QUESTIONS ET RÉPONSES JEFFERSONVILLE IN 23 Decembre 1959

par Prophète William Marrion Branham


1          Tu as un sujet de prédication? [Quelqu’un dit : “Non, monsieur.”–N.D.É.] Et Frère Beeler, là? [“Lui, je ne sais pas.”] Frère Beeler, est-ce que tu as un message pour ce soir? [Frère Beeler dit : “Non, monsieur.”] Je–je suis un peu enroué. Il me reste encore quelques–quelques questions. S’ils ne... Si l’un de ces frères voulait prendre la relève et prêcher, je serais content.
            Maintenant, ne vous affolez pas. Ceci n’est pas... Ce sont seulement des tissus de prière qui partent en Afrique. Tout ceci doit être coupé en tissus de prière, et on voulait que je prie dessus ici, ce soir, et en plus, sur quelques enveloppes qu’on a remplies. Je me suis dit que nous allions simplement consacrer tout ceci au–au Seigneur. Tout ceci doit être coupé en morceaux et partir en Afrique avant moi. Maintenant, vous savez combien de tissus de prière ça va faire, quand chacun sera à peu près grand comme ça : des milliers. L’autre jour, Frère Fred en a apporté sept cents dans une petite enveloppe à peu près comme ça. Alors vous pouvez imaginer ce que ça, la quantité que ça va faire. Donc nous... Dans un instant, eh bien, nous allons prier là-dessus.
2          Bon, je suis un peu enroué, mais j’avais dit que je reviendrais pour répondre à quelques-unes de ces–ces questions, faire le mieux possible. Or, quand ces réunions de réveil ont lieu, ça crée toujours un peu d’émoi. Et je veux, j’ai pensé que ceci, peut-être, rétablirait en quelque sorte l’équilibre dans l’église, vous savez, parce qu’il peut arriver que quelque chose qui a été dit n’ait pas été compris par l’église. La possibilité vous est alors donnée d’écrire votre propre question. Je vais vous citer celles que j’ai; et alors, si vous avez quelque chose de similaire, vous n’aurez pas besoin de l’écrire.
Donc, l’une d’elles, c’est : S’il vous plaît expliquer Romains 7.25.
La suivante : Vous avez dit qu’une personne pouvait vivre si près de Dieu qu’elle ne péchait pas.
Quel aspect aurons-nous à la résurrection?
Frère Branham, qu’est-ce qu’une personne doit faire, une fois qu’elle s’est conformée à toutes les instructions que vous avez données; ensuite, comment recevoir le Saint-Esprit?
S’il vous plaît expliquer Hébreux 6.4, et faire la comparaison avec Hébreux 10.26.
Et : Qu’entend-on par “prédestination avant la fondation du monde”; et à quel endroit, dans la Bible, trouve-t-on pareille chose?
3          Et Soeur Mc... Non, celle-là, c’est–c’est une requête de prière.
4          Bon, voilà les questions que nous avons pour ce soir. Si, pendant que nous avons ce petit préambule, vous en avez une autre, eh bien, apportez-la, et nous essaierons... Maintenant, s’il y a une question qui occupe l’esprit de l’église, sur n’importe laquelle des choses que–que nous présentons, eh bien, nous aimerions vraiment pouvoir vous aider du mieux que nous pourrons. Voyez?
5          Et je voudrais que vous vous souveniez toujours que, ce que je dis ici, je ne dis pas que c’est catégoriquement la Vérité et tout. C’est, à ma connaissance, ce qu’il y a de plus catégorique comme Vérité à ce sujet. Je–je peux me tromper, comme n’importe quel autre mortel, mais je, Frère Jackson, j’essaie simplement de l’expliquer de la manière qui, d’après moi, est juste (vous voyez?), de la manière dont je le vois, Frère Mike, dans la Bible, tout simplement. Et quand j’étudie ces choses, je ne me contente pas juste d’une référence. Je–je retourne en arrière, et je me reporte à la Genèse, et je développe cela jusque dans l’Apocalypse, d’un bout à l’autre de la Bible.
6          D’autre part, on pourrait développer le–même développer le sujet, d’un bout à l’autre. Mais, si cela ne concorde pas avec le reste de Ce qui se trouve là, avec le reste de l’Écriture, alors ce serait quand même faux. Où que mène votre développement, il faut que–il faut que cela cadre avec toutes les autres Écritures. Vous voyez? Et tous les passages de l’Écriture vont s’accorder ensemble, si Elle est assemblée correctement, si... C’est comme un grand puzzle. Et ce n’est pas mon intention... Si ce n’est pas la bonne manière de le dire, alors, que Dieu me pardonne. L’Écriture ressemble à un puzzle. Voyez? C’est que... Elle est toute morcelée et mélangée dans une boîte, et il faut que le Saint-Esprit mette tous ces éléments à leur place. Voyez? Et–et, nous, nous ne pouvons pas le faire. Or, il n’y a pas neuf cent soixante-neuf interprétations de l’Écriture, puisque la Bible dit que l’Écriture ne peut être un objet d’interprétation particulière. Telle qu’Elle est écrite, c’est comme ça qu’Elle est. Nous croyons simplement qu’Elle... (Merci, Frère Pat.) Nous... Telle qu’Elle est–qu’Elle est écrite dans la Bible, c’est comme ça qu’Elle est; et c’est telle quelle, comme ça, que nous devons L’accepter. Donc, si nous essayons de Lui faire dire quelque chose ici, eh bien, alors, Elle ne dira pas la même chose là-bas. Vous voyez, si nous–si nous mettons... Il faut laisser à l’Écriture le soin de donner Elle-même la réponse ici, Elle-même la réponse ici, Elle-même la réponse ici, que chaque élément prenne bien Sa place pour que tout Cela s’accorde ensemble.
7          Et maintenant, je pensais que peut-être... J’avais l’intention de parler, et j’avais dit que j’allais parler ce soir, sur : Nous avons vu Son Étoile en Orient, et nous sommes venus pour L’adorer; mais je n’ai vraiment pas assez de voix, alors, pour le faire. Un soir, ici, j’avais eu très chaud, et je suis sorti. J’avais tellement chaud, quand je suis monté dans la voiture, que je l’ai remplie de buée. J’ai baissé la vitre et je suis allé à la maison. Eh bien, le, – ça, c’était jeudi ou vendredi soir, je pense, – le lendemain soir, j’ai commencé à, le lendemain, j’ai commencé à être un peu enroué, un genre de... Oh, c’est, je ne... pas malade, pas de fièvre, pas de maladie, pas de rhume; mais c’est comme une–comme une laryngite, dans la gorge, d’avoir parlé et–et de l’avoir irritée en prêchant fort, et ensuite–et ensuite ce refroidissement. Mais ça va–ça va s’arranger d’ici un jour ou deux, peut-être d’ici dimanche. Il se peut que je vienne de nouveau aider notre frère. Une fois qu’il aura fini sa prédication, je chercherai pour voir ce qu’on peut encore trouver.
8          Et puis–et puis, je veux que toute l’église reçoive le Saint-Esprit. Maintenant, ma belle-fille est assise ici. Ce n’est pas parce que c’est ma belle-fille, ni parce qu’elle est ici : c’est l’une des filles les plus gentilles que je connaisse, c’est une fille épatante – Loyce. Elle a eu de grandes choses à surmonter, à cause du milieu où elle a grandi, parce qu’elle vient d’une famille où on n’adorait pas Dieu, avec tout ce qui s’ensuit. Ça me fait de la peine pour cette enfant, qu’elle ait eu à grandir dans un tel milieu. Et maintenant, elle recherche le Saint-Esprit, et elle a tellement jeûné qu’elle a de la peine à se tenir debout, jeûnant et priant pour recevoir le Saint-Esprit.
9          Ma soeur Dolorès, elle a dit : “Bill, je... Quand l’église était, que la puissance était dans l’église,” elle a dit, “j’avais l’impression que j’aurais pu m’envoler. Et puis, quand tout le monde, que le Saint-Esprit s’est mis à descendre sur les gens,” elle a dit, “je suis simplement restée là à regarder autour de moi.” Voyez? Eh bien, vous voyez, et cette question est ici, dans la pile, ce soir, à ce sujet. Donc, j’ai pensé que ceci pourrait peut-être aider l’église à–à recevoir. Maintenant, je ne veux pas prendre une réunion de prière du mercredi soir et la transformer en quelque chose de ce genre, mais je–je veux m’assurer que l’église comprenne parfaitement ces choses (vous voyez?), avant...
10        Dimanche, je parlais justement à un docteur, ici, il est venu derrière, à l’arrière de l’église, ici, dans, derrière, ici, à l’arrière de l’église. C’est un médecin. Il avait fait tout le trajet en voiture, depuis (Où se trouve le siège des Assemblées de Dieu, là? À...) Springfield, dans le Missouri, pour assister à la réunion.
            Il a dit : “Frère Branham...” (Depuis le siège des Assemblées, là.) Et il a dit : “Toute ma vie, je me suis posé des questions à ce sujet.” Il a dit : “C’est la première fois de ma vie que c’est clair pour moi.” Il a dit... Il est venu me trouver dans la pièce, là-derrière, un médecin.
11        Et–et alors, Frère Mercier et Frère Gene Goad, qui enregistrent, là-derrière... À l’instant, Frère Mercier disait que la partie de la réunion dont il a le plus tiré profit, c’est quand–quand nous expliquions que, lorsque le Saint-Esprit était venu dans la réunion et–et qu’Il S’était fractionné, c’était Dieu qui Se partageait parmi Son peuple. Eh bien, c’est exactement ce qu’Il fait. Et donc, quand le peuple de Dieu commence à se rassembler de nouveau, il y a de l’unité, il y a de la puissance. Voyez? Et quand le peuple de Dieu sera complètement réuni, je crois que c’est là que la résurrection aura lieu; il y aura un temps de l’Enlèvement, quand le Saint-Esprit commencera à le rassembler. Ils, ce sera une minorité, bien sûr, mais il y aura un grand rassemblement.
12        Maintenant, ces tissus de prière qui sont envoyés, la Voix de la Guérison... Je dois tout de suite, le premier de l’an, si le Seigneur le veut, je–je vais aller à Kingston, en Jamaïque, puis en Haïti, et de là... Le–le président d’Haïti m’a envoyé une invitation, m’assurant de la protection de–de toute sa milice. Il y a un soulèvement là-bas. En fait, ce qu’il désire, c’est que nous venions présenter ce genre de ministère, car il a appris que celui-ci avait agi à–à San Juan, l’année dernière, quand nous y étions. Il a dit qu’il pensait que c’était la seule chose qui puisse sauver son pays. Voyez?
13        Maintenant, si l’un de mes amis catholiques est présent, je ne dis pas ceci pour vous insulter ou quoi que ce soit; ce n’est pas mon intention. Mais l’église catholique essaie de prendre le pouvoir en Haïti (voyez?); et la seule chose qui puisse sauver le pays, c’est qu’un réveil protestant le secoue maintenant même. Voyez? Alors, c’était vraiment gentil, et j’apprécie cela. Je lui ai donc dit que, pendant la semaine de Noël, dans les quelques jours qui viennent, après demain, nous allons en quelque sorte nous mettre au jeûne et à la prière, et nous verrons dans quelle direction le Seigneur nous conduira.
14        Puis l’Amérique du Sud... Et puis, je me sens nettement conduit à aller en–en Norvège. Je suis nettement conduit à aller en Norvège cette année, et puis aussi en Afrique. Et ceci est, va être coupé en petits rubans et envoyé en Afrique, avant les réunions. Voilà le nombre de personnes... Ça vous donne un aperçu du nombre de personnes qui réclament des tissus de prière, là, après avoir appris qu’on va venir, vous voyez, ils reprennent–reprennent simplement contact. De même, ceux-ci aussi, ce sont de petits morceaux de tissu, qui ont été coupés et qui sont prêts à être envoyés à–à différentes personnes.
15        Alors, ensemble, avec cette glorieuse Église du Dieu vivant, inclinons maintenant la tête pendant un instant. Et que chacun de vous, à sa manière, prie que Dieu oigne ces tissus. Maintenant, je cite d’abord l’Écriture : “On appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul, et les esprits malins sortaient des gens, et les afflictions de même; et ils étaient guéris.”
16        Seigneur, sur cette petite chaire qui est ici depuis tant d’années – et ô combien Tu nous as bénis, et le–l’Évangile n’a cessé d’être proclamé d’ici, et... Si cette petite chaire pouvait avoir des yeux, ou si elle pouvait parler, elle pourrait raconter les centaines de grands miracles qui ont été accomplis devant elle : des infirmes, des boiteux, des aveugles, des gens accablés par le cancer. Et les puissances du Dieu vivant se sont fait connaître dans ce petit bâtiment. Et, Dieu notre Père, combien nous Te remercions pour toutes ces choses.
17        Et maintenant, l’église s’est rassemblée ce soir, pour T’adorer. Nous sommes venus afin de–de répondre à des questions qui ont été posées. Celles-ci expriment la sincérité des gens et ce qu’il y a dans leur coeur : ils sont perplexes devant ces choses. Et, Seigneur, nous sommes bien conscients que, si nous sommes perplexes devant quoi que ce soit, nous ne pourrons jamais avoir la foi – tant qu’il y a une question. Donc nous ne voulons pas qu’il y ait des questions.
18        Seigneur, nous voyons qu’il y a un besoin du baptême du Saint-Esprit parmi les nôtres et parmi les gens de cette église. Et nous–nous ne voulons pas qu’il y ait des questions dans leur esprit. Nous voulons que tout soit tiré au clair, afin qu’ils reconnaissent ce que C’est, au moment où Cela viendra, et qu’ils sachent que C’est pour eux.
19        Et puis, de l’autre côté de la mer, tout là-bas dans ces jungles obscures où résonnent les tam-tam, et où les lépreux sont étendus partout dans... sous les arbres, et les mouches qu’on chasse, et les... et ils n’ont plus de jambes, leurs oreilles sont rongées et leurs visages dévorés : la lèpre. Cette odeur infecte, Seigneur, qui fait qu’on a de la peine à les approcher à moins d’un pâté de maisons. Et de pauvres petits enfants sans nourriture, sans vêtements. Et ils m’aiment, Seigneur. Et ils–ils ont cru au ministère, après la guérison d’un si grand nombre par la Puissance du Dieu vivant. Je n’ai pas eu de repos d’esprit depuis le jour où j’ai quitté l’Afrique, sachant que ces pauvres gens abattus sont dans cet état lamentable, là-bas, et qu’ils vivent dans la superstition. Le sorcier guérisseur, qui bat la mesure avec des ossements humains qu’il tient entre ses doigts, et qui invoque les mauvais esprits, et oh, quel–quel endroit, et alors, quand on pense qu’ici en Amérique, on a de belles églises et de vastes propriétés. Et, ô Dieu, de savoir que ces pauvres gens ont tellement de besoins, de les voir venir à la réunion, ils restent là, étendus les uns sur les autres, et beaucoup d’entre eux meurent étendus là – ils cherchent seulement à entendre quelques paroles prononcées par quelqu’un qui, dit-on, Te connaît. Leur coeur s’est ranimé, Seigneur, depuis que le Message et que les lettres parcourent maintenant toute l’Afrique. On dirait bien que les feux commencent de nouveau à s’allumer.
20        Et Ta glorieuse église, là, qui était une église puissante, s’est morcelée, ô Dieu, et s’est scindée, alors que, d’une part, on opte plutôt pour le formalisme, tandis que–que les autres s’efforcent de rester attachés à la Vérité et à l’Esprit. Et voici que, par milliers, des gens envoient maintenant des demandes; ils désirent recevoir sans délai des tissus de prière, lesquels, sur lesquels j’ai prié. Dans ces petites enveloppes, ici, il y a–il y a des requêtes de prière, de petits paquets qui sont adressés à des gens qui ont des besoins. Ô Dieu du Ciel, qui as créé les cieux et la terre, je Te prie, Seigneur, au Nom de Jésus, de sanctifier chaque fil de ces tissus. Et que Ton Saint-Esprit accompagne chaque fil, Seigneur. Et, quand ils seront appliqués sur les malades et sur les affligés, que les mauvais esprits les quittent.
21        Je repense à ces jungles – où ces choses iront, bon nombre d’entre elles – là-bas, où ils, ils vont jusqu’à adorer le diable. Je prie, ô Dieu, qu’il n’ait plus aucun accès, qu’il quitte les camps, et que les gens soient amenés à la connaissance du Seigneur Jésus. Accorde-le, Seigneur. Que leurs maladies soient guéries, leurs problèmes réglés et leur âme sauvée, et que la Puissance de Dieu ait la prééminence. Accorde-le, Père. Nous envoyons chaque fil de ces tissus, nous qui faisons bloc ensemble. Il y a beaucoup de petites langues de feu ici ce soir, Seigneur, et nous T’adressons ensemble nos prières, ayant ceci en vue : que chaque personne sur laquelle ils seront appliqués soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.
22        Maintenant, vous qui êtes au fond, m’entendez-vous assez bien, là-bas, au fond, ce soir? Tant mieux. Je pense que nous serons vraiment heureux quand nous aurons une autre église ici, parce que ces petits trucs qui pendent provoquent des coupures dans la voix, et on–on l’entend à peine.
23        Maintenant, je suis conscient que, ce soir encore, je–je m’approche d’un terrain... Frère Wood, avant que j’oublie, j’ai ce mouchoir. Tu m’avais donné un mouchoir pour quelqu’un, n’est-ce pas? Ou, était-ce toi? Quelqu’un m’a donné un mouchoir, pour que je le mette dans ma poche et le porte sur moi, et je l’ai eu depuis, pendant la réunion. Je ne sais pas qui c’était. Il me semblait que c’était toi qui m’avais dit : “Porte ceci dans ta poche pour quelqu’un.” Quelqu’un... [Frère Neville explique à Frère Branham le pourquoi du mouchoir.–N.D.É.] Est-ce que c’était ça? Frère Jackson, avais-tu un mouchoir pour quelqu’un? Voilà, c’est ça. Très bien. Il... Oui, monsieur. Eh bien, il sera ici même, Frère Jackson, si tu veux le récupérer. Et maintenant, je sais que quelqu’un me l’a donné, en disant : “Portez-le dans votre poche.” Et alors, je l’ai mis dans ma veste et je n’y ai plus pensé.
24        Maintenant, pour... Maintenant, si le Seigneur le veut et que ma voix redevient normale, soit dimanche matin ou dimanche soir, l’un ou l’autre, si le Seigneur le veut, je voudrais parler du message de Noël que j’ai pour vous : Le–Le signe infaillible. Vous voyez? J’ai toujours... J’ai touché le sujet dimanche matin, et là quelque chose a embrasé mon coeur. J’étais déjà trop avancé dans le message pour pouvoir revenir là-dessus. Alors je–je voudrais revenir là-dessus dimanche matin, si le Seigneur le veut, ou dimanche soir, l’un ou l’autre. Donc, Frère Neville et moi allons nous entendre pour fixer l’heure.
25        Maintenant, comme Frère Neville l’a dit, eh bien, moi aussi, je tiens à remercier chacun de vous pour vos bonnes pensées à l’occasion de Noël, pour vos cartes. Frère et Soeur Spencer, j’ai reçu la vôtre. Et vous tous, par ici, qui m’avez envoyé vos cartes, je les apprécie vraiment, ainsi que les cadeaux et toutes les choses que vous avez envoyées. Nous apprécions vraiment cela. De–de la part de ma femme et de moi-même, et, nous, et des enfants, nous vous remercions. Nous aimerions pouvoir envoyer un cadeau de Noël à chacun, mais ça, ce serait vraiment difficile pour un prédicateur, n’est-ce pas? Eh bien, avec le nombre que ça peut représenter, je n’y arriverais pas. Vous voyez? Je... Mais je souhaiterais même pouvoir offrir quelque chose aux enfants, à chacun. J’aimerais vraiment le faire, mais ce n’est tout simplement pas... Les ministres ne peuvent pas faire ça. Voyez? Il y aurait trop de cadeaux à acheter. Mais nous tous, j’en suis certain, moi et les autres aussi, nous apprécions nos assemblées. L’une des choses les plus formidables que vous ayez faites, je pense, c’est votre amour et votre foi indéfectible, que vous avez placée en moi en tant que votre, que l’un de vos pasteurs, ici, et, cette année.
26        Frère Neville, cela s’applique également à toi, mon cher frère. Le bon esprit que Frère Neville a toujours manifesté, comme : “Viens donc, Frère Branham; voici la chaire, elle est à toi. Dieu soit béni, j’aime m’asseoir et écouter.” Je–j’aime ça. Je–j’aime cette manière de faire humble et désintéressée de Frère Neville.
27        Et la foi de vous tous, et... Il y a une chose que vous pouvez faire pour me rendre service : priez pour moi. Là, je vais avoir plusieurs réunions isolées, juste avant que le grand itinéraire commence. Maintenant, elles–elles se tiendront près de, je pense, là, près de Glasgow, dans le Kentucky, je serai là-bas pour une soirée. Peut-être à Campbellsville, dans le Kentucky, je serai là-bas pour une soirée. Et–et à un autre endroit, dans le Kentucky, à Willow Shade, je crois, je serai là-bas pour une soirée. Donc, au fur et à mesure, comme ça, je vous préviendrai, dès que nous aurons réglé ça, les réunions à venir, qui ne seront, en fait, que des petites réunions isolées, jusqu’à ce que je retourne sur le champ de mission.
28        Mais, l’autre soir, je me suis consacré tout à nouveau à Dieu. Et, avec l’aide de Dieu et par la grâce de Dieu, j’ai l’intention de continuer à m’appliquer à la tâche jusqu’à ma mort. Voyez? Je m’y suis mis il y a une trentaine d’années. Et je m’y suis tenu... Mais parfois, je suis tellement fatigué que je commence à divaguer. Je me retrouve dans un état tel que je ne peux tout simplement plus avancer. Vous voyez, c’est que vous, vous ne voyez que ce qu’il y a ici. Vous–vous ne vous rendez pas compte de ce qu’il y a là-bas, et au loin, et tout là-bas. Et–et même, ce n’est pas rien qu’une–pas qu’une seule ville, non; pas qu’un seul État, non; pas que les États-Unis; mais c’est mondial (voyez?), dans le monde entier. Voyez? Et ça–ça, c’est beaucoup de monde, je pense qu’il y a eu contact, ce soir, que j’ai déjà rencontré ou été en contact, non pas avec des milliers mais bien avec des millions de personnes. Voyez? Et vous seriez surpris de savoir combien d’entre eux sont malades. Voyez? Et ils appellent; et c’est vrai que ça fait beaucoup de pression.
29        Donc j’apprécie vos prières. Et, avec l’aide de Dieu et par Sa grâce : un très Joyeux Noël à chacun de vous. Souvenez-vous de ce que je dis souvent : il n’est pas question de père Noël, ceci c’est pour Jésus. Vous voyez? Noël [en anglais : Christmas–N.D.T.] veut dire “Christ”. Hier soir, nous nous promenions en voiture, nous montrions aux enfants toutes les maisons décorées et tout, ce qui est bien joli. Mais je me suis dit que, si jamais je mettais–je mettais quelque chose sur ma maison, que je veuille écrire quelque chose, ce serait une enseigne lumineuse : Vous souhaitons la présence de Christ dans votre Noël. C’est vrai. Remettez Christ dans Noël.
30        Maintenant, Dieu notre Père, nous allons maintenant aborder ces questions. Nous venons avec une très grande sincérité. Et–et ces chères personnes, Seigneur, ont déposé ces questions, et, qu’elles ont dans leur coeur, et il y en a peut-être encore bien d’autres dans la salle; ces gens veulent savoir ce qu’ils doivent faire. Et, Père, je–je suis un bien piètre substitut pour Toi, mais je Te prie de m’aider à connaître Ta Parole, afin qu’Elle procure, pour chaque question, une portion qui satisfait pleinement. Donc, nous laissons cela entre Tes mains, et c’est en Ton Nom que nous le demandons. Amen.
31        Maintenant, la question de Frère Pat, ici, est très, très bonne. Je vais peut-être commencer par celle-là, Frère Pat. Maintenant, si quelqu’un d’autre a une question, vous n’avez qu’à l’écrire et à la déposer ici, ou–ou Frère Pat vous apportera un morceau de papier, si vous n’avez pas de morceau de papier, ou, je me ferai vraiment un plaisir d’y répondre du mieux que je peux.
            Maintenant, c’est toute une question, Frère Pat. Ça a l’air d’être de l’humour, mais c’est une question.
101. Où sont maintenant les esprits qui sont entrés dans les pourceaux? Où sont les esprits qui sont entrés dans le troupeau de pourceaux le jour où Jésus les a chassés du fou furieux?
32        Eh bien, Frère Pat, pour autant que je sache... Bon, d’abord, nous allons débuter par de la démonologie. Or, la démonologie, c’est une chose importante. (Maintenant, certains d’entre vous, surveillez l’horloge, et ne me laissez pas m’attarder trop sur une question.) Mais, ces puissances démoniaques, ces esprits, avaient d’abord été dans un homme appelé Légion. N’est-ce pas? Et c’est pour ça que son nom était Légion : parce que Légion, en hébreu, veut dire “nombreux”. Voyez? Ils étaient nombreux.
33        Et ces esprits qui étaient dans ce cher homme l’avaient rendu fou. Si quelqu’un a déjà vu ou eu affaire à une personne atteinte de folie, ses–ses–ses forces sont décuplées, tellement elle est possédée par le diable. Si vous vous êtes déjà trouvé près d’une–d’une personne qui a perdu la raison, oh, il faut plusieurs hommes forts pour la tenir. Elle a deux ou trois fois plus de force.
34        Alors, quand une personne est infirme et que le Saint-Esprit s’empare d’elle – si le diable a assez de puissance pour faire en sorte que la force physique d’un homme soit trois ou quatre fois plus grande, combien de puissance Dieu peut-Il mettre dans un homme? Voyez? C’est ce qui vient sur lui pour le faire marcher, par la force de Dieu, alors qu’il était infirme depuis des années. Ses os se remettent droits; et ses mains se redressent; il marche, il est comme un nouveau jeune homme, parce que la puissance du Saint-Esprit est sur lui.
35        Or, ceux-là étaient si méchants qu’on liait cet homme avec des chaînes, et il pouvait les briser. On disait qu’il les rompait. Et il n’y avait aucun, rien ne pouvait le lier. C’était vraiment un cas très grave, parce qu’il avait en lui une légion de démons. Et alors, quand il... Jésus a traversé la mer et est venu à Gadara, Il s’est dirigé vers les sépulcres. Et il était si méchant – non pas l’homme (voyez?), l’homme était bien gentil.
36        Ce n’est pas l’homme. Quand vous voyez une personne comme ça, n’allez jamais penser que c’est l’homme; c’est le démon, qui est dans l’homme.
            Or, ce fou furieux, qui était sur l’estrade ce soir-là, qui voulait me tuer, là-bas, dans l’Oregon. Cet homme, je, quand il est venu vers moi, au lieu de... il m’avait craché au visage et m’avait traité de “serpent dans l’herbe” devant près de dix mille personnes; eh bien, ce n’était pas cet, ce n’était pas l’homme. Lui, c’est un homme qui mange, qui boit, qui dort, qui a peut-être une famille, et qui aime, et–et qui est comme vous et moi. Mais c’était ce démon en lui qui faisait ça. Voyez?
37        Et on ne chasse jamais un démon par une mauvaise attitude. Il faut de l’amour pour le faire. L’amour est la force la plus puissante du monde. Or, si vous remarquez, un démon, c’est toujours de la haine. La haine vient du diable. Et quand des gens haïssent quelqu’un, souvenez-vous, c’est un démon terrible, ça : d’avoir du mépris ou de l’aversion. Il ne faut pas faire ça.
38        Vous vous souvenez que le–le... Jésus a dit, dans Son sermon, que lorsque vous priez : “Notre Père qui es aux Cieux”... Et plus loin, Il a dit : “Si, de tout votre coeur, vous ne pardonnez pas à chacun ses offenses, votre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” Voyez? Il ne faut pas faire ça.
39        Mais alors, quand le diable produit une puissance de haine (voyez?), au point de pousser quelqu’un à se précipiter sur l’estrade pour me tuer – et, physiquement, il était plus que capable de le faire, beaucoup plus... Il aurait pu me tenir en l’air, peut-être, avec ses deux doigts, en l’air par la ceinture comme ça, parce qu’il pesait deux cent soixante ou deux cent soixante-dix livres [cent dix-huit ou cent vingt-deux kilos]; il mesurait plus de six pieds et demi ou sept pieds [deux mètres ou deux mètres quinze], un énorme gaillard. Il venait de–il venait de donner un coup de poing à un prédicateur, dans la rue, il lui avait fracturé la clavicule et la mâchoire, il l’avait blessé et l’avait envoyé à l’hôpital. Il haïssait les prédicateurs, voilà. Et alors il s’est précipité sur l’estrade, pour me tuer. Voyez?
40        Or, dans cet homme se trouvaient certains des esprits qui avaient été chassés des pourceaux à Gadara. Certains de ces pauvres gens sont là, dans l’asile d’aliénés, à se taper la tête contre les barreaux capitonnés, des cellules capitonnées. Souvenez-vous, les démons ne meurent jamais. Les démons restent toujours en vie, mais le temps viendra où les démons devront mourir. Ils seront alors totalement anéantis. Mais, pour le moment, ils sont en vie, et ils agissent de génération en génération sur les êtres humains. Certains d’entre eux se présentent sous forme de cancer; certains se présentent sous forme d’épilepsie; certains se présentent sous forme de tuberculose. Ils entrent dans la chair, mais ils sont, semble-t-il, impuissants, tant qu’ils n’ont pas réussi à entrer dans une personne. Il leur faut utiliser une personne pour agir, ce qui amène une autre réflexion, c’est que le Saint-Esprit, bien qu’Il couvre la terre, Il est presque impuissant, tant qu’Il n’est pas entré en vous et en moi.
41        Dieu compte sur vous et sur moi. Voyez? Le Saint-Esprit... La terre est remplie de l’Esprit de Dieu, mais, Il a été répandu, mais Il–Il ne peut pas agir, tant qu’Il n’est pas entré en nous, nous, les êtres humains, pour agir.
42        Et le diable veut nous prendre sous son contrôle à lui, pour nous faire agir sous sa conduite. Donc, d’abord, sous une forme atténuée, il introduit le péché. S’il peut maintenir cet homme dans cet état, – un homme juste, un homme bon, simplement, – le laisser continuer à essayer d’être bon, comme ça; s’il peut le maintenir comme ça jusqu’à sa mort, c’est tout ce qu’il veut. Il le tient; en effet, peu importe combien vous êtes droit, combien vous êtes bon, combien vous êtes d’une haute moralité, combien vous êtes vertueux, combien vous êtes honnête, vous n’arriverez jamais au Ciel à moins d’être né de nouveau. Jésus l’a dit. Alors, il n’y a... Il... Il faut que vous naissiez, il faut que vous soyez régénéré, sinon vous ne pourrez jamais, en aucun cas, entrer au Ciel, ni jamais–jamais venir à Christ.
43        Or, il y a quelques instants, j’ai dit – et ceci risque de susciter une autre question dans votre pensée – ce que je–que j’ai enseigné, et c’est à propos–à propos... C’est que je ne crois pas qu’il y ait un éternel... je ne crois pas que la Bible enseigne qu’il y a un enfer qui brûle éternellement. Elle n’enseigne pas ça; en effet, si l’enfer est éternel et que les gens qui y vont seront punis éternellement, pour qu’ils soient punis éternellement, pour ça, il faudrait nécessairement qu’ils aient la Vie Éternelle. Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Éternelle, et Elle se trouve en Dieu. Voyez? Donc, il faut qu’ils finissent par être anéantis (voyez?). C’est-à-dire que leur partie physique est anéantie, et qu’ensuite leur partie spirituelle est anéantie. C’est-à-dire qu’ils sont complètement consumés : il n’en reste plus rien. “Ni racine ni rameau”, comme le dit la Bible. Ils disparaissent complètement.
44        Et puis, je peux prouver qu’il y a des rangs dans le Ciel, que tous ne seront pas égaux; par contre tous auront la même Vie Éternelle. Mais la Bible dit que les rois de la terre apporteront leur honneur et leur gloire (Apocalypse 22), apporteront leur honneur et leur gloire dans la ville. Ce qui prouve qu’il y aura des rois sur la nouvelle terre, des rois et des dirigeants. Jésus a dit à Ses disciples... Ils ont dit : “Et nous qui aurons quitté notre père, notre mère, tout quitté pour Te suivre, qu’en sera-t-il pour nous?”
45        Il a dit : “En vérité, Je vous le dis, vous serez assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël, en ce jour-là.” Vous voyez, c’est un autre, c’est un système terrestre qui sera instauré, qui–qui sera d’une supériorité suprême en tout. Il n’y aura là aucun péché, mais il y aura quand même des dirigeants et tout, dans les villes, quand tout se fera selon la Vie Éternelle.
46        Mais les méchants seront punis pour leurs péchés, d’après les actions qu’ils auront faites en étant dans leur corps; après quoi ils seront complètement et totalement anéantis. Alors, souvenez-vous-en. Vous qui prenez des notes, souvenez-vous-en.
47        Enregistrez bien ce que je dis là : il n’y a qu’une seule forme de Vie Éternelle, et c’est ce que nous recherchons; et Dieu seul a la Vie Éternelle.
            Il n’y a pas deux types de Vie Éternelle, il y a une seule Vie Éternelle, et c’est tout ce qui vivra. Et, souvenez-vous, prenez également note de ceci : Tout ce qui a été créé, qui a eu un commencement, a une fin. Tout ce qui a eu un commencement a une fin, et c’est seulement ce qui n’a pas eu de commencement qui n’a pas de fin. Et il n’y en a qu’un qui n’ait jamais eu de commencement, c’était Dieu. Et le seul moyen pour vous de pouvoir ressusciter, à la résurrection, c’est d’avoir cette Vie Éternelle en vous. Voyez? C’est le seul moyen pour vous de revenir : par quelque chose qui n’a pas eu de commencement. Et, une fois que vous avez reçu le Saint-Esprit, en vous demeure une Vie qui n’a jamais commencé et qui ne pourra jamais avoir de fin; et vous possédez cette Vie en vous, alors vous avez la Vie Éternelle et vous êtes des fils et des filles de Dieu. Voyez? Et vous ne pouvez pas plus mourir que Dieu pourrait mourir, parce que vous êtes une partie de Dieu.
48        Nous avons reçu la question ici, il y a quelques instants, ici, quelque part, sur la prédestination, ça rejoint la même chose. Vous devenez une partie de Dieu; et si Dieu, dans cette grande Colonne de Feu, S’est partagé, et que ces petites langues sont allées se placer au-dessus de chacune de ces personnes, Elle fait encore la même chose aujourd’hui. Nous pouvons le prouver par l’expérience que nous en avons, par les enseignements de la Bible, par la recherche scientifique, une photo qui montre que c’est bien Cela : Dieu Se partage parmi Son peuple. “Et parce que Je vis, vous vivez aussi”, a dit Jésus. Nous ne pouvons pas mourir. La mort n’existe pas pour le Chrétien; “car celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais”. Voyez?
49        “Mourir”, le mot mort signifie “séparé”. Or, physiquement, nous nous séparons de notre côté physique, parce que ça, le péché y est encore, mais notre esprit vient de Dieu et ne pourra jamais être séparé de Dieu, parce que nous sommes une partie de Dieu. Nous–nous amenons... Nous sommes ramenés dans cette pensée de Dieu. Tout ce que Dieu fait est parfait et éternel. Et, alors que les pensées mêmes de Dieu se sont extériorisées en vue d’avoir un royaume de personnes qui L’adorent, ces mêmes pensées sont éternelles. Voyez? Elles ne peuvent pas du tout périr. Chaque Parole de Dieu est Éternelle. Jésus a dit : “Les cieux et la terre passeront, les cieux et la terre, l’un et l’autre, peuvent passer, mais Mes Paroles ne passeront jamais.” Voyez? Elles sont Éternelles, avec Dieu. Et : “Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous...” Voyez? Nous devenons une partie de Sa Parole, une partie de Sa Vie, car nous sommes chair de Sa chair, os de Ses os, vie de Sa Vie. Alors, nous ne pouvons pas plus périr que Dieu Lui-même pourrait périr. Voilà ce qu’est le Saint-Esprit.
50        Un jeune homme de la Géorgie, Frère Evans – il est reparti. Il est allé partout dans le pays. Il soutient beaucoup mon cher ami, Oral Roberts; il–il a parrainé toutes ses émissions de télévision, là-bas, et il a fait beaucoup de choses. Mais, l’autre jour, il m’a dit, il a dit : “Frère Branham, je suis allé à l’école de Frère Jaggers. Je suis allé partout. Je suis resté là-bas trois mois. Je cherchais. Je suis allé sur les lieux, à chaque endroit, et c’était du pareil au même. Nulle part je n’ai pu avoir l’assurance (vous voyez?) : si je fais ceci, ou si je fais cela, et qu’est-ce que je pourrais faire ici, ou bien, est-ce que j’y suis ou est-ce que je n’y suis pas,” il a dit, “jusqu’à ce que j’entende vos enseignements.” Il a dit : “Alors l’affaire a été réglée une fois pour toutes.” “Parce que celui qui rend ce culte, étant une fois purifié de ses péchés, n’a plus aucune conscience du péché.” Il est passé de la mort à la Vie, et il a, à l’intérieur de lui, la Vie Éternelle qui demeure là, et il ne peut pas plus mourir que Dieu pourrait mourir. Ça, c’est la Bible, tout à fait. Voyez? Il est gardé éternellement, parce qu’il a la Vie Éternelle.
51        Or, ça ne veut pas dire que vous pouvez pécher impunément; en effet, quand vous péchez, vous êtes puni pour vos péchés. Tout à fait exact. Mais, pourvu que la Vie Éternelle soit à l’intérieur, vous vivrez pour toujours. Jésus a dit : “Celui qui écoute Ma Parole (Jean 5.24), celui qui écoute Mes Paroles, qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne viendra jamais en jugement, il est, mais il est passé de la mort à la Vie.” Voyez? Tous... “Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement; et tous ceux qui viennent à Moi, Je... Et tous ceux que Mon Père M’a donnés viendront à Moi.” C’est vrai. “Tous ceux qu’Il a donnés viendront, et aucun d’eux ne sera perdu. Je leur donnerai la Vie Éternelle, et Je les ressusciterai aux derniers jours.” (Jean 6) Oh, quelle assurance bénie. Voyez? Donc, vous n’avez pas à être toujours paniqué et à vous poser plein de questions.
52        Dieu nous a donné l’assurance parfaite que nous sommes Ses enfants. Et puisque nous sommes Ses enfants, Il nous corrige, tout comme je corrige mes enfants et vous corrigez vos enfants. Quand ils sont fautifs, nous les corrigeons. Si–si mes enfants agissent mal, alors c’est mon devoir, comme père, de les corriger. De même, si les enfants de Dieu agissent mal, c’est Son devoir, comme Père, et Il vous corrigera. Souvenez-vous bien de ça : vous serez corrigé. Mais, du moment que vous êtes Son enfant, le monde a intérêt à ne pas vous toucher (c’est vrai!), car Il a dit : “Il vaudrait beaucoup mieux pour vous qu’on suspende à votre cou une meule de moulin, et qu’on vous jette au fond de la mer, plutôt que de même scandaliser un de ces petits qui croient en Moi.” C’est vrai. Qu’est-ce que ce jugement va être!
53        Maintenant, Frère Pat, revenons à ta question. Les esprits qui sont sortis de cet homme, qui l’avaient rendu fou furieux (voyez?), font la même chose aujourd’hui dans les gens. Voyez? Ce sont ces esprits : des milliers de milliers. Et le diable s’introduit avec quelque chose qui ressemble un peu à l’opium. Par exemple, ils mettent la main sur une petite écolière; ils commencent par l’amener à fumer une cigarette. Voyez? Ça l’amorce. Ensuite, ils prennent un peu plus d’emprise. Et bientôt on finit par fumer de la marijuana; et de là on passe à une vraie toxicomanie. Qu’est-ce que ça fait? Ça leur fait perdre la raison. Ces gens deviennent fous, et le diable les tient. Voyez?
54        Donc, fumer la cigarette, c’est le diable qui est derrière ça. C’est sa petite forme atténuée. Maintenant, s’il voit que vous êtes futé, et que vous allez voir clair là-dedans, il ne poussera jamais les choses plus loin, il s’arrêtera à la cigarette. Voyez? Pourvu qu’il arrive à vous maintenir là le temps qu’il faut, jusqu’à ce qu’il puisse vous prendre, vous ôter la vie, parce qu’il sait que vous ne pouvez pas partir avant que Dieu l’ait dit. Mais vous entendrez un sermon après l’autre, un message après l’autre, un argument massue après l’autre à ce sujet, un avertissement après l’autre à ce sujet; s’il peut juste faire en sorte que ça ne vous atteigne pas, garder vos pensées sur autre chose, – comme d’être populaire, ou que c’est indispensable pour vous, ou quelque chose comme ça, – alors il va vous maintenir là, en attendant de vous faire disparaître. Ou bien, s’il peut juste vous amener à adhérer à l’église, et à dire : “Je vais être quelqu’un de bien. Je vais tourner la page. Je vais avoir... Je–je vais aller à l’église, adhérer à l’église.” S’il peut juste vous garder dans cet état d’esprit là, voilà tout ce qu’il a à faire. Encore là il vous tient, parce que vous... Jésus a dit : “En vérité, en vérité (c’est-à-dire absolument, absolument), Je vous le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il n’entrera point dans le Royaume.”
            Je vais vous montrer quelque chose. Je parlais à un frère cet après-midi, à Frère Wood, pendant que nous faisions une promenade; j’étais sorti pour essayer de détendre mon esprit, d’éviter de parler, afin d’avoir assez de voix pour parler ce soir.
55        Maintenant, remarquez. Nous allons quelque part par ici et nous nous procurons un beau gros grain de maïs. C’est le grain de maïs le plus parfait qu’il y ait dans le pays. Et je vais... Eh bien, grain ou épi, comme vous voudrez l’appeler. Je–je le présente ici, à la foire du district de Clark, et je gagne un ruban bleu. C’est le meilleur grain de maïs, le maïs le plus parfait qu’il y ait, qu’on ait jamais vu. Je remporte un ruban bleu. Je le présente à celle du district de Floyd; je le présente à celle du district de Harrison. Je le présente à celle de l’État, et je le présente à l’échelle nationale. Il gagne tous les rubans bleus. C’est le grain de maïs le plus parfait. Et les scientifiques, avec leurs grosses loupes, le regardent sous toutes les coutures, ils l’examinent, ils voient que... Le taux de potasse est parfait, le taux de calcium parfait, et–et l’humidité parfaite. Tout ce qui entre dans la composition de ce grain de maïs est absolument parfait. Alors, on se dit : “Je vais le planter, et là j’aurai un autre grain parfait.” Et on le plante en terre. À moins que ce maïs, ce grain parfait, ait le germe de vie en lui, il va rester là et pourrir – pour lui, c’est la fin. Il ne reprendra jamais vie, si parfait soit-il. Il–il ne reprendra jamais vie, à moins d’avoir été fécondé, qu’il y ait une vie nouvelle en lui.
56        De même, on peut prendre un homme... Maintenant, je ne dis pas ceci dans le but de blesser, je ne fais que... Ici, c’est l’église, ici, c’est mon tabernacle, et j’y suis libre comme l’air. Voyez? Maintenant je veux que vous vous souveniez, par rapport à ça, qu’un homme aura beau être bon; il aura beau payer sa dîme; il aura beau être honnête; il aura beau aider la veuve; il aura beau aider l’orphelin; il aura beau être un membre d’église. On ne peut pas trouver un seul défaut chez cet homme. Chaque fois que quelque chose arrive, il met la main dans sa poche, prend son dernier sou et le donne aux pauvres. Il–il restera à vos côtés contre vents et marées. Il sera votre copain, même quand beaucoup d’autres prétendus copains vous auront rejeté et tout; mais cet homme est quand même en dehors du Royaume de Dieu, à moins d’avoir été rempli du Saint-Esprit, de la Vie Éternelle. C’est vrai! C’est à ce point important.
57        C’est pour ça que j’essaie d’amener mon église à voir ceci. Et ma–ma prière, c’est que vous ne pensiez pas que là je cherche à faire le malin. Je–j’essaie de vous dire que le diable est tellement trompeur, il est tellement trompeur qu’il–qu’il vous fera agir comme un Chrétien. Il fera quelque chose, et produira une imitation de Christ qui se rapprochera même des Élus. La Bible dit qu’ils seraient proches à ce point-là. On sera un homme bon. On aura...
58        Maintenant regardez un peu, là je vais vous donner des exemples pour attester ça. Nous voulons nous en tenir aux Écritures, alors que nous parlons de ces esprits. À tous points de vue, Ésaü était un homme bien meilleur que Jacob. Bon, Ésaü (que Dieu me pardonne cette remarque), c’était un vrai petit sournois. C’est tout. Maintenant, si vous l’observez, qu’est-ce qu’il était? Un petit rapporteur, et un grand menteur. Maintenant, si–si ce que je dis est mal, que Dieu me pardonne, mais il a vraiment menti. Et comme tricheur, difficile d’en trouver un meilleur que lui. Même qu’il a pris des branches tachetées et qu’il les a placées dans l’eau pour que là les vaches et les brebis portantes mettent bas des agneaux et des veaux tachetés, et qu’il puisse se les–se les approprier... Qu’est-ce qu’il a fait? Il a mis la tunique d’Ésaü, et une peau de mouton, et tout, il est allé là-bas et s’est fait passer pour Ésaü auprès de son père aveugle, qui était prophète. Pas vrai? Eh bien, c’était un petit escroc; vraiment. Et Ésaü était... Je n’aurais pas dû, peut-être que je n’aurais pas dû le dire comme ça. Voyez? Je ne voulais pas le dire comme ça. Je–je retire ça. Il–il ét-... il–il était un... je ne sais pas; vous le savez, ce qu’il était. Voyez? Réfléchissez-y vous-mêmes; je... Il était un–il était un grand homme de Dieu, et je ne veux rien dire de mal à son sujet (vous voyez?), mais j’essaie seulement de vous faire remarquer certaines petites–petites choses qu’il a faites. Regardez comme il était sournois. Un menteur? Bien sûr, il était vraiment, il était affreux. Mais qu’est-ce qu’il essayait de faire?
59        Regardez Ésaü. Ésaü était un homme bon, de haute moralité, un bon membre d’église pour aujourd’hui. Qu’est-ce qu’il a fait? C’était un chasseur. Il allait... En ce temps-là, bien sûr, c’est comme ça qu’ils gagnaient leur vie. Il gardait les troupeaux pour son père. Son papa était aveugle. Un prophète, un prophète du Seigneur était aveugle et a été trompé par son propre fils – un prophète : Isaac; c’est à travers lui qu’est venu Christ. Vous pouvez l’appeler prophète, la Bible dit qu’il l’était. Et il était aveugle? Pourquoi ne s’est-il pas guéri lui-même? Et pourquoi n’a-t-il pas su que c’était là Ésaü, que c’était là Jacob et non Ésaü? Voyez? Dieu ne dit pas tout à Ses prophètes. Il ne leur dit que ce qu’Il veut qu’ils sachent. Voyez?
60        À ce moment-là, Dieu était en train d’élaborer un plan, et il fallait qu’il y participe. Dieu... Si vous vous soumettez à Dieu, Dieu vous fera participer à Son plan.
61        Maintenant, observez ce qu’il a fait, ce que cet homme a fait. Ésaü allait, s’efforçant de s’occuper de son pauvre vieux papa aveugle; et Jacob, apparemment, ne se souciait pas de ce qui lui arrivait. Mais il y a une chose que Jacob voulait, c’était le droit d’aînesse. Qu’importaient les conséquences, la manière de l’obtenir, le niveau auquel il devait se placer : tout ce qui l’intéressait, c’était ce droit d’aînesse. Et Ésaü, nous dit la Bible, a méprisé son droit d’aînesse; c’est ce que la Bible dit. Et la Bible dit : “Qu’il ne vienne parmi vous aucun impudique vaniteux, comme cet homme mauvais, Ésaü, qui a méprisé son droit d’aînesse et l’a vendu pour un plat de lentilles.”
62        Or, un droit d’aînesse, qu’est-ce que c’est? C’est un droit. Voilà ce que j’essaie de vous dire maintenant. Le Saint-Esprit est votre Droit d’aînesse; c’est votre Droit d’aînesse. C’est le droit que Dieu vous a donné. Bon, aujourd’hui les gens disent : “Je vais aller à l’église. Je suis aussi bon que les autres. Mais moi, agir comme l’un de ces exaltés? Moi, pas question.” Eh bien, espèce d’Ésaü! Voyez? Ça revient au même, c’est mépriser le droit d’aînesse. En effet, lui, il l’a échangé contre un plat de lentilles. Et vous, vous le vendez... Je ne parle pas de vous, personnellement, mais le monde le vend pour bien moins que ça.
63        Ésaü avait vraiment faim. Mais, vous voyez, si c’était une affaire de bonté... Si quelqu’un... Si nous étions allés là-bas et que nous soyons restés près de la tente pendant quelques–quelques jours, nous aurions vu qu’Ésaü était... Nous aurions choisi Ésaü. Voyez? Mais, dans son coeur, il voulait ce droit d’aînesse. Rien d’autre ne l’intéressait; il voulait ce droit d’aînesse. C’est tout ce qu’il voulait.
64        Alors qu’Ésaü, lui, il voulait être un brave type, s’occuper de tout, faire tout correctement, faire que tout soit aussi... C’était vraiment un bon légaliste : Ésaü. Il voulait que tout soit comme il faut. Jacob, lui, voulait une seule chose, c’était le droit d’aînesse, et c’est tout ce qui l’intéressait. Et Ésaü... Vous voyez ce qui est arrivé à ces deux garçons. Voyez? Et c’est même de Jacob que sont issus les douze patriarches, qui ont produit, eh bien, les douze tribus d’Israël – issus de Jacob. Et Il a appelé, Dieu a appelé Jacob Son propre fils. Voyez-vous ce que je veux dire?
65        Le Saint-Esprit devrait compter plus pour vous que tout le reste dans ce monde : votre prestige, votre vie, votre emploi, votre, tout ce qui existe. Vous ne devez pas vous arrêter tant que vous ne L’aurez pas reçu. Il faut absolument que vous Le receviez. Il faut que ce soit ce qu’il y a de plus... Vous dites : “Eh bien, j’ai peur que les–les gens, là où je travaille. J’ai peur que mon mari, que ma...” N’ayez pas peur; que Cela ait la priorité. Mettez tout le reste de côté. Que Cela soit en premier. “Eh bien, je compte bien Le recevoir un de ces jours, Frère Branham.” Pas un de ces jours : maintenant! C’est maintenant le moment. “Que Cela vienne en premier, avant que je–avant que je fasse quoi que ce soit d’autre. Que je L’aie maintenant!” Que ce soit une question de vie ou de mort! Voilà quelque chose qui aide à répondre à une question que nous avons. C’est que vous... quand Cela devient pour vous une question de vie ou de mort, qu’il faut absolument que vous Le receviez, sinon c’est la mort (voyez?), alors c’est à ce moment-là que vous Le recevrez.
66        Il y avait un Juif qui habitait ici en ville. Je ne sais pas si vous l’avez connu ou pas. Il avait été guéri d’un cancer. Ils lui avaient donné... l’avaient rejeté. Et quand il s’est fait baptiser au Nom de Jésus-Christ, là ils l’ont vraiment rejeté, ils l’ont mis dehors, dans la cour. Alors il est allé se joindre à l’église méthodiste. Ils ont appris qu’il s’était fait baptiser au Nom de Jésus, et ils l’ont mis dehors, alors qu’il faisait zéro [dix-huit degrés Celsius au-dessous de zéro], qu’il faisait environ moins dix [vingt-trois degrés Celsius au-dessous de zéro], dans l’Ohio; ils lui ont mis un lit là-dehors (Frère Fleeman, tu dois te souvenir de Frère Vance, non?), ils l’ont mis là-dehors, il y avait là une pompe à eau, et ils ont dit : “Il doit y avoir assez d’eau là pour que tu sois rebaptisé au Nom de Jésus, je pense.”
67        Quoi qu’il en soit, un jour, il m’a raconté une petite histoire. Il a dit qu’à un certain moment, sa femme, ils logeaient chez certaines personnes... Et il avait rassemblé toutes ses affaires, les avait mises dans son vieux camion déglingué et avait quitté la ville. Et sa femme a dit : “Tu sais quoi? J’aurais dû boire un peu d’eau avant de quitter cet endroit.” Elle a dit : “J’ai soif.”
            Eh bien, il a dit : “Chérie, il y a là une prise d’eau.”
            Elle a dit : “Eh bien, continue jusqu’à ce que tu trouves un meilleur endroit.” Vous voyez?
            Il a fait un autre bout de chemin, et il a dit : “Voilà une autre prise d’eau.”
            Elle a dit : “Eh bien, continue encore.” Vous voyez?
68        Mais, il a dit : “Alors, quand elle est arrivée à la campagne, il n’y avait pas de pompe.” Il a dit : “Elle haletait, tant elle avait–avait soif.” Et il a dit : “Au bout d’un moment, tout là-bas dans le champ, il y avait une vieille pompe de campagne, tout là-bas dans le champ, au beau milieu d’un troupeau de vaches; et elle avait peur des vaches.” Mais, il a dit : “Elle a dit : ‘Lévi, il faut absolument que je boive!’” Alors ils, il a arrêté la voiture. Et il a dit qu’il avait à peine immobilisé la voiture qu’elle était déjà descendue et avait franchi la clôture. Il fallait qu’elle ait de l’eau. Et, quand Dieu devient à ce point réel pour vous, quand vous avez soif comme ça, – qu’il faut que Dieu intervienne sinon vous mourrez, que vous n’en pouvez plus, – alors il va se passer quelque chose. Il le faut. Alors vous passez aux choses sérieuses avec Dieu. C’est à ce moment-là que vous, que ça se produit.
69        Donc, ces mauvais esprits trompent les gens. Et ces esprits, souvent, sont très religieux. Maintenant, vous dites : “Religieux, vraiment?” Oui monsieur! Ils enseignent même les Écritures, la Bible. C’est sûr.
70        Maintenant remarquez. Jésus s’est approché d’un groupe d’hommes, c’étaient de saints sacrificateurs; ils observaient les lois à la lettre; et ils étaient très, très religieux. Et Jésus... Jean les a appelés, il a dit : “Race de vipères (ça, ce sont des serpents), qui vous a appris à fuir la colère à venir?” Quand Jésus les a vus, Il a dit : “Vous avez pour père le diable.” C’était Dieu qui disait ça. Religieux au possible.
71        Souvenez-vous, quand, le diable reprend son homme, mais jamais son esprit. Dieu reprend Son homme, mais jamais Son Esprit. Voyez? Le Saint-Esprit vient dans votre vie et sanctifie votre esprit, Il vit à travers vous, et vous donne la puissance, pour que vous meniez la vie. Mais, quand–quand votre esprit s’en va, votre esprit est gardé auprès de Dieu; mais le Saint-Esprit qui était sur vous revient sur quelqu’un d’autre, puis sur quelqu’un d’autre, puis sur quelqu’un...
72        L’Esprit qui était sur Élie est venu sur Élisée, une double portion; sept cents ans plus tard ou huit cents ans plus tard, il est venu sur Jean-Baptiste, et l’a fait agir... Regardez comment Élie, regardez comment Élie était : c’était un vieux bonhomme velu, couvert de barbe; vêtu d’une peau de mouton, il avait l’air d’une chenille, les poils hérissés sur le visage, il marchait d’un pas lourd, ceint d’un grand morceau de cuir, comme une ceinture–une ceinture autour des reins, comme ceci. Si vous aviez... S’il s’était approché de votre maison, vous auriez dit : “Hou! la la! Appelez vite la police. Un type comme ça devant ma porte!” Mais c’était un prophète du Seigneur. Bien sûr que oui! Ensuite, quand il est mort, une double portion de son Esprit est venue sur Élie; ensuite, huit cents ans plus tard, il est venu sur Jean-Baptiste et a fait agir Jean exactement comme eux, parce que c’était l’esprit d’Élie.
73        Alors, si l’esprit d’Élie qui était sur Jean a fait agir Jean comme Élie, l’Esprit de Dieu qui est sur vous vous fera agir comme Jésus. Alors, le Saint-Esprit, c’est là qu’il se trouve. Voyez? C’est ça que le Saint-Esprit fait. Il vous rend doux, Il vous rend humble, Il vous rend indulgent.
74        Pourrait-on vous tirer la barbe, si vous en aviez une, vous l’arracher et vous cracher au visage, alors que vous auriez le pouvoir de faire venir des légions d’Anges? Pourriez-vous faire ça par amour pour les gens qui vous crachent au visage? Pourriez-vous le faire? Si quelqu’un s’approchait de vous et disait : “Hé, toi, l’hypocrite!”, et vous giflait, pourriez-vous prier pour qu’il soit pardonné? Or, voilà la confiance, le test par lequel déterminer si vous avez le Saint-Esprit ou pas. Voyez? Quand quelqu’un dit du mal de quelqu’un, d’une personne qui déclare avoir le Saint-Esprit, parfois : “Elle me le paiera cher, même si je dois attendre jusqu’à ma mort.” Voyez? Or, c’est là que vous pouvez vérifier où vous en êtes, pour ce qui est du Saint-Esprit. Voyez? “Heureux serez-vous, lorsqu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de Mon Nom.” Mais allez leur faire payer ça? Non! “Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.” Voyez?
75        Quand quelqu’un dit du mal de vous, dites du bien. Si vous ne pouvez pas dire du bien de lui, alors ne dites rien. Laissez tomber. Voyez? Et là, quand vous êtes seul, priez pour ces gens.
76        S’il y a une chose dans ma vie qui m’a aidé à comprendre que le Saint-Esprit était venu en moi là-bas ce jour-là, c’est ça. J’étais coléreux, impétueux, Irlandais des deux côtés. Je n’arrivais presque jamais à manger, j’avais toujours la bouche en compote, parce que quelqu’un l’avait réduite en compote, je bondissais quand je n’aurais pas dû bondir. J’ai eu quelques dents cassées, là, et qui ont été réparées, c’est que je–j’ai parlé quand je n’aurais pas dû parler (vous voyez?) et j’ai dit des choses... J’avais toujours des ennuis. Et j’ai dit... Quelqu’un m’a dit, à l’école, mon institutrice, elle a dit... J’ai dit : “Madame, c’est–c’est–c’est plus fort que moi.” Vous voyez, je m’attirais tout le temps des ennuis. Et j’ai dit : “C’est plus fort que moi.” Cette pauvre vieille Maman Temple, elle s’en est allée dans la Gloire l’autre jour.
            Et elle a dit : “Eh bien, écoute, mon chou.” Elle m’a pris sur ses genoux, elle m’a serré dans ses bras et s’est mise à pleurer. C’était la première fois que je recevais autant d’amour de quelqu’un, une femme âgée. Elle a pleuré, penchée sur moi. Elle a dit : “Billy, je vais faire quelque chose pour toi, mon chou; je vais te donner un bout de ficelle.” Et elle a dit : “Si un des garçons te saute dessus...”
77        On m’appelait “casse-maïs”, parce que je venais du Kentucky, vous savez, et–et... j’étais–j’étais vraiment très mal habillé. Et on se moquait de mes cheveux, ils pendaient, ils étaient presque aussi longs que maintenant, et ils recouvraient mon visage. Et je passais des moments terribles, vous savez. Et–et on me tabassait, et on me donnait des claques. Chaque fois que quelqu’un était en colère, il s’approchait, m’attrapait et me claquait. Et je réagissais tout de suite. Voyez? Et une, et donc, une bagarre éclatait. Et nous nous sommes–nous nous sommes même, je me suis même battu au couteau et tout.
78J’ai pris une carabine Winchester et j’ai essayé de tirer, de cribler de balles quatre ou cinq garçons, parce qu’ils m’avaient battu au point que j’avais de la peine à me tenir debout. Je les aurais tous tués si Dieu n’était pas intervenu. J’ai ramassé les cartouches par terre, je les ai remises dans le fusil; et les coups partaient très bien. Voyez? J’aurais été le meurtrier de cinq hommes, probablement, ou, de cinq garçons.
79        J’avais seulement environ douze ans – très colérique! L’institutrice a dit : “Prends ce bout de ficelle, Billy, et chaque fois que tu te fâcheras, arrête-toi et fais neuf noeuds à cette ficelle.” Elle a dit : “Quand tu auras fait ça, alors apporte-moi la ficelle. Je te parie que ta colère aura passé.”
80        J’ai dit : “Madame Whalen, je vous trouve rudement gentille.” J’ai dit : “Je–je vais essayer ça.” Voyez? (Ou, Madame Temple; j’ai dit Madame Whalen. J’ai dit Madame... Monsieur Whalen était instituteur ici, à un moment donné.) Alors, je–j’ai mis la ficelle dans ma poche. Ça ne faisait pas cinq minutes que j’étais dans la cour, que quelqu’un m’a décoché un coup. Eh bien, je m’y suis mis, j’ai commencé, vous savez. J’ai pris la ficelle dans ma poche, et j’ai essayé de faire un noeud; j’ai jeté la ficelle par terre, et voilà, j’étais parti. Voyez? Je n’y arrivais vraiment pas. Voyez?
81        Et je disais : “Je ne pourrai jamais être Chrétien.” Mais je vais vous dire une chose : ce soir-là, sur l’avenue Ohio, là-bas, quand le Saint-Esprit est entré en moi, cette question de tempérament colérique a été réglée. C’était terminé. Je disais : “Je n’y arriverai jamais. Je ne pourrai jamais être Chrétien, parce que je ne pourrai jamais me débarrasser de ça,” je disais, “c’est inné.” Je disais : “Ah, mes amis, mon papa était coléreux; et–et ma mère, qui était de mère indienne, avait un tempérament assez colérique pour affronter une scie circulaire.” Je disais : “Moi? Oh, je... Ah, mes amis, si quelqu’un me saute dessus, il recevra la monnaie de sa pièce, c’est tout.” Je disais : “S’il faut que je grimpe sur un escabeau pour le frapper,” je disais, “je le ferai, ça, c’est sûr.” Voyez?
82        Mais maintenant, on pourrait me traîner, là, dans la boue, et... Voyez? Pourquoi? Ce n’est pas moi! À quoi est-ce que je veux en venir, ici? C’est qu’il s’est passé quelque chose. Cette vieille puissance, ce vieux William Branham est mort, et Quelqu’un d’autre est entré. Et c’est Ça qui fait que je prends mon ennemi en pitié. Quand quelqu’un me fait du mal, je ne prie jamais contre lui, je prie pour lui. C’est ce qui est arrivé l’autre soir, en Nouvelle-Angleterre, quand le Saint-Esprit a donné ce test, avant ce qui est arrivé ici. Quand, là, quand Il m’a donné ce pouvoir, qu’Il a dit : “Prononce ce que tu voudras sur ces gens-là.” La manière dont ils s’étaient comportés... J’ai regardé dans leur direction, et j’ai dit : “Je vous pardonne.” C’est exactement ce qu’Il voulait. Voyez? Pardonnez à vos ennemis. Voyez? Ce sont ces esprits-là qui vous rendent méchants. Surveillez ces esprits-là.
83        Voici, quelqu’un passait. Il était là-bas dans un sépulcre. Quand quelqu’un passait, il se précipitait sur lui et le terrassait, c’est ce que la Bible dit. Personne, il était si dangereux que personne ne pouvait passer par là. Mais, un jour, une Puissance plus forte est passée. Il était possédé par la haine, la méchanceté, le démon, une légion de démons, il circulait là-bas; un grand gaillard. On se rendait là-bas avec une armée, on l’enchaînait; et il rompait les chaînes. Le diable était en lui. Voilà où il en était. Il était quelque chose. Il aurait été une–il aurait été une vraie idole pour l’école secondaire de Jeffersonville. Ça, c’est sûr! Voilà où il en était, tout ce grand... Ou pour certains adolescents, vous savez : “Oh, ça, c’est un vrai homme.” J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [quatre-vingt-dix kilos], et qui n’avaient rien d’un vrai homme. Ça, ce ne sont pas des hommes, ce sont des brutes. Voyez?
84        Mais, un jour, un petit bout d’homme, les épaules tombantes, descendait la route, Il était un peu voûté (la Bible dit que Son aspect n’avait rien pour nous plaire, à trente ans Il en paraissait cinquante), Il marchait sur la route, un jour. Et il s’est précipité vers Lui. Il a dit : “Je vais prendre ce petit homme et le faire tournoyer.” Mais, oh! la la! quand il a rencontré Celui-là, il est tombé à Ses pieds. Ces démons avaient tellement pris possession de lui... Maintenant regardez. Ce jour-là... Il était tellement possédé par le diable...
85Maintenant ceci, je veux ajouter ceci pour–pour vous. Il était, cet homme était complètement livré au diable, au point que le diable parlait en utilisant sa langue. De même, vous pouvez être complètement livré à Dieu, au point que Dieu peut parler en utilisant votre langue. C’est vrai! C’est ce que j’affirme. Tous les sermons significatifs que j’ai prêchés, c’est quand je me suis livré, que j’ai enlevé William Branham du chemin, que Christ a pu prendre la place et se mettre à parler. Voyez? Et Il peut s’exprimer par le langage.
86        Maintenant remarquez. Il était tellement possédé par ce mauvais esprit, et cet esprit avait une telle emprise sur lui, que... Ces démons ont su que leur heure était arrivée, parce qu’ils avaient rencontré l’amour. Voyez? Et ils ont dit : “Nous allons le mettre à l’épreuve.” Et tout... Maintenant, remarquez ce qui s’est passé. Il a dit : “Mais, nous savons qui tu es. Comment se fait-il que tu sois dans un petit corps comme ça, dans un homme d’apparence si frêle?” Il a dit : “Comment se fait-il que tu te présentes comme ça?” Il a dit : “Nous savons qui tu es. Tu es le saint d’Israël, pourquoi est-ce que tu...?” (Maintenant regardez bien! Si vous ne croyez pas qu’il y a un tourment futur pour les démons, écoutez ceux-ci le confesser.) “Pourquoi viens-tu nous tourmenter avant que le temps soit venu?” Ils savent qu’il y a un tourment futur. “Pourquoi viens-tu nous tourmenter avant que le temps soit venu?” Voyez?
            Jésus a dit : “Quel est ton nom?” Il le savait; Il voulait qu’eux-mêmes le confessent.
            Il a dit : “Nous sommes Légion, car nous sommes nombreux.” Il a dit : “Si tu nous chasses hors de cet homme...”
87        Regardez, un petit homme frêle comme Jésus qui se tenait là (voyez?), avec un homme qui pouvait presque battre une armée; les chaînes n’arrivaient même pas à le retenir. Vous voyez, ce n’est pas la force physique. Ce n’est pas ça qui compte. Ce qui compte, c’est la puissance du Saint-Esprit qui est dans votre vie. Voyez?
88        Il a dit : “Ne nous tourmente pas avant que le temps soit venu; mais si tu nous chasses... (Regardez leur méchanceté, leur cruauté.) Si tu nous chasses, ne nous laisse pas aller librement dans le monde, parce que, qui sait où nous nous retrouverons, dans quelqu’un d’autre. Si tu nous chasses... Nous voulons être dans quelqu’un; nous voulons faire quelque chose; nous voulons faire d’autres actes de méchanceté.” Ça, c’est le diable. “Je lui rendrai la pareille.” [Frère Branham émet un grognement pour exprimer la méchanceté.–N.D.É.] Voyez? Ça, c’est le diable. “Il me le paiera cher.” Voyez? Souvenez-vous, c’est votre frère qui se tient là, mais il est sous l’emprise du diable. Voyez? “Faisons quelque chose de méchant. Nous pouvons faire payer ça aux Gadaréniens”, a peut-être dit le chef, l’un d’entre eux. Il a dit : “Envoie-nous dans ce troupeau de pourceaux.”
89        Jésus a dit : “Allez-y. Mais sortez de lui!” Oh! la la! Un petit bout d’homme comme ça, qui parle à cette grande légion de démons. “Sortez de lui! Allez-y.” Et ils sont entrés dans ces pourceaux, ceux-ci ont eu des crises, ils ont provoqué des crises chez ces pourceaux. Et ils se sont précipités dans le fleuve, et se sont noyés dans le fleuve, ils se sont étouffés dans le fleuve. Pas vrai?
90        Alors, à ce moment-là, bien sûr, les démons sont sortis d’eux, puisque les pourceaux ont été tués. Cela leur a provoqué une crise. Ils ont eu une crise, comme n’importe qui. Avez-vous déjà vu une personne piquer une crise de colère? Eh bien, c’est exactement–c’est exactement ça. Ce sont ces démons-là. C’est ça qui leur est arrivé. Si jamais vous voyez quelqu’un piquer une crise de colère, dites : “Ah oui, maintenant je sais ce qui s’est passé à Gadara.” Voyez? C’est exactement ça. Là il en était entré quelques-uns de plus, alors ils l’avaient rendu complètement fou; en effet, le médecin vous dira que la colère est le premier stade de la folie. C’est ce que Mayo dit : le premier stade de la folie.
91        Frère Pat, c’était peut-être tranchant. J’ai fait de mon mieux, c’était inattendu. Bien.
102. Romains, chapitre 7, verset 25.
92        Il faut que je... Je ne me rappelle plus, j’ai cherché ça l’autre jour quand je l’ai reçue, mais je ne me rappelle plus au juste ce que c’est. Répondons à la question de cette chère personne, si nous le pouvons. Romains 7.22, très bien. Vingt-cinq, pardon. Romains 7, là j’avais tourné deux pages à la fois. C’est pour ça que...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur!...Ainsi que–ainsi donc, moi-même, je suis par l’entendement–par le–l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.
            Bon, un instant, là. Je n’ai pas lu ça correctement.
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur!...Ainsi donc, moi-même... (Oui, c’est ça.) ...je suis par l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.
93        Bien. C’est exactement ce que Paul a répété de nombreuses fois. Quand je veux faire le bien, le mal est tout près. Voyez? Vous aussi, c’est exactement ce que vous faites : par votre entendement, c’est-à-dire votre coeur. Voyez? Maintenant souvenez-vous : vous ne pensez pas avec votre entendement; et vous ne voyez pas avec vos yeux. Et vous ne... Vous–vous voyez avec votre coeur. Le saviez-vous? Saviez-vous que, dans votre coeur, il y a une autre personne, autre que vous? La science vient de découvrir ça, il y a environ quatre ans, vous savez. Un petit compartiment dans le coeur, et ils affirment que c’est là qu’habite l’âme.
94        Avez-vous déjà entendu parler du subconscient? Vous commencez à faire quelque chose, et vous vous dites : “Oh, ça ne m’affecte pas du tout”, mais votre subconscient, lui, vous dit autre chose.
95Ils peuvent, à l’aide d’un détecteur de mensonge... Je vois mon bon ami, l’avocat Robinson, assis au fond. Je ne sais pas s’il a déjà vu ça utilisé, mais il se trouve que je l’ai eu, essayé, qu’on l’a utilisé sur moi à un moment donné, à propos de l’Ange du Seigneur, ici. Ils vous passent au détecteur de mensonge, et vous essayez, là, de confesser de votre mieux, vous faites de votre mieux pour présenter ça bien gentiment et innocemment, pour montrer que vous n’avez pas fait telle et telle chose – un criminel. Ce détecteur de mensonge va réagir tout de suite, il indiquera que vous mentez. Voyez? Pourquoi? Ce sont les vibrations de vos nerfs qui sont captées par ce détecteur de mensonge. Voyez? C’est–c’est ce qui l’indiquera. Comment ça? Depuis le tout début, l’homme n’a pas été fait pour mentir. C’est le péché et le diable qui sont sur vous, qui vous font mentir. Voyez?
96        Vous n’avez pas été, vous n’êtes pas fait pour mentir. C’est pour ça que vous devez recevoir une nouvelle vie, c’est parce que vous avez été fait, créé pour vivre à jamais, vivre toujours. Mais, vous voyez, le péché est entré et a introduit la mort dans le corps. Et alors, quand le péché entre et introduit la mort dans le corps, alors, forcément, le corps doit mourir. Mais là, à l’intérieur, peut demeurer la Vie Éternelle – quand cet esprit qui est en vous a été changé et que vous avez la Vie Éternelle, Dieu ressuscitera ce corps au dernier jour. Il a dit qu’Il le ferait.
97        Donc, par ma pensée, la pensée... Il a dit, dans un autre passage : “Je crois avoir la pensée de Christ.” Or, par cette pensée, vous servez, avec la pensée de Christ, vous servez Dieu. Vous voyez, ce qui est à l’intérieur (voyez?), avec ce qui est à l’intérieur, vous servez Dieu. Le subconscient, c’est là que la foi réside.
98        Je voudrais vous demander quelque chose. Est-ce que souvent, vous les gens qui sont présents, beaucoup d’entre vous, il vous est arrivé à certaines occasions de–de savoir parfaitement que quelque chose allait se produire. Il semblait impossible que cela se produise, mais vous saviez parfaitement que cela allait se produire. Est-ce que ça vous est déjà arrivé? C’est cette foi, ce subconscient, qui agit.
            Maintenant, s’il commence à faire un peu chaud ici, vous pouvez baisser le bidule, là-bas, si vous trouvez qu’il fait un peu trop chaud.
99        Donc, à l’intérieur, ce subconscient (voyez?), c’est là que votre pensée... Or, Jésus a dit : “Si un homme ne naît de nouveau.” (Bon, ce n’est pas celui-là que je voulais.) “En vérité, en vérité, Je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.” Or, il n’y a pas moyen de voir le Royaume de Dieu, parce que le Royaume de Dieu, c’est le Saint-Esprit. Il a dit : “Quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu’ils n’aient vu le Royaume venir avec puissance.” Et puis : “Le Royaume de Dieu”, dit la Bible, “est au dedans de vous.” Il est au dedans de vous, le Saint-Esprit, et vous ne pouvez pas voir ça avec les yeux. Donc, voir veut dire “comprendre”.
100      Avez-vous déjà regardé quelque chose, vous l’avez devant les yeux, et vous dites : “Eh bien, je ne le vois vraiment pas.” Voyez? “Je ne le vois vraiment pas.” Vous voulez dire que vous ne le comprenez pas. Voyez, voyez? Vous ne le comprenez pas. Voir, c’est “comprendre”. Mais, avec les yeux, vous regardez les choses. Par contre, avec ce qui est à l’intérieur de vous, vous comprenez, c’est avec ça que vous voyez. Voyez? Vous regardez avec les yeux de Dieu.
101      Bon, maintenant, retenez bien ce point. Voici quelque chose de bon, si vous êtes prêts à le recevoir : Le Chrétien regarde des choses qu’il ne voit pas avec ses yeux (voyez?) – car nous regardons l’invisible. Voyez? Comment regardez-vous cela? Avec vos yeux intérieurs. Vous voyez cela par la foi. Et maintenant, en voici la preuve : l’armure du Chrétien est entièrement composée de qualités invisibles. L’armure du Chrétien, qu’est-ce que c’est? Quelqu’un qui dit : “Voir, c’est croire” – cette personne ne sera jamais chrétienne, parce que l’armure du Chrétien est composée de ceci : l’amour. Avez-vous déjà vu cela? Vous l’avez vu en action, mais vous n’avez jamais vu l’amour. Si vous le pouvez, retirez la partie de vous qui est amour, et montrez-moi à quoi ça ressemble. Voyez? L’amour, l’amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la douceur, la foi–la foi, la bonté (voyez?); l’armure du Chrétien est entièrement invisible à l’oeil naturel, mais elle est comprise par le coeur! Voilà. Voilà.
102      Donc Paul a dit : “Par mon entendement (‘Et j’ai la pensée de Christ’, vous voyez, qu’il a dit.) je sers Dieu, par mon entendement, mais ma chair (Comment a-t-il formulé ça, à la fin?), mais, par la chair, la loi du péché.” Qu’est-ce à dire? Ce soir, ma chair dit : “Tu es trop fatigué. Tu as trop mal à la gorge. Tu es–tu es sorti par grand vent, aujourd’hui. Tu n’iras pas à l’église ce soir.” Ça, c’est la loi de la chair. “Tu ferais tout aussi bien de téléphoner et de dire à Frère Neville que... Envoie les questions là-bas et dis-lui d’y répondre.” Mais, vous voyez, j’ai promis de le faire. Voyez?
103      Maintenant, mon entendement, à l’intérieur, le Saint-Esprit, dit : “Tiens ta promesse.”
            Mais la chair dit : “Tu es trop fatigué.” Voyez?
104      Maintenant, la chair dit : “Voyons, ce n’est pas nécessaire, ma mignonne, tu es la plus mignonne de l’école. Alors, n’écoute pas ta mère, c’est une exaltée, ni ton père, c’est un fanatique. Tu vois? Tu es la plus jolie fille de l’école.” “Tu es le plus joli garçon, le plus beau garçon, le mieux bâti. Tu es le plus populaire de la ville.” Vous voyez? Ce–ce... Vous livrez vos membres à ça, et quel en est le résultat pour vous? Vous êtes perdant, chaque fois. Voyez?
105      Paul a dit : “Ma chair veut–veut toujours se livrer à ça.” Votre chair aussi. Voyez? Mais la loi de l’Esprit de Dieu, dans le coeur, triomphe de la chair, et oblige le corps à obéir à ce que dicte le coeur. Alléluia!
106      Regardez, donc, si elle peut accomplir ça pour un pécheur, alors, n’est-ce pas qu’elle sera tout aussi efficace pour la maladie? La loi de l’Esprit de Dieu, dans le coeur, qui sait que “c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris” – ils se tiennent là, en possession de la puissance qui oblige la maladie, qui est dans ce corps, à leur obéir, parce que c’est un démon. Voilà. Fiou! Ça, c’est recouvert d’une couche de crème épaisse comme ça. C’est moi qui vous le dis. C’est ça. Voyez?
107      Alors, la loi du péché et de la mort agit dans votre chair, mais la loi de l’Esprit de Vie agit dans votre coeur. Donc votre coeur, l’esprit que vous avez dans votre coeur, obligera votre corps à obéir à ce que lui dicte le coeur. C’est tout à fait ça. Or, c’est ce que Paul a dit. Toujours la chair : “Je suis trop fatigué; je suis incapable; je suis inapte; je ne peux pas le faire.”
            J’ai dit à–à Loyce, ou–ou à Dolorès, ou à quelqu’un d’autre, qui me parlait du Saint-Esprit, de quelque chose en rapport avec ça, j’ai dit–dit : “Qu’est-ce...”
            C’est Dolorès qui disait : “Comment–comment se fait-il que je me sois sentie comme ça, juste au moment où j’aurais dû me sentir bien?”
108      J’ai dit : “C’est le diable. Il a vu que tu étais toute prête à recevoir cela. Il s’est dit : ‘Je vais la refroidir un peu [Frère Branham produit un son pour illustrer cela.–N.D.É.], l’éventer un peu, tu sais, lui donner une petite douche froide, quoi.’ Tu vois? Mais, oh! la la! c’est là qu’il faut te redresser! Fais valoir les droits que Dieu t’a donnés.” C’est ça que Paul voulait dire. Voyez? La... “Toujours, quand,” il a dit, “quand je veux faire le bien, le mal est tout près.”
109      Je vais vous dire ce qu’il faut faire. Voici ce que j’ai remarqué – ma femme et moi. Ensuite je vais me dépêcher de revenir à ceci, parce qu’il ne me reste que quelques minutes, et j’ai encore quelques questions importantes, ici. Je ne veux pas vous retenir trop longtemps, par contre je veux répondre à vos questions du mieux que je peux.
110      Remarquez! Je peux commencer, le matin, à dire que je vais aller, que le Seigneur me conduit à aller à un certain endroit pour une réunion, eh bien, frère, regardez bien tout ce qui va se passer. Ou bien, je rentre chez moi, et voilà qu’arrive un appel longue distance. Là il faut que je prie pour les malades. Le petit Joseph me grimpe sur les épaules. Sara veut me poser une question. Becky se met à jouer du piano. Je dis : “Chut, chut, chut!” Avec ma main sur le combiné : “Eh! chut, chut, chut, je vais, papa va prier pour les malades.”
            “Eh bien, papa, regarde : Jo a fait ceci...” Vous voyez? C’est parti. Et, dès que la prière est terminée, ils reprennent leurs jouets et s’amusent bien gentiment. C’est le diable. Bien sûr.
111      Ensuite, quand je m’approche et que je dis : “Joseph, tu ne dois pas faire telle chose.” Et, vous savez, bien vite il prend une habitude, et vous verrez ça chez vos enfants : ils vont vous mentir. Eh bien, c’est un esprit de mensonge sur ce petit. Il n’y a qu’un remède à ça. La baguette de fusil, à mon avis, ce n’est pas la solution, vous savez, la baguette avec laquelle on nous corrigeait, Frère Jess. Quand on faisait–faisait–faisait des bêtises, on nous tapait avec la baguette, qu’on sortait des vieux fusils, la baguette en bois de hickory, vous savez, des vieux fusils qu’on chargeait par le canon. Ce n’est pas ça la solution. Mais c’est la prière : chassez ce méchant démon de cet enfant. C’est vrai. C’est la prière qui le fera.
112      Si la petite Marthe se met à taper du pied, à prendre la porte, et à vous narguer, vous aurez beau la battre jusqu’au sang, elle le fera quand même. Mais tenez-vous devant Dieu, et réclamez l’âme de cette enfant pour Dieu. Ne bougez pas de là, tenez ferme. Je crois que c’est la meilleure chose que je connaisse. Oui monsieur! C’est le meilleur remède que je connaisse : la prière.
103. Maintenant, voyons un peu. Maintenant, la suivante ici dit : Qu’est-ce qu’on entend par prédestination avant le commencement du monde; à quel endroit est-ce que ça se trouve, dans la Bible? La prédestination avant le commencement du monde.
113      Très bien, mon précieux ami, prenons Éphésiens, chapitre 1, pour présenter un endroit où ça se trouve. Nous ne mettrons pas beaucoup de temps pour répondre à celle-ci, je ne pense pas, à moins que la réponse ne convienne pas. Commençons donc à lire ici, dans Éphésiens, chapitre 1.
114      Maintenant, pour commencer, je voudrais dire ceci : prédestination n’est pas un bon mot à employer par un prédicateur, devant une assemblée qui n’a pas reçu l’enseignement. Voyez? C’est vrai. Je ne l’emploie pas. Parfois ici, à l’église, mais devant les auditoires à l’extérieur, là dans les grands... Là où il y a une multitude de gens de toutes sortes, je suis prudent avec ce mot. J’emploie toujours le mot prescience, parce que la prédestination, en fait, ce n’est que la prescience de Dieu. Puisque Dieu est infini, par Sa prescience Il savait tout, sinon Il n’est pas infini. Voyez, voyez? Il savait ce qui allait arriver. Alors, par Sa prescience, Il pouvait prédestiner. C’est pour ça que je crois que Dieu–que Dieu ne fait pas que...
115      Comme l’air que vous respirez; je ne suis pas d’accord avec les témoins de Jéhovah sur leur conception selon laquelle votre souffle, c’est votre esprit. Ce n’est pas possible. Voyez? Votre esprit est dans votre coeur. Voyez? Et vous avez reçu votre esprit avant même de–de venir au monde. Dieu a dit à Jérémie qu’Il le connaissait, qu’Il l’avait sanctifié, et qu’Il l’avait établi prophète de la nation, des nations, avant même qu’il ait été conçu dans le sein de sa mère (voyez?), Jérémie 1.4.
116      Maintenant remarquez. Donc nous voyons que toutes ces choses relèvent de la prescience. Sept cent douze ans avant la naissance de Jésus, avant la naissance de Jean, Ésaïe l’a vu en vision, il a dit qu’il était la voix de celui qui crie dans le désert – sept cent douze ans. Depuis le jardin d’Éden, Jésus-Christ, avant la fondation du monde...
117      Comment est-ce que...? Lisons ceci. Éphésiens 1, commençons au chapitre 1 pour... ou, au verset 1.
Paul, apôtre... (Maintenant, regardez bien comment il adresse cela. J’aime cette manière de faire de Paul. J’aime Paul, pas vous? Oh, c’était un merveilleux serviteur de Christ. Maintenant, regardez bien ceci.)
Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, aux saints qui sont à Éphèse et aux fidèles en Jésus-Christ.
118      Remarquez, ceci ne s’adresse pas au monde; ceci ne s’adresse pas à ceux du dehors. Ceci, c’est pour l’Église qui est en Jésus-Christ (Oh, c’est beau, n’est-ce pas?), l’Église en Jésus-Christ. C’est... Or, comment entre-t-on en Jésus-Christ? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul Corps. Maintenant, comment... Et–et il adresse ceci à des gens remplis du Saint-Esprit (voyez?), pas au monde extérieur.
Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ.
Béni soit le Dieu notre Père–le Dieu et–notre Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis dans tous les lieux célestes–et de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ!
119      Oh! la la! N’auriez-vous pas aimé être assis là, à écouter certaines de ces choses? Eh bien, nous le sommes. Bien sûr! C’est le même Saint-Esprit. Il a dit là, qu’assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, Dieu nous a bénis de toute bénédiction spirituelle, Soeur Rose. Je crois que c’est... Je–je n’arrivais pas à me rappeler votre nom, l’autre jour. Je crois que vous étiez dans une ligne de prière, ou quelque chose comme ça. Et je–je me souviens que j’ai essayé de me le rappeler plus tard, et je, mais vous vous appelez Rose Austin, n’est-ce pas? Je me souv-... Vous étiez une habituée du Tabernacle, dans le temps. C’est ça. Très bien. Donc :
Béni soit le–le Dieu de notre Père...Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle–toute bénédiction spirit-...dans les lieux célestes... (Voyons si je lis ça, si je cite ça correctement.)
Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Jésus-Christ. (Assemblés maintenant dans les lieux célestes en Jésus-Christ.)
En lui Dieu... (Maintenant écoutez! Vous êtes tous prêts?) ...En lui Dieu nous a élus avant... (que je vous prêche) ...avant la fondation du monde...
120      Or, vous voyez, il peut parler à l’Église. Il ne dirait pas ça à des bébés, mais il parle à une Église qui est déjà en Christ. Bon, il ne pourrait pas aller là, dans n’importe quelle église, et dire : “Eh bien, maintenant...” – ça. Il s’agit là des Élus, qui sont en Christ.
121      Maintenant, vous dites : “Eh bien, moi, je crois que je suis en Christ.” Si vous l’êtes, vous avez reçu le Saint-Esprit, parce que c’est le seul moyen pour vous d’entrer en Christ. I Corinthiens 12.13       (voyez?), I Corinthiens, chapitre 12. Très bien. “Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul Corps (qui est le Corps de Christ).” Bon, et c’est alors que nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes, d’un même accord (Hmm!), le Saint-Esprit qui agit parmi nous, qui nous enseigne, qui nous montre de grandes choses, qui accomplit des choses. Oh, quel lieu!
122      Il a dit : “Maintenant, vous qui avez reçu cet appel-là, je veux vous parler, à vous, ceux qui ont été choisis : En Lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde.” Pensez-y. En Lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde. Dieu savait, avant la fondation du monde, que je parlerais de ce même sujet ce soir. Il est infini. Et, avant qu’il y ait un monde... Oh! Fiou! Ici même, recevez le Saint-Esprit maintenant. C’est la Parole qui L’amène. Voyez? C’est comme ça qu’Il est venu : “Comme Pierre prononçait ces mots, le Saint-Esprit descendit sur eux.” Voyez, voyez?
123      Avant qu’il y ait un monde, vous étiez dans les pensées de Dieu, Il se proposait de vous donner le Saint-Esprit, parce qu’Il savait que vous alliez vouloir Le recevoir; et Il vous a Lui-même choisis, parce que vous aviez ce désir... Il vous a choisis en Christ, avant que ni vous, ni Jésus, ni aucun de vous ne soit sur la terre. Et Il a envoyé Jésus mourir, afin de préparer le moyen d’envoyer le Saint-Esprit, afin de vous amener à Lui. Hmm! Oh, ça, vraiment... Je sais, peut-être que je... Ici, c’est l’église, donc je suis chez moi maintenant, vous voyez. Oh, ça, je trouve que c’est d’une richesse! De penser que ce n’est pas ce que moi, j’ai voulu; ce n’était pas par mes désirs à moi; ce n’était pas par ma volonté à moi; ce n’était pas par mon choix à moi; je n’ai eu absolument rien à voir là-dedans. Mais, dès avant le commencement du monde, Dieu nous a vus et a mis notre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau. Avant même qu’il y ait un monde! Vous parlez d’un Dieu! Fiou!
124      Je me suis trouvé là-bas, où il y a cette grande longue-vue... On peut voir à une distance de cent vingt millions d’années-lumière. Quand j’ai regardé et que j’ai vu ça (je n’ai pas pu regarder dans la longue-vue, mais j’ai vu la photo, là où ils l’ont prise), je n’ai pas pu faire autrement que lever les mains, là-bas, dans ce lieu, et j’ai dit : “Que Tu es grand, que Tu es grand!” Et avant même qu’une seule de ces planètes tourne (Alléluia!), Dieu nous avait élus en Jésus-Christ. Alors, que Tu es grand! Oui monsieur!
125      Avant qu’il y ait un monde, avant qu’il y ait une planète, avant qu’il y ait un soleil, avant qu’il y ait une lune, avant qu’il y ait de la lumière, avant qu’il y ait quoi que ce soit, quand il n’y avait encore que Dieu, que Dieu et Ses pensées, les pensées Éternelles de Dieu vous ont choisis par prédestination, par prescience, sachant que vous seriez sur la terre, sachant qu’il y aurait le péché.
126      Quelqu’un a dit : “Alors, pourquoi–pourquoi y a-t-il eu le péché?” S’il n’y avait jamais eu de péché, Ses attributs n’auraient jamais été ceux d’un Sauveur. Il fallait qu’il y ait un pécheur, pour qu’Il puisse être un Sauveur. Il fallait qu’il y ait un malade, pour qu’Il puisse être un Guérisseur. Amen! Voilà. Il fallait qu’il en soit ainsi. C’est Dieu qui–qui a vu cela et qui l’a déterminé d’avance. Le diable n’est même pas dans la course. Oh, il n’est qu’une souche qui traînait au bord de la route, que Dieu a utilisée pour amener à Lui des enfants qui crient : “Abba! Père!” Ce n’est pas étonnant qu’en ce jour-là, les Anges chanteront! Quand nous chanterons les histoires de la rédemption, les Anges inclineront la tête; ils ne savent pas de quoi nous parlons. C’est sûr! Ils n’ont jamais été perdus. Ils ne savent pas ce que c’est. Ils ne savent pas comme nous nous sentons bien, de savoir que nous, qui étions autrefois pécheurs et détachés de Dieu, sans espérance, sans miséricorde, sans Dieu, dans un monde de corruption, en train de mourir, en route vers l’enfer du diable – et Dieu s’est penché, Il nous a pris dans Ses bras et nous a rachetés; et maintenant nous sommes au-dessus des Anges. Maintenant même!
127      Lequel? Un Ange est un serviteur. Nous sommes des fils et des filles. Lequel est le mieux considéré : votre serviteur, ou bien votre fils ou votre fille? Oh! la la! La prière d’un saint monte un million de fois plus haut que celle d’un Ange (oui monsieur!), parce qu’il est un fils. Oh, fiou, c’est vrai, mon frère, ma soeur.
128      Vous ne... L’église... Je ne crois pas que, de ce côté-ci de–de l’éternité, nous pourrons jamais nous rendre compte – de ce que vous êtes, de la position que vous avez, où Dieu vous a placés, vous qui êtes remplis de l’Esprit. Vous êtes des fils de Dieu. Voyons, un Ange, c’est un serviteur. Vous êtes un fils! Un Ange ne peut que vous apporter un message, mais c’est à vous d’agir. Amen! C’est vous l’acteur sur la scène. C’est vous le fils. L’Ange est votre serviteur, qui vous apporte le message, qui dit : “Voici, je t’ai apporté ce message, je t’annonce que tu dois faire telle et telle chose. Cela vient du Père. Je te l’apporte.” Oui. C’est tout ce qu’il est. Amen! Vous êtes des fils et des filles de Dieu. Il nous a prédestinés! Maintenant regardez bien, un instant.
En lui Dieu nous a–Dieu nous a élus... (Alors, ce n’est pas nous qui avons choisi... Comment aurais-je pu Le choisir? Il y a quatre cents milliards de millions de milliards de billions d’années, comment aurais-je pu Le choisir? Mais c’est Lui qui m’a choisi. Amen! Oh, Frère Wood, c’est ça. Tu vois?) ...nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints... (Or ça, n’essayez pas d’y arriver par vous-mêmes, parce que vous ne le pouvez pas.) ...et sans défaut devant lui. Dans son amour,
            Oh, frère, voilà qui répondra à une question que j’ai vue, ici, il y a quelques minutes. Je–je l’ai vue quelque part... Oh, oui.
Vous avez dit... Comment un homme peut-il vivre au-dessus, vivre si près de Dieu qu’il soit sans péché?
            Écoutez ceci :
...saints...dès la fondation du monde, pour que nous soyons saints et sans défaut devant lui. Dans son amour,
129      C’est Son amour qui a fait ça. Son amour a payé pour mes péchés. Son amour les a ôtés. L’amour est la force la plus puissante qui soit. Prenez un mari qui aime vraiment sa femme, il donnerait volontiers sa vie pour elle. Et l’amour fraternel...
130      Il y avait un homme, un certain homme, qui vient à cette église de temps en temps, il n’est pas de la région. Il était chez son frère, l’autre jour. Il a dit : “Et si quelque chose arrivait à Frère Bill?” Il a dit : “C’est avec joie que je ferais de ma poitrine un bouclier, pour retenir une balle qui lui serait destinée.” Voyez? Mourir pour vous. C’est ça l’amour. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour son–son frère. Voyez?
131      L’amour, dans Son amour Il nous a élus avant la fondation du monde. Maintenant regardez bien :
Il nous a prédestinés... (Bon, voilà le mot “prédestinés”.) ...Il nous a prédestinés par Jésus-Christ à être adoptés, selon–selon le dessein bienveillant de sa volonté.
132      Qu’en dis-tu, Frère Mike? C’est merveilleux, n’est-ce pas? Il t’a aimé. Il t’a aimé avant qu’il y ait un monde. Il connaissait ta nature; Il connaissait tes faiblesses; Il connaissait tes habitudes. Il savait tout sur toi, ce que tu allais être. Et alors, quand Il a parcouru du regard le grand univers, tel qu’il était, Il a dit : “Je te choisis.” Et, quand Il a fait ça, c’était avant qu’il y ait la moindre trace de–de lumière – alors, vous êtes éternels, avec Dieu. Quand vous recevez le Saint-Esprit, alors vous devenez éternels, parce que vous avez, que vous êtes avec Dieu, vous êtes une partie de Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire? Vous êtes aussi éternels que Dieu, parce que vous êtes...
133      Je suis un Branham autant que mon père était un Branham, parce que j’ai le sang d’un Branham. Je suis un Branham comme mon père, parce que je suis né de mon père. Je suis un Branham comme lui. Tu es un Wood, parce que ton père est un Wood. Tu es un Wood autant que Jim Wood l’est; tu es Banks Wood, c’est tout. Amen! Oh! la la! Tu es un Neville, parce que ton père était un Neville. Tu es un Neville tout autant que lui était un Neville. Gloire! Nous sommes tout aussi éternels que Dieu, parce que nous sommes une partie de Dieu, des fils et des filles de Dieu, nous avons la Vie Éternelle, et nous ne pourrons jamais périr. “Je le ressusciterai au dernier jour.”
134      Ce n’est pas étonnant qu’au moment où on allait décapiter Paul, là-bas... Il fallait qu’il prenne ce sentier de la mort. Il a écrit cette dernière lettre à Timothée, disant : “J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi! Désormais la couronne m’est réservée; le juste Juge me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé Son avènement.”
            Alors la mort a dit : “Je viens t’emporter.”
            Il a dit : “Où est ton aiguillon?”
            La tombe a dit : “Je t’aurai.”
135      Il a dit : “Où est ta victoire?” Mais il avait un exemple. Il a regardé en arrière vers le Calvaire et a dit : “Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.” Voilà. Hmm! Ça éveille des émotions, forcément; c’est inévitable.
136      La vie est... La Parole est proclamée. La vie, la vie de la Parole prend Vie, et, à l’intérieur de l’être humain, quelque chose va s’écrier, forcément.
            Vous savez, quelqu’un a dit : “Billy, qu’est-ce qui pousse les gens à se lever, et à lever les mains en l’air, ou à dire ‘Gloire au Seigneur!’ ou ‘Amen!’?” Observez ce que la Bible dit.
137      Paul a dit : “Si nous parlons dans des langues inconnues, comment est-ce que le simple auditeur... Quand il est béni – s’il est béni, comment celui-là pourra-t-il dire : ‘Amen’?” Voyez? Il faut savoir de quoi on parle. Des langues inconnues, à moins que ce soit par une interprétation, ou une révélation... Alors il pourra dire : “Amen!”, s’il comprend. Il sait ce qu’il dit. Voyez?
138      Bon! Oh! la la! Regardez, ce jour-là, quand l’ennemi s’avançait contre David. Celui-ci a donné à chacun une ration de vin et–et une–une portion de viande et du pain. Et–et quand l’ennemi est arrivé, ils ne savaient pas ce qu’il fallait faire; et ils se sont rassemblés là-bas; et tout Israël s’est rassemblé sous le signe de la circoncision. (Or, ceci, c’était sous le signe de l’ancienne circoncision juive.) Ils ont levé les mains et dit : “Ô Dieu, Tu es notre Dieu. Tu nous as protégés. Tu as fait venir Moïse le prophète, et Tu as fait sortir d’Égypte les enfants d’Israël. Tu leur as fait traverser le désert. Quand ils étaient là, personne n’a craint de... tous ont craint de porter la main sur eux, personne ne s’est approché de Ton héritage. Ils avaient peur de le faire.” Pourtant ils étaient en minorité, mais personne n’a porté la main sur eux. Car tous ceux qui se sont frottés à eux se sont piqués. Il a dit : “Oh, que Tu es un grand Dieu! Et maintenant, Seigneur, si nous avons péché... Voici nos femmes; voici nos jeunes enfants; nous sommes en détresse, en cette heure.” Il a dit : “Oh, que pouvons-nous faire? L’ennemi arrive.” Il a dit : “Que pouvons-nous faire?”
139      Et pendant qu’ils priaient, l’Esprit est descendu sur quelqu’un dans l’assistance, et il a prophétisé : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce ne sera pas vous qui combattrez; restez tranquilles! (Amen!) Descendez à un certain endroit et rencontrez-les là.” Et Il a créé de la confusion parmi eux, et ils se sont entretués. Hmm! Voilà. Prédestinés à être élus en Jésus-Christ, avant la fondation du monde. Bon.
104. Vous avez dit qu’une personne pouvait vivre si près de Dieu qu’elle pouvait ne pas pécher pendant qu’elle était ici sur terre. Alors, expliquez I Jean 1.8 à 10.
140      Voyons I Jean 1.8 à 10. Si j’avais eu un peu plus de temps pour regarder ces... Je l’avais, mais c’est que je ne l’ai pas pris, mes amis. Je–je voulais aller faire un tour... Eh bien, je vais trouver Jean dans un instant. Ce–ce sera après Hébreux, bien sûr. Très bien. I Jean 1.8 à 10–I Jean 1.8 à 10.
Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous.
Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour... les pardonner, et... nous purifier de toute iniquité.
Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et la parole n’est point en nous.
141      Bon, mais attendez, mon cher frère. Prenez plus loin, le chapitre 3, ici, et le verset 9. Dans ma Bible, c’est à la même page. Le verset 8, pour commencer :
Celui qui pèche est du diable, car le diable a péché dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. (C’est exactement ce que je disais, c’est que Dieu vous avait prédestinés, vous connaissait.)
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est–qu’il est–parce qu’il est né de Dieu.
142      C’est exactement ce que dit la Parole. Maintenant, regardez bien, ici.
Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et la parole n’est point en nous.
            Maintenant, certaines personnes disent : “Bon, eh bien, voici une gentille petite fille, ou un gentil petit garçon. D’abord, eux, ils n’ont jamais péché.” Vous êtes nés dans le péché, enfantés dans l’iniquité, venus au monde en disant des mensonges. Quand vous naissez dans ce monde, vous êtes un menteur, vous êtes un voleur, vous êtes tout ce qu’il y a, tout ce qui est du péché – pas un voleur, parce que vous n’avez pas volé. Mais vous–mais vous avez... Vous n’êtes pas un menteur, parce que vous n’avez pas menti. Mais cet esprit est en vous à votre naissance, parce que vous êtes du monde. C’est pour ça que vous ne pouvez pas compter sur une réforme, pour vous réformer; il faut que vous mouriez et que vous naissiez. Et vous ne pouvez pas avoir de naissance sans avoir une crucifixion. Vous ne pouvez pas avoir de résurrection; il faut que vous soyez crucifié aux choses du monde pour pouvoir ressusciter en Christ.
143      Si vous vous appuyez sur vos–vos conceptions intellectuelles et tout, jamais vous ne naîtrez de l’Esprit de Dieu. Vous devez oublier, comme Paul l’a fait, il a oublié tout ce qu’il avait connu, pour ne pas savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, être né de nouveau, renaître. Oh, si... Tenez... Si seulement je pouvais vous faire saisir ça. Voyez? C’est une naissance, qui produit une nouvelle généra-... une nouvelle création. Le mot grec employé ici, j’ai cherché ça l’autre jour, dans le lexique du grec, le mot naissance veut dire “création”. Quand il est dit : “Vous êtes de nouvelles créatures en Jésus-Christ”, le mot créature, là, c’est le mot création. Vous êtes une nouvelle création, pas dans le monde, mais en Jésus-Christ. Vous êtes, de nouveau.
144      Là, vous étiez dans le monde, vous disiez, oh, vous savez, le luxe, les beaux vêtements, ou quelque chose de joli. Et : “Bof!” La religion, on laisse ça de côté. Voyez? “Oh, je vais à l’église, bien sûr. Je ne veux pas aller en enfer, mais, tu sais...” Et les beaux yeux bruns de la jeune fille, ou les cheveux ondulés du jeune homme, ou bien s’il est très, vous savez, s’il a une chose ou une autre, quelque chose pour attirer l’attention, ou bien on a de mauvais désirs, on boit, ou autre chose, là. Ça, c’est le monde; vous êtes–vous êtes dans le monde. Et la Bible dit : “Si vous aimez le monde et les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.” Donc, pour faire sortir ça de vous, vous devez mourir, devez mourir, être crucifié et enseveli, et ressusciter : une nouvelle création en Jésus-Christ.
145      Or, avant de recevoir le Saint-Esprit, vous croyez en vue de la Vie Éternelle. Mais vous n’avez pas la Vie Éternelle tant que vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit, parce c’est Lui la Vie Éternelle. Le Saint-Esprit, C’est Dieu; C’est la Vie de Dieu en vous. C’est là que vous avez la Vie Éternelle. Est-ce que vous comprenez maintenant? Voyez? Regardez! Voyez? Vous croyez en vue de.
146      Attendez, voici quelque chose de bon. Vous, les femmes, excusez-moi pour ceci, si ça semble trop direct (voyez?)... c’est pour faire remarquer quelque chose. Une mère : il y a là une vie, mais ce bébé n’est pas encore né. Mais, si vous donnez les soins appropriés à ce bébé et que vous suivez les règles qui gouvernent la nature, ce bébé aura une naissance normale. Mais, si vous n’appliquez pas toutes les règles qui gouvernent la nature, que vous recevez une blessure grave ou un coup, ou–ou qu’il arrive quelque chose, ça–ça–ça va tout gâcher (voyez?); ça va tuer le bébé avant qu’il naisse.
147      Eh bien, c’est ça le problème. Les blessures viennent de Satan. Satan prend les flèches empoisonnées de l’enfer et il essaie de blesser l’Église qui éprouve les douleurs de l’enfantement. Et, avant même que le bébé naisse, elles vont le tuer. Mais si vous prenez simplement la Bible et que vous le nourrissez de la... que vous lui donnez des aliments pour bébés, que la mère prend des vitamines... Eh bien, ceci, c’est la meilleure Vitamine que je connaisse : une Vitamine spirituelle. Voyez? C’est ce qui vous édifie.
148      Or, l’église devrait prendre des Vitamines spirituelles; et les Vitamines se trouvent ici même, tout un Livre en est plein. Il faut que vous preniez des Vitamines spirituelles, que vous appreniez, et ainsi le bébé se développera bien et pourra naître. Vous voyez ce que je veux dire?
149      Maintenant, ce petit, quand, il–il–il a une vie, il–il a une vie, puisque les petites cellules bougent et gigotent au bout d’environ trois mois et, ou quatre. Donc, il gigote, il bouge, mais il n’est pas encore né. Mais, dès qu’il vient au monde, le médecin, la mère ou quelqu’un d’autre le tient en l’air, et [Frère Branham tape une fois dans ses mains.–N.D.É.] lui donne une petite claque sur les fesses. “Ouiiin!” C’est parti (voyez?), et là il se met à respirer. Et aussitôt qu’il inspire le souffle de vie, alors il devient une âme vivante.
150      Et parfois, c’est ce qui... Vous êtes prêts à recevoir le Saint-Esprit? Vous êtes en travail; vous désirez accoucher. Combien ici sont dans cet état-là en ce moment, vous désirez recevoir le baptême du Saint-Esprit, vous désirez vraiment savoir ce que c’est, vous désirez entrer–entrer là-dedans? Qui désire recevoir le baptême du Saint-Esprit? Levez la main. Voyez? Vous êtes en travail, vous désirez-vous désirez accoucher. Ce qu’il vous faut, c’est une petite fessée de l’Évangile, un petit quelque chose qui [Frère Branham tape une fois dans ses mains.–N.D.É.], et vous vous mettez à hurler : “Gloire!” Et quand ça se produit... Je sais que vous pensez que je suis fou, mais nous–nous avons la pensée de Christ, qui est de toute façon une folie pour le monde. Quelque chose à l’intérieur hurle; et voilà, cet Esprit coule à flots en vous. Ensuite, Il continue toujours à venir.
151      Comme je disais à quelqu’un : c’est pareil à un vieux tuyau bouché. Vous passez une petite tige flexible dedans et, en tenant bien cette tige flexible, vous faites “zig, zig, zig”. Et il y a une grande quantité d’eau qui cherche à passer. “Zig, zig”, vous n’y arrivez pas, mais vous savez qu’il y a quelque chose plus loin. Vous pouvez le sentir; c’est à l’autre bout. Puis, au bout d’un moment, vous tirez un bon coup, et alors [Frère Branham imite le son de l’eau qui jaillit.–N.D.É.], voilà l’eau qui passe dans le tuyau. C’est comme ça. Alors l’eau continue toujours à venir. Le Saint-Esprit, c’est comme ça. Le péché avait bouché les tuyaux. Vous–vous restez assis là, en disant : “Moi, je suis timide. Moi, vous savez, je ne peux vraiment pas dire ça. J’ai peur que les gens pensent que je suis un exalté.” Voyez? Ça, c’est...
152      Maintenant, quand vous ressentez ce petit quelque chose, l’Esprit qui vous attire. Vous Le désirez plus que la vie, vous Le désirez plus que votre propre vie. Il a plus de prix à vos yeux : “Il faut que je Le reçoive, sinon c’est la mort.” Soudain, vous saisissez quelque chose. Vous dites : “C’est ça, Seigneur.” Vous retirez le bouchon. Fiou! La voilà qui vient! C’est parti! Oh! la la! Libre! Oooh! Oh, peu importe que le président Eisenhower, même, soit assis ici. Je dirais : “Gloire à Dieu, Son Sang vous sauvera.”
153      Pierre et les autres étaient à l’intérieur, à la Pentecôte, ils se cachaient, et ils disaient : “Regarde en douce par la porte pour voir s’il n’y a pas des Juifs qui viennent.
            – Non. Je n’en vois pas.
            – Très bien, restez bien tranquilles, les gars, je vous le dis, si jamais ils montent ici, ils vont nous faire sortir de force. C’est sûr et certain. Ne vous éloignez pas.”
154      Ils étaient tous assis là, et tout à coup il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Il remplit toute la maison où ils étaient assis. Quelque chose a commencé à se produire. Ils sont sortis du local; ils ont ouvert les portes d’un coup, ont descendu les marches, se sont avancés en titubant comme une bande d’ivrognes, sous l’impact de l’Esprit, en poussant des cris, et en faisant toutes ces choses.
155      Les gens ont dit : “Ces hommes sont ivres. Écoutez-les. Regardez ce lâche qui regardait par la porte, c’est lui qui a renié Jésus lors de la crucifixion. Il a dit : ‘Je ne Le connais pas.’ Une femme a dit : ‘Mais ta manière de parler te trahit. Tu es l’un d’entre eux.’” Ils ont dit : “Il avait fait des imprécations, en disant : ‘Je ne Le connais pas.’”
156      Mais quand le bouchon a été retiré, quand l’Esprit a commencé à couler, il a dit : “Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles. (Amen!) C’est moi le chef. Sachez ceci : ces gens ne sont pas ivres. (Il prend la défense de son église.) Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour, mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël : ‘Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair.’” Hum, quel changement! Fiou! Oh, je sais que vous pensez peut-être que c’est terrible, ça, mais je–je–je dois absolument vous montrer la Vérité. Tenez-vous-en à Cela.
157      Donc, certainement, vous avez la Vie Éternelle.
158      Maintenant, pour expliquer ceci. Dire ceci... “Si nous disons que nous n’avons pas péché (‘Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.’), nous faisons Dieu menteur.” Il a dit que vous aviez péché. Si vous dites que vous n’avez pas péché...
159      “Moi je–je suis né dans l’église baptiste, l’église méthodiste, l’église pentecôtiste, l’église presbytérienne; je suis né...” Ça ne change absolument rien, vous devez naître de nouveau, en dehors de ça. C’est vrai. Si nous disons que nous n’avons pas péché, c’est Le faire menteur. Et la Parole, qui est la Vérité... Combien savent que la Parole est la Vérité? “Au commencement était la Parole, et la Parole a été faite chair, et la Parole...” “Sanctifie-les, Père, par la Vérité. Ta Parole est la Vérité.” Et Il était la Parole. Voyez? “Et la Parole, ou le Christ, n’est pas en vous.” Il était la Parole. Combien d’entre vous savent ça? Voyez? Très bien.
160      Alors, nous allons le lire comme ceci : “Si vous dites que vous n’avez pas péché, vous Le faites menteur, et Christ n’est pas en nous.” Voyez, voyez? Or ça, vous voyez, c’est quand vous dites que vous avez péché... que vous n’avez pas péché, vous vous trompez. Il faut que vous naissiez de nouveau.
161      Maintenant, nous allons prendre ici cet autre verset. “Celui... Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, ne pratique pas le péché, parce que...”
162      Or le péché, qu’est-ce que c’est? Qui a dit ça, quelqu’un? L’incrédulité. C’est ce que la Bible dit. Il y a un seul péché, et c’est l’incrédulité. C’est vrai. “Celui qui ne croit pas est déjà condamné.” Voyez? Donc nous, un seul vrai péché.
163      Maintenant, si vous dites : “Bon, mais, eh, une minute. Je crois qu’ils ont peut-être reçu le Saint-Esprit comme ça à cette époque-là, mais là je ne crois pas qu’il en est ainsi.
            – Mais, frère, la Bible dit : ‘La promesse est pour vous et pour vos enfants.’
            – Je sais, mais...” Vous péchez. Là, vous péchez. Vous êtes incrédule à l’égard de ce que Dieu a dit.
164      “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement.
165      – Eh bien, non, nous, on nous enseigne que...” Peu m’importe ce qu’on vous enseigne. La Bible dit, Il a dit : “Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et que la Mienne soit reconnue pour vraie.” Bien.
            Vous dites : “Bon, Il, en principe, Il est le même, mais je ne... Vous voulez dire qu’Il serait le même?
            – Oui, Il est dans l’Église, en train de faire les mêmes choses que quand Il était ici.
166      – Oh, je ne peux pas croire ça.” Vous péchez. Vous péchez. Et celui qui est né de Dieu, du Saint-Esprit, ne dit pas ces choses. S’il dit qu’il a le Saint-Esprit et qu’il dit ces choses, c’est la preuve qu’il ne L’a pas. Peu m’importe ce qu’il a fait. S’il ne croit pas à la guérison Divine, s’il ne croit pas à la Puissance de la résurrection, s’il ne croit pas que le Saint-Esprit est répandu sur nous exactement comme Il l’a été dans le premier âge, exactement le même Dieu, hier, aujourd’hui et éternellement, que les choses que les apôtres ont faites, ce sont les mêmes qui sont en train d’arriver maintenant, le parler en langues, l’allégresse, et toutes ces autres choses; s’il ne croit pas ça, il n’est pas né de Dieu. Car quiconque est né de Dieu ne pratique pas ce genre de choses. C’est comme ça qu’on peut reconnaître s’ils sont nés de Dieu.
167      Si vous vous approchez de quelqu’un et que vous dites : “Monsieur le docteur en ci, et ci, et ça, Monsieur le révérend docteur en ci et ça (ce qui est bien, j’aimerais bien avoir ça, ces diplômes), mais, est-ce exact qu’on devrait continuer à pratiquer la guérison Divine dans l’église, comme le faisaient les apôtres?
            – Oh, non, non!” Il pèche. C’est un incroyant. C’est vrai.
168      Vous dites : “Croyez-vous qu’on reçoit le Saint-Esprit de la même manière qu’eux l’ont fait, ici? Je lisais dans la Bible, ici, dans Actes 2, où il est dit qu’ils, que le Saint-Esprit a été répandu, et qu’ils titubaient comme s’ils étaient ivres, et ils sont sortis et ont parlé dans les langues de ces gens, et des choses comme ça; ils agissaient comme des gens ivres, et l’église a cru qu’ils étaient ivres. Aujourd’hui, nous, quand nous recevons le Saint-Esprit, dans l’église baptiste, notre église baptiste, notre église méthodiste, notre église presbytérienne, peu importe laquelle, nous, on ne, je ne vois pas ces choses se faire chez nous.
            – Eh bien, je vais vous dire une chose, mon enfant, ça, c’était seulement pour les douze.” Il pèche. Il n’est pas né de l’Esprit de Dieu, parce que la Bible dit : “Celui qui est né de l’Esprit de Dieu n’est pas incrédule. C’est un croyant, alors il ne peut pas l’être.” Pourquoi? Pourquoi? Oh, nous y voilà. La Colombe est en lui, Elle le conduit. Car l’Esprit de Dieu est en lui, et il ne peut pas nier Cela; il ne le peut pas. Si c’est l’Esprit de Dieu, Dieu ne niera pas Sa propre Parole. Si je nie ma propre parole, je deviens alors un menteur. Et si–et si vous dites que vous avez l’Esprit de Dieu, et que vous niez la Parole de Dieu, soit que Dieu est un menteur, ou que c’est vous le menteur, l’un ou l’autre. Et la Bible dit : “Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et que la Mienne soit reconnue pour Vérité.” Et un homme qui est né de l’Esprit de Dieu ne peut pas être en désaccord avec la Parole de Dieu; il dira forcément qu’Elle est vraie. Il ne peut pas faire autrement. Fiou! C’est–c’est la Vérité.
169      Écoutez, je vais relire ceci.
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence...
170      La Semence de Dieu, qu’est-ce que c’est? La promesse qu’Abraham a reçue, la semence, pour la semence. Alors, la semence, qu’est-ce que c’est? Christ. Est-ce que Christ est la Semence de Dieu? Sinon, de qui est-Il la Semence? Très bien, très bien. Il est la Semence de Dieu.
171      La Semence de Dieu demeure en lui. Le Saint-Esprit vient pour demeurer, pas d’une réunion à l’autre, mais pour l’éternité. Maintenant, si vous voulez noter la référence biblique pour ça, c’est Éphésiens 4.30          : “N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés jusqu’au jour de votre rédemption.” La Semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pas pécher, parce qu’il est né de Dieu. Il ne peut pas refuser de croire la Parole de Dieu.
172      Maintenant, quand vous voyez un homme qui n’est pas d’accord avec la Parole de Dieu et qui dit : “Oh, c’était pour un autre âge”, alors que la promesse, c’est : “que celui qui veut vienne”, souvenez-vous, c’est un incroyant, et il n’est pas de Dieu.
Nous ferions mieux de nous arrêter ici, n’est-ce pas? Quelle heure est-il? Oh! la la! J’ai–je, c’est que je–je ne veux pas revenir à ceci dimanche. Laissez-moi prendre celles-ci très, très, très vite. Vous permettez? Ça fait beaucoup de bien. Ça fait du bien, vous ne trouvez pas? Oh, la Parole de Dieu. Bon.
Frère Branham, qu’est-ce qu’une personne doit faire... Laissez-moi garder celle-là pour la fin, prenons celle-ci.
105. Quel aspect aurons-nous à la résurrection?
173      Le même qu’en descendant dans la tombe. C’est exact, la résurrection. Imaginez un peu–un peu ceci. Ce livre tombe par terre [Frère Branham laisse tomber un livre.–N.D.É.], et je prends ce livre-ci, un autre livre, pour le remplacer. Ça, ce n’est pas une résurrection. Une résurrection, c’est “ramener celui-là même qui est descendu dans la tombe”. Jésus est-Il ressuscité? L’ont-ils reconnu? S’est-Il trouvé là, avec eux, le même Jésus? “Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel, reviendra de la même manière que vous L’avez vu s’en aller.” La résurrection, c’est exactement comme on est quand on meurt, c’est comme ça qu’on ressuscite. On meurt humain, dans une chair; on ressuscite humain, dans une chair. Exactement. Donc, à la résurrection, on est pareil. Nous pourrions encore passer deux heures là-dessus, mais mieux vaut ne pas nous engager là-dedans.
106. Expliquer Hébreux 4.6 (Faisons très vite, là, prenons ceci en vitesse.) et faire la comparaison avec Hébreux 10.26. Hébreux 6.4. (Pardon : 6.4, et 10.26. Voyons un peu, 10.26; très bien, je les ai ici. Voyez?)
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté les dons célestes, qui ont eu part au Saint-Esprit,
Qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
Et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie.
174      Et ça continue, en disant ce qui... Maintenant regardez. J’ai présenté ça l’autre soir. Combien étaient ici quand j’ai expliqué ça? Très bien, alors vous savez de quoi il s’agit. Vous voyez, ce sont ces croyants frontaliers.
175      Combien ont lu dans Deutéronome 1, là, alors que les espions étaient entrés là-bas, et qu’ils avaient goûté aux choses qui provenaient de Canaan. Et Canaan n’est pas un type du Millénium. Combien savent ça? Sans blague, une seule main? Junie. C’est vrai. Canaan n’est pas le type du Millénium, parce que là, il y avait des guerres, des combats, des tueries, et tout le reste, en Canaan. C’était un type du Saint-... Canaan, c’est un type du Saint-Esprit. L’Égypte, c’est le monde, d’où ils sont sortis. Le désert, c’est l’endroit où ils ont été une Église sanctifiée, appelée à sortir. Canaan, c’est là-bas qu’ils se sont installés, avec le Saint-Esprit (voyez, voyez?), parce que là, il y avait toujours des guerres. Et si vous ne croyez pas que vous avez des guerres, vous n’avez qu’à recevoir le Saint-Esprit pour le constater.
176      Qu’est-ce que vous faites? Qu’est-ce qu’on fait, en Canaan? Ils faisaient valoir leurs droits. Gloire! Ils faisaient valoir leurs droits. Et ils n’ont pas pu faire valoir leurs droits avant d’être entrés en Canaan. Dans le désert, ils ne possédaient rien. Ensuite, une fois entrés en Canaan, alors ils avaient des droits. Et nous avons des droits. Une fois que vous avez reçu le Saint-Esprit, vous êtes en Canaan. Vous devez vous battre pour ces choses; pour chaque pouce de terrain, vous devez vous battre. Oui monsieur! C’est pour ça que les gens disent : “Frère Branham, priez pour moi aujourd’hui.
            – Très bien, nous verrons...”
            Vous n’avez qu’à entrer en Canaan, frère, et là vous reconnaîtrez votre position. Regardez la prière prendre une tout autre tournure. Oui monsieur! Vous direz : “Écoute, Satan. Ceci est à moi! J’en suis possesseur! Dieu l’a dit! Sors d’ici! (C’est vrai, c’est vrai!) Ôte-toi de mon terrain!” Voyez?
            “Ton terrain?”, dit Satan.
            “J’ai un titre de propriété incontestable. Sors d’ici! Sinon, je te ferai parvenir une mise en demeure notifiée par le Saint-Esprit.” Il sort. Bien sûr, il est obligé.
177      Bon, donc, ceux qui avaient goûté les dons célestes. Maintenant ici, regardez bien.
...si nous péchons volontairement... (10, c’est le verset 26 du chapitre 10.) ...si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché,
178      Donc, l’un, c’est quand on n’y a que goûté, et le suivant, c’est quand on a reçu cela, qu’on en a obtenu la connaissance. Alors, si vous péchez (quoi donc?), si vous êtes incrédules. Maintenant, observez les deux passages, comment c’est dit. Voyez? “Si vous êtes volontairement incrédules après avoir reçu la connaissance de la vérité.” Maintenant, un instant, je vais le lire, ici.
et qui sommes tombés, soyons encore renouvelés...
...il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté les bons dons célestes... (Qui y ont goûté. Voyez?) ...qui ont eu part... (Voyez?) ...au Saint-Esprit,
Qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
179      Et il poursuit, là, en disant que, si vous êtes là, comme les chardons, alors que la pluie tombe souvent sur la terre; si vous êtes là, comme les chardons : le Saint-Esprit est descendu, et oh! la la! vous Y avez pris plaisir autant que les autres; mais, pour ce qui est de mettre la main à la pâte, ou d’aller quelque part, de travailler pour le Seigneur et de vous impliquer là-dedans, ça, non, non, vous ne pouvez pas faire ça. Voyez? Alors, ça montre que l’Esprit de Dieu n’est pas en vous. Voyez? Alors, finalement, vous vous excluez vous-même. “On finit par y mettre le feu.”
180      Mais ici, si nous sommes incrédules... Le péché, donc, qu’est-ce que c’est? L’incrédulité. Si la chose vous a été présentée, et que vous vous en détournez volontairement, que vous dites : “Non–non, je ne veux avoir rien à faire avec ça”, après que vous avez vu ce qu’il en était, elle ne s’adressera plus jamais à votre coeur. Pour vous, c’est fini. C’est vrai. Par votre péché, vous avez–vous avez laissé passer votre jour de grâce. Voyez?
Car, si nous sommes volontairement incrédules... (Maintenant, dans ma Bible, ici, c’est ce que j’ai noté, là où il y a le–le “m”, la–la note en marge, ici, ça dit : péché – incrédulité volontaire. Voyez, voyez?) ...volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché (Si vous vous en détournez, que vous rejetez Dieu volontairement, après que tout vous a été confirmé, et que Dieu vous a offert tout cela. Voyez?),
Mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera le rebelle.
Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins;
...quel pire châtiment pensez-vous que sera... mais digne, celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane...l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et...aura outragé les oeuvres de la grâce? (Oh! la la!)
181      Qu’est-ce que ça sera? Un prédicateur, un ministre, prenons simplement... Comme je suis prédicateur, disons que c’est un prédicateur. Il s’avance ici, il vient et confesse Christ, il met de l’ordre dans sa vie, il ne vit plus dans l’adultère et ce genre de chose, il a une vie propre – il s’avance ici; il a bénéficié de la grâce de Dieu, alors il avance dans la connaissance du Saint-Esprit (voyez?), il avance, Dieu le conduit jusqu’à la connaissance du Saint-Esprit, et là il voit ce qu’il En est, mais il dit : “Minute, là. Mon église n’accepterait pas ça. Non–non. Je ne pourrais pas faire ça. On me mettrait à la porte. Le–le conseil me mettrait à la porte. À la prochaine rencontre pastorale, je serais excommunié.” Il ne reste plus de sacrifice pour le péché, parce que ce Sang, – qui l’a sanctifié et amené jusqu’ici, à la connaissance de la Vérité, – il L’a considéré comme étant sans valeur et L’a foulé aux pieds, après que Dieu l’avait conduit pas à pas jusqu’au Saint-Esprit.
182      Vous dites : “Oh, minute, là, Frère Branham.” Un instant! C’est ce que fera l’esprit antichrist. Avez-vous remarqué les deux chefs qu’il y avait? Qui était Judas Iscariot? Le diable! La Bible dit qu’il était le fils de la perdition. Qu’est-ce que la perdition? L’enfer. Il est le fils de l’enfer, il est venu de l’enfer, et il s’en est allé en enfer. Et Jésus-Christ était le Fils de Dieu, Il est venu du Ciel, Il est retourné au Ciel. Alors que tous deux sont morts à la, sur des croix. Jé-... Est-ce que vous saviez que Judas est mort sur une croix? Combien savent ça? Il est mort sur un arbre. Jésus aussi est mort sur un arbre. Celui-là avait juste été coupé, c’est tout. “Maudit est quiconque meurt pendu au bois.” Et il est venu de l’enfer. Et observez ce que... Il s’est infiltré le plus possible dans l’église. Et c’est le niveau le plus élevé qu’il peut atteindre maintenant. Vous voyez comme il peut être trompeur? Donc, Judas est venu. Qu’est-ce qu’il était? Un trésorier, un frère, il travaillait dans l’église, comme trésorier de l’église, il est arrivé jusque-là, il a cru au Seigneur Jésus-Christ, et il a été justif-... [La bande, incomplète, se termine ici.–N.D.É.]