août 1951 à Jeffersonville, Indiana]

"Le Corps de Jésus est assis à la droite de Dieu sur son Trône Céleste, mais son Esprit est ici sur la terre, parachevant son œuvre... Il y a une Lumière au-dessus de cette femme, si vous pouvez la voir former un cercle au-dessus d'elle. Elle priait. N'est-ce pas vrai ? Vous saviez que vous n'aviez aucune chance de venir ici devant, mais vous priiez ... Je vois qu'il y a une ombre juste au-dessous - c'est la mort ! Cette femme est recouverte de l'ombre de la mort. Elle a un cancer. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir ? C'est un cancer du sein. Je vois le médecin en train de l'examiner ; il vous dit qu'il va essayer de l'opérer... Je vous vois maintenant descendre d'un podium ... vous êtes une femme prédicateur. C'est AINDI DIT LE SEIGNEUR !" ["Discerning The Body Of The Lord", 12 août 1959 à Middletown, Ohio]

"Il y a une vibration qui vient de là-bas au fond... J'ai remarqué que la Lumière vous a quittée. Il y a trop de gens entassés là... Mais je la vois aller vers vous... Vous devez être opérée pour un problème de femme... j'ai vu apparaître deux ou trois personnes, et la Lumière est revenue là-bas et a frappé cette personne, ... eux priaient pour cela. Allez et recevez votre guérison, et le Seigneur vous a guérie...

Regardez par ici sœur, le docteur vous a examinée, vous souffrez d'hémorroïdes et d'arthrite... C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Le docteur a dit que vous deviez être opérée ... je le vois en train de signer une petite carte dans son cabinet : Rebekah Baker, 509 Graham Street... Croyez-vous ? ... Alors vous pouvez recevoir votre guérison... Allez, croyez...

Si seulement vous pouviez vous rendre compte de la Présence du Seigneur !...

Cette dame, ... nous ne nous connaissons pas du tout... La Présence du Seigneur Jésus est ici... Cette femme a déjà été guérie : le Christ l'a guérie quand il est mort pour elle. Croyez-vous cela ?... Et on dirait que cette femme s'éloigne de moi ... elle prie pour quelqu'un d'autre, une dame âgée, sa mère ... Elle a de petites palpitations au cœur, elle ne dort pas la nuit... Et cette femme vient de Georgie. Et vous voulez que l'on prie pour vos yeux : vos yeux deviennent aveugles... Ayez foi en Dieu maintenant... Il est ici, omniprésent...

Quelque chose se passe dans l'auditoire, un homme m'est apparu. Il se tient ici, là ici, avec une hernie ombilicale. Croyez-vous monsieur ? ["Oui"]. Alors le Christ vous guérit ! C'est ainsi qu'il faut faire : croire ! Qu'a-t-il touché ?... Il a touché le Seigneur Jésus qui est ici présent. Chassez cette incrédulité hors de vous ! Oubliez William Branham ! Regardez à Jésus-Christ... et considérez ce qui va se passer. Qu'importe l'endroit où vous êtes dans cette salle ! ...

Madame ... votre sœur est dans un asile à Madison, Indiana. J'ai vu en effet une autre femme, et vous vous teniez là regardant dans cette direction. Et dans la vision vous croyiez en venant ici... Vous avez un problème cardiaque : vous avez eu une attaque... Vous venez du sud de l'Indiana, de Corydon. Rentrez chez vous, vous êtes guérie. C'est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT...

Là-bas dans le coin, j'ai une vision. Le docteur ne sait pas si c'est un cancer ou la tuberculose... Mais si vous croyez, vous êtes guéri. Votre foi vous a sauvé. Allez.

Mademoiselle, je ne vous connais pas... croirez-vous en lui et croirez-vous que je suis son prophète si Dieu me révèle pourquoi vous êtes ici ?... C'est un problème féminin. Je vous vois quitter la table d'opération, avec quelque chose de blanc sur le visage, mais cela n'a pas été un succès. Ce démon s'est caché aux yeux du médecin, mais il ne peut pas se cacher devant Dieu. Rentrez chez vous, Jésus vous a guérie...

Un instant... Ce jeune homme assis là-bas. Votre foi est plus grande que vous l'imaginez. Vous aviez un problème cardiaque. Si c'est exact, levez-vous. Jésus-Christ vous a guéri...

Combien dans l'auditoire vont la recevoir maintenant même ? Si vous pouviez croire ! Croyez seulement. Ne doutez pas.

Cet homme a une maladie de la peau et un problème à la prostate... Je vois quelque chose de sombre entre vous et votre femme. Vous priez pour elle. Elle est pécheresse et vous voulez qu'elle devienne une chrétienne. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Allez lui imposer les mains, et priez pour elle afin que le Dieu des Cieux lui révèle l'importance de ces choses qui sont réelles.

... Rebekah, viens par ici ma chérie (c'est ma petite fille, et elle sera prophétesse un jour), cette dame près de toi souffre du sinus. Levez-vous madame. Vous avez demandé à Dieu que je vous appelle. Que ma petite fille vous impose les mains. Ô Dieu Eternel, dans le Nom de Jésus-Christ, je réprimande ce démon qui trouble cette femme. Et que cela disparaisse dans le Nom du Christ. Amen.

Croyez-vous qu'il est ici ?... Alors je dis à tous ceux qui peuvent croire, maintenant même, Jésus-Christ guérit chacun de vous. Si mes paroles étaient vraies ici sur l'estrade, elles le sont aussi dans la salle. Si vous faites ce que je vais vous dire, vous pouvez être guéris à l'instant... Imposez-vous les mains les uns aux autres. Ne doutez pas ! J'ai entendu un esprit de surdité s'en aller. Le Christ ressuscité est ici ! ... Levez-vous et louez le Seigneur !"

["And Their Eyes Were Opened And They Knew Him" § 96 à 138, le 21 avril 1957 à Jeffersonville].

Que Dieu vous bénisse richement !