QUESTIONS ET RÉPONSES JEFFERSONVILLE IN USA 15 Octobre 1961

par Prophète William Marrion Branham


1          ...ces questions avant de venir à la chaire, mais il y a Frère Moore qui a téléphoné de toute urgence, et j’ai pensé que quelqu’un était très malade, mais il voulait seulement avoir une réunion. Donc j’essayais de le faire raccrocher, là-bas. Il voulait que j’aille, pour la période de l’Action de grâce, faire une réunion à leur église, mais, en Louisiane. L’année dernière, lorsque nous étions là-bas, nous, le Seigneur a commencé un réveil, et il n’est pas encore terminé; il continue, ce réveil. Je ne me rappelle plus combien de centaines de personnes ont été sauvées au cours de cette dernière année, quand le, après le réveil là-bas.
2          Bon, je pense que ça peut être un peu surprenant que je sois là ce matin; ça l’est pour moi aussi. Comme je ne le savais pas moi-même, nous ne l’avons pas annoncé parmi les, vous savez, aux gens, je suis simplement passé pour répondre à quelques questions. Je me suis dit que, par ce moyen... En général, un pasteur peut voir ce qui tient à cœur à ses fidèles, quand il leur demande de poser des questions. Et par ce moyen, nous voyons à quoi les gens pensent.
3          Et je crois, avant de commencer, ce matin, que quelqu’un a dit qu’il avait un bébé à consacrer. Billy m’a dit qu’il y avait la consécration d’un bébé. Si c’est le cas, je... Très bien. Nous allons amener le petit devant pour le consacrer au Seigneur; ensuite nous répondrons aux questions, puis nous prierons pour les malades.
4          J’aimerais vous informer que l’état de ma mère est à peu près stationnaire. Elle... Je ne pense pas que son état ait empiré, bien qu’eux le pensent. Mais moi, je ne le pense pas; je crois qu’elle va à peu près comme avant. Et tant que Dieu ne me dira pas qu’elle va mourir, je ne le croirai pas. Et je vais garder la foi pour maman (Voyez?), tant qu’Il ne me dira pas qu’elle va s’en aller.
5          Bon, il se peut qu’Il la reprenne; je ne sais pas. Sa... Il me le cache peut-être, pour que je ne m’inquiète pas ou pour autre chose; mais je vais continuer à croire que Dieu va lui permettre de se rétablir, quel que soit son état. Elle n’a rien mangé depuis trois semaines, on la nourrit au glucose seulement; mais quoi qu’il en soit, je crois qu’elle va se rétablir. Voyez?
5a        Frère Neville. Eh bien, voici un, nous espérons que ce sera un, avoir un autre prédicateur en herbe, voici un petit M. Wood. Oui monsieur. Quel est son prénom entier? William David junior? Est-ce que tu vas l’appeler Junior? Oui. C’est un petit cadeau qui a été envoyé dans la famille Wood, là-bas, et bien sûr, c’est le chouchou de grand-maman, et... Le petit William David junior. Et c’est vraiment un gentil petit bonhomme. Et sa petite soeur va le modérer, là, parce qu’elle... Oui, son doigt est replié, là, son index, le doigt qui actionne la gâchette, est replié. C’est un chasseur d’écureuils. Il me regarde d’un œil. Je pense qu’il est un peu timide. N’est-ce pas? Mais, nous savons que c’est Dieu qui envoie ces petits êtres dans nos foyers, et nous Lui sommes reconnaissants de ce qu’Il nous a confié la responsabilité de les élever. Et je suis tout à fait certain que, si la grâce de Dieu demeure dans cette famille, ce bébé sera élevé et instruit selon Dieu. Inclinons la tête.
            Notre Père Céleste, nous T’amenons le petit William David Wood ce matin, au Nom du Seigneur Jésus, par respect pour l’Écriture, dans laquelle il est dit que, lorsqu’Il était ici sur terre, on Lui amenait des petits enfants, des tout-petits, afin qu’Il leur impose les mains et les bénisse. Et s’Il était ici ce matin, dans un corps de chair, nous savons que notre frère et notre soeur Lui amèneraient ce petit cadeau de la grâce. Alors, puisque nous devons Le représenter aujourd’hui par la prédication de l’Évangile, c’est à nous qu’ils amènent ce bébé. Par la foi, nous élevons le petit David vers Toi, au Nom de Jésus, et nous Te prions de le bénir, Seigneur. Ô Dieu, fais qu’il vive pour être un–un de Tes serviteurs, si Tu tardes. Accorde-le, Seigneur. Donne-lui la santé et la force. Bénis son père et sa mère. Et si c’est selon Ta volonté Divine, fais que ce petit garçon grandisse pour prêcher l’Évangile dans les jours qui sont à venir. Accorde-le, Seigneur. Nous Te donnons ce petit William David Wood, pour qu’il soit Ton serviteur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
5b        David, je fais toujours très attention avec ces petits. On a l’impression qu’ils sont tellement, tu sais, qu’à tout moment on pourrait les laisser tomber.
Je trouve ceci, chez les tout-petits et les personnes âgées : prenez quelqu’un, une personne qui est âgée, qui a parcouru un long chemin, ou un tout-petit, qui, ils ont vraiment un air de candeur, vous savez; je prends, il y a quelque chose en eux que j’aime vraiment.
            Je me demande si nous pourrions mettre une lampe ici, sur la chaire. Frère Neville, sais-tu où se trouve la... Oh, voilà.
6          Maintenant, des questions, nous en avons pas mal ici, et je n’ai même pas pu chercher les passages de l’Écriture qui, en rapport avec les questions qui ont été posées, parce qu’elles n’ont été données que ce matin. Je viens de les prendre il y a quelques instants, j’ai lu quelques-unes d’entre elles en vitesse, j’ai vu quelques questions et je me suis demandé comment... Et certaines... Ce paquet de questions, ce sont les plus épineuses que j’aie jamais eues. Alors, quand je les ai regardées, j’ai vu que ces questions-là nous donneraient du fil à retordre.
7          Donc, si je n’y réponds pas conformément à vos convictions sur ces questions... Maintenant, souvenez-vous toujours que j’y réponds de mon mieux. Et alors, parfois, peut-être que je, que pour ça, je devrai y répondre en faisant référence à un passage de l’Écriture, sans peut-être avoir le temps de le vérifier. Alors, quand vous rentrerez chez vous, vérifiez-le et voyez. Et si je l’ai cité incorrectement, eh bien, alors, je–je me suis trompé. Je ne fais pas exprès de citer qui que ce soit incorrectement, mais, de citer l’Écriture incorrectement, mais il peut arriver qu’on le fasse. On peut peut-être dire un mot pour un autre. Vous savez comme c’est facile de faire ça.
8          Mais nous avons l’intention – notre intention est de les citer fidèlement. Si je pouvais les prendre, disons, ce dimanche, et y répondre dimanche prochain, alors j’aurais le temps de regarder tout ça pendant la semaine.
9          Mais beaucoup de malades arrivent, et j’ai été vraiment très occupé, je n’ai pas réussi à–à faire toutes mes visites. Et je me suis dit qu’aujourd’hui serait le bon moment, qu’on pourrait faire venir ces malades au Tabernacle, pour que nous priions pour eux. Nous savons que la prière change les choses.
10        La prière fait quelque chose pour nous. Et c’est par la prière que je vis aujourd’hui. Je vis de la grâce de Dieu, par la prière. Et ce matin, comme je suis un peu fatigué, épuisé, je désire vos prières pour moi, que vous priiez pour moi.
11        Et, hier, j’étais chez un ami, c’était un foyer chrétien où de jeunes Chrétiens s’étaient rassemblés. Je leur parlais, et là, quelque chose s’est présenté à moi, une pensée en rapport avec... Je regardais dans les bois les arbres ici et là, et en les voyant en train de mourir, j’ai pensé : “Comme ces arbres sont beaux, même s’ils sont en train de mourir, ils sont quand même beaux.” Et parfois, un arbre est plus beau lorsqu’il est en train de mourir que lorsqu’il a toute sa verdeur et toute sa vigueur. Et je me demande si ce n’est pas l’image que notre Père Céleste a de notre état, car Il a dit : “Précieuse, aux yeux de l’Éternel, est la mort de Ses saints.”
12        Ce doit vraiment être quelque chose de–de très beau pour notre Père, de regarder Son enfant qui rentre à la Maison auprès de Lui, et qui maintient sa position en Christ, sa foi et sa confession (Voyez?) : “Je suis sauvé, par la grâce de Dieu!”, et qui s’en tient à cela (Voyez?). À l’heure de–de la mort, malgré tout nous maintenons ce que nous professons : nous sommes sauvés.
13        Et je crois que notre Père est, qu’Il aime notre bravoure : le fait que nous croyons et que nous maintenons notre témoignage. Et il–il ne s’agit pas de témoigner uniquement quand on se sent bien, en bonne santé et fort; il s’agit de le faire quand on est abattu, faible et préoccupé. C’est là que votre témoignage prend tout son sens.
14        Et, en y réfléchissant, je me disais ceci : que la mort n’est pas reliée à la vie. La vie et la mort ne peuvent pas exister en même temps. Il faut que la sève quitte les arbres, avant que la feuille puisse mourir sur l’arbre. Ainsi donc, la mort est reliée, à mon avis, pour ce qui concerne l’être humain, la mort est reliée au péché. En effet, avant que nous ayons le péché, nous n’avions pas de mort, aucune. Mais là où il y a la mort, eh bien, il y a le péché; et là où il y a le péché, il y a la mort; parce que la mort est la conséquence du péché.
15        Et alors, celui qui... L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. Mais, une fois que nous sommes nés de nouveau de l’Esprit de Dieu, nous avons la Vie Éternelle, et nous n’avons aucun lien avec la mort. Voyez? La mort ne peut pas côtoyer la Vie. La Vie ne peut pas côtoyer la mort.
16        En parlant à, hier, dans la pièce où il y avait quelques jeunes Chrétiens, j’ai dit : “Si vous étiez ici, sur la route, et qu’une voiture dont on a perdu la maîtrise arrivait sur cette route à quatre-vingt-dix milles [cent cinquante kilomètres] à l’heure, vous sortiriez de l’autoroute aussi vite que possible. Vous sauteriez sur le côté, vous vous laisseriez glisser, vous feriez n’importe quoi, vous vous ôteriez du chemin de cette voiture.” Et c’est comme ça qu’un Chrétien devrait considérer le péché, parce que le péché est relié à la mort. Et dès que vous voyez le péché sous quelque forme que ce soit, sautez loin de ça, éloignez-vous de ça. Peu m’importe ce que vous devez faire, éloignez-vous de l’apparence même du mal. Parce que, souvenez-vous, de côtoyer le péché, c’est la mort. C’est la même chose que de rester là et de laisser cette voiture vous rentrer dedans.
17        N’attendez pas de voir ce qui va se passer; ôtez-vous de son chemin. L’apparence même du mal, fuyez ça en vitesse. Quand vous voyez une tentation qui se pointe, et le péché... Vous le savez, si c’est quelque chose de mal, que la mort rôde autour de vous. Voyez? Alors, éloignez-vous de ça, aussi vite que vous vous éloigneriez d’une–d’une voiture qui arrive à quatre-vingt-dix milles [cent cinquante kilomètres] à l’heure. Voyez? Vous–vous voudriez vous en éloigner au plus vite : vous ôter du chemin, sauter sur le côté, vous laisser glisser, fuir par n’importe quel chemin, vous éloigner de ça, c’est tout.
18        Et ce qui nous fait savoir que nous avons la Vie, c’est parce que nous haïssons le péché. Et nous haïssons tellement le péché que, sachant que la mort est reliée à ça, nous en fuyons même l’apparence. Nous nous en éloignons par tous les moyens possibles : nous sautons sur le côté, nous fuyons, nous faisons tout ce que nous pouvons pour nous tenir loin du péché, parce que dans le péché, il y a la mort. Nous ne voulons en aucune façon côtoyer la mort, ça, c’est sûr. Nous voulons nous tenir loin de ça.
19        Donc, je me suis dit que ce serait un bon petit sujet de réflexion. Ça m’est venu à l’esprit hier, pendant que je parlais à ces Chrétiens; je me suis dit que ce serait bien d’en faire part à l’église ce matin, spécialement pendant que les jeunes sont assis ici, eux qui ont à subir–à subir tant de tentations comme ça.
20        Et puis, je crois qu’il y a une question, ici, si on finit par y arriver, quelque chose qui est aussi en rapport avec ça. Et rappelez-vous simplement que, dans tout ce qui est considéré comme un péché, il y a la mort. Et quand vous participez à ce péché, vous participez à la mort. Alors, tenez-vous loin de ça.
21        Et le péché, qu’est-ce que c’est? L’incrédulité. Oui! Tenez-vous loin de toute incrédulité, de tout ce qui ne tient pas compte de la Bible. Tout ce qui ne tient pas compte de la Parole de Dieu, tenez-vous loin de ça! Et si je termine ces questions à temps, avant mon service de guérison, je voudrais parler un peu de cela : le manque de respect.
22        Maintenant, avant de répondre aux questions, ou d’essayer de nous y attaquer, prions. Notre Père Céleste, nous venons dans Ta présence ce matin, au Nom de Jésus, en déclarant que nous nous sommes dissociés des choses du monde, car, comme Il l’a dit, on ne peut pas servir Dieu et Mammon, c’est-à-dire le monde; ou nous haïssons l’un et aimons l’autre, ou nous aimons l’un et haïssons l’autre.
23        Et ce matin, nous croyons que nous sommes reliés à la Vie Éternelle, puisque nous acceptons Jésus-Christ par la foi, et que nous avons la preuve que le Saint-Esprit vit dans nos vies, nous guide. Nous en sommes tellement reconnaissants : ainsi, lorsque nous voyons le péché, peu importe combien il peut sembler inoffensif ou être agréable à voir, il y a quelque chose au dedans de nous, qui nous fait sauter sur le côté, nous tenir loin de cela, tout comme je l’ai exprimé par cette image de la voiture qui arrive à une vitesse folle. Nous ne voulons en aucun cas être pris dans les liens du péché. Nous nous tenons loin.
24  Et maintenant, Seigneur, ce matin, ayant le sentiment qu’il y a beaucoup de malades et de gens qui ont des besoins, je prie pour eux, Seigneur, afin que Tu donnes la foi, particulièrement à ceux qui sont dans le Tabernacle ce matin, et qui viendront dans la ligne de prière, afin qu’ils rejettent tous les petits fardeaux, tous les, toute incrédulité, qu’ils s’en éloignent rapidement et qu’ils se réfugient auprès du Seigneur Jésus avec la foi pour croire.
25        Je prie pour ceux qui sont dans les hôpitaux et dans les maisons de convalescence. Et, Seigneur, je prie pour ma mère. Jusqu’à présent, Seigneur, Tu l’as gardée avec nous, et nous T’en sommes reconnaissants. Et, par la foi nous tendons des mains suppliantes, désireux d’abord de connaître la volonté de Dieu, de savoir si c’est Sa volonté qu’elle s’en aille. Si c’est Sa volonté, alors nous sommes, c’est aussi notre volonté, mais d’abord nous voulons savoir si c’est Satan qui a fait cette vilaine chose et que cela concourt au bien de ceux qui nous aiment, afin de nous mettre à l’épreuve. Dans ce cas, Seigneur, nous voulons rester bravement à notre poste.
26        Nous Te demandons, ce matin, Père, de te souvenir de tous ces appels téléphoniques et de toutes ces requêtes spéciales qui attendent là-bas au bureau. Bénis partout nos bien-aimés.
27        Et aujourd’hui, comme nous devrons répondre à des questions, Seigneur, nous sommes conscients que celles-ci expriment des choses profondes et sincères qui tiennent à cœur à ces gens. Ils n’ont pas posé ces questions à la légère; ils les ont posées parce qu’ils sont intéressés à connaître la Vérité. Ta Parole est la Vérité.
28        Alors, Père, nous Te prions d’unir, ce matin, nos pensées dans cette Vérité, la Parole, et aide-nous, Seigneur, afin que nous puissions mieux comprendre, aujourd’hui, en repartant de cette maison d’enseignement, et que cela ait été profitable à nos âmes. Nous demandons ceci pour la gloire de Dieu au Nom de Jésus-Christ, Son Fils. Amen!
29        Bon, il y a des mouchoirs qui ont été posés ici pour qu’on prie dessus, je suppose, et nous allons le faire bientôt, aussitôt que possible. Maintenant, si on regarde l’heure, nous avons environ une heure et demie. Comme je l’ai dit avant, je ne sais pas exactement si je pourrai répondre à toutes ces questions ou pas. Mais, notre programme pour aujourd’hui, c’est de répondre aux questions, de faire juste une mini-prédication, là, sur, pour–pour aider la foi des gens, puis de prier pour les malades. Et souvenez-vous des services de ce soir, et des réunions de prière au milieu de la semaine, des réunions des frères, et ainsi de suite.
30        Et pour dimanche prochain, je ne sais pas si... Il y a un–un sujet qui m’est venu à cœur, que j’aimerais apporter à l’église, si possible, si le Seigneur le permet, dimanche prochain, quelque chose de–de très frappant qui m’est venu à l’esprit cette semaine comme sujet de prédication, un message pour une prédication, un message d’évangélisation... Nous verrons un peu plus tard comment notre Seigneur conduira à ce sujet.
31        Et maintenant priez pour moi, parce qu’il y a des décisions importantes à prendre. Frère Roy Borders (je pense qu’il est quelque part ici, ce matin), c’est lui qui s’occupe des réunions, et il a un carnet rempli d’invitations qui sont arrivées ces derniers mois, et, d’endroits où aller, et des gens qui l’appellent pour demander des réunions. Donc, priez afin que Dieu me donne de prendre la bonne décision quant à ce que je dois faire, que ce soit la bonne, la... qui produira les meilleurs résultats.
32        Maintenant, pour répondre à des questions qui sont, nous savons, tranchantes... Et c’est pour cette raison que je réponds aux questions (nous n’avons pas annoncé de service de guérison ni rien, pour qu’il n’y ait ici que les habitués), pour que nous puissions voir ce qui tient à cœur aux gens.
33        Et Frère Neville qui est assis ici derrière, notre précieux frère et pasteur, il, je suis vraiment content de le voir progresser dans le Royaume de Dieu; je crois qu’il a fait plus de progrès au cours des deux ou trois dernières années, plus que toutes les autres années mises ensemble. Comme le Seigneur l’a béni! J’en suis vraiment heureux.
34        Et je ne le dis pas qu’en face, je le dis derrière son dos, et vous le savez. Je connais Frère Neville depuis mon enfance. Voyez? Et je sais que, si Frère Neville... Je crois ceci. Il est sujet à l’erreur, comme nous tous; nous–nous sommes toujours sujets à ça, nous sommes toujours des êtres humains. Mais ça ne viendrait pas du cœur, je ne le crois pas. Il serait sincère; et il l’a toujours été, sincère au plus haut point.
35        Et quand il a accepté ce Message, je lui ai, je l’ai fait élire par un vote de l’église, comme pasteur ici, lorsqu’il ne comprenait même pas ces choses comme il les comprend maintenant. Mais il a été assez sincère pour vouloir tout déposer, examiner la chose et l’aborder avec respect, si bien que je pense qu’il a un bon fondement solide, alors, quand il s’avance maintenant, il sait où il en est, là.
36        Donc, je suis–je suis très heureux pour le Tabernacle. On me dit que l’autre soir, à la, ils ont eu une réunion ici, pour déterminer s’ils allaient construire un nouveau tabernacle ou agrandir celui-ci, le rendre plus spacieux et faire des locaux pour l’école du dimanche; et l’église a voté à l’unanimité l’agrandissement, qu’on l’agrandisse de ce côté, qu’il soit plus grand, ajouter des locaux pour l’école du dimanche, de manière qu’il y ait des salles pour toutes les classes, que les sols soient recouverts de moquette, qu’il y ait un revêtement en bois de bouleau, que tout soit bien arrangé, et qu’on mette de la pierre de Bedford à l’extérieur. Donc, l’église a voté ça. Et je crois que les architectes et les autres sont maintenant à l’œuvre. Demain, il y aura une réunion pour ça, pour faire une–une église plus grande, l’agrandir par l’arrière et l’arranger autrement. Alors, nous serons reconnaissants au Seigneur pour cela.
37        Bon, en ce qui concerne ces questions, je... Il y en a quelques-unes que je n’ai même pas encore regardées. Il va peut-être falloir que j’aille doucement, pour déchiffrer les mots, voir ce que c’est. Le problème, ce n’est pas votre écriture, c’est mon manque d’instruction.
151. Nous croyons qu’il faut être baptisé... Actes 2.38, mais quelle réponse pouvons-nous donner aux gens à propos de l’autre baptême? Sont-ils sauvés ou non? Qu’en est-il aussi de ceux qui sont décédés et qui n’ont jamais reçu la lumière?
38        Bon, c’est une–une bonne question. Bon, permettez-moi de redire ceci (Voyez?), à propos de ces questions : si vous, si je n’y réponds pas conformément à ce que vous pensez... Je vais m’appliquer à y répondre en me fondant le plus possible sur l’Écriture, pour que ces réponses soient bibliques.
39        Or, la manière biblique de procéder au baptême d’eau, c’est de le faire au Nom du Seigneur Jésus-Christ, ce qu’on trouve dans Actes 2.38, et le reste, dans toute la Bible. Beaucoup de gens aujourd’hui, et presque toutes les églises, depuis le début, depuis celle qui a commencé ça, baptisent les personnes au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Or, ce qu’ils font là est une erreur. Aucune directive de la sorte n’a été donnée dans la Bible, nulle part. Ça ne se trouve même pas dans les Écritures.
40        Quand Pierre... Quand Matthieu a écrit ce que Jésus avait dit, le passage qu’ils prennent, Matthieu 28.19 : “Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.”
41        Père, Fils et Saint-Esprit, ce sont des titres, pas un nom. Le Nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit, c’est le Seigneur Jésus-Christ. Père, Fils et Saint-Esprit. Et s’Il... Et alors, d’un bout à l’autre de la Bible, on a baptisé toutes les personnes au Nom du–du Seigneur Jésus-Christ. Ça s’est fait tout au long de l’histoire, jusqu’à l’instauration du concile de Laodicée (pardon), de Nicée, de l’église catholique, qui s’est tenu à Nicée, Rome.
42        Quand l’église pentecôtiste... Ils se sont divisés en deux groupes, l’un voulait s’en tenir à la Parole, à la Parole écrite, les autres voulaient une église classique. C’était sous le règne de Constantin. Et Constantin n’était pas un homme religieux; c’était un païen, dès le départ. Mais c’était–c’était un homme politique, qui voulait unir... La moitié de Rome était chrétienne, l’autre moitié était païenne, alors il a adopté quelques éléments du paganisme et quelques éléments du Christianisme pour former un groupe classique; et ils se sont fait leur propre religion.
43        Par conséquent, pour pouvoir ne pas tenir compte de la Bible, l’église catholique croit que Dieu a donné à l’église le pouvoir d’apporter des changements ou de faire tout ce qu’elle veut. Voyez? Par conséquent, si l’église catholique a raison, si c’est vrai que Dieu a fait ça, alors nous sommes tous dans l’erreur, tous sauf les catholiques (Voyez?), si l’église catholique a raison. Dans ce cas, l’église méthodiste a raison. Dans ce cas, l’église baptiste a raison, ou encore toutes les organisations ont raison. Voyez? Elles ont le droit. Mais alors, qui a raison? Si les catholiques ont le pouvoir de changer tout ce que la Bible a à dire, et de forger d’autres doctrines comme des “Je vous salue, Marie” et ainsi de suite, les méthodistes ont le droit de dire : “Le baptême par immersion, ce n’est pas bon, nous allons asperger”; et tous, ils ont raison, parce que chacun peut agir conformément à son église. Bon, mais alors, l’église, c’est qui? Est-ce l’église méthodiste, baptiste, presbytérienne, catholique, ou laquelle est-ce? Voyez?
44        Donc, vous ne pouvez pas, vous savez bien que Dieu, la–la source de toute sagesse, ne pourrait pas faire une chose pareille. Il n’y a pas... Il n’y a pas le moindre bon sens là-dedans, encore moins l’intelligence de l’Être surnaturel. Il n’y a qu’une chose qui est juste, c’est la Parole. La Parole est juste!
45        Et donc, si l’église catholique veut dire, ce matin : “Nous allons éliminer complètement le baptême, et remplacer ça par un morceau de sucre que nous mangerons tous les matins. C’est ce que nous allons prendre pour la rémission des péchés!”, alors c’est ce qui doit obligatoirement être juste, puisque, là, Dieu a donné cette autorité à l’église.
46        Mais, vous voyez, à mon avis, c’est la Parole qui est juste, parce qu’à la fin de la Bible, Dieu a dit ceci, dans Sa Parole : “Quiconque retranchera un seul Mot de Ceci ou Y ajoutera un seul mot, à celui-là sera retranchée sa part du Livre de Vie.” Donc, à mon avis, c’est la Parole!
47        Et ça ne s’est jamais vu dans la Bible, ça, quelqu’un qui a été baptisé au nom “du Père, du Fils, du Saint-Esprit”; parce que ça n’existe pas, ça. Père n’est pas un nom; Fils n’est pas un nom; et Saint-Esprit n’est pas un nom, mais le Nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit, c’est le Seigneur Jésus-Christ. C’est exactement ce que les apôtres et les autres ont reconnu, tout au long de l’âge.
48        Bon, la question suivante, c’est... Évidemment, ça, c’est bien conforme à l’Écriture. C’est la Vérité.
49        Et dans la Bible, quand on rencontrait des gens qui avaient été immergés autrement qu’au Nom de Jésus-Christ, on leur ordonnait de se faire rebaptiser au Nom de Jésus-Christ, avant de pouvoir recevoir le Saint-Esprit : Actes 19.5. C’est vrai! Donc, c’est la Vérité conforme à l’Écriture.
50        Alors, aucun évêque, aucun archevêque, aucun ministre, ni personne d’autre ne peut dire un mot contre ça, parce que c’est la Vérité. Voyez?
51        Et l’autre jour à Chicago, j’ai demandé, devant trois cents ministres qui étaient là pour en débattre et pour me questionner là-dessus, je... Et le Seigneur m’avait dit, Il m’avait donné une vision et m’avait dit où nous serions et ce qu’il fallait faire. Je me suis tenu devant trois cents ministres trinitaires et j’ai dit : “Bon, si cette doctrine que je présente est carrément erronée, que quelques-uns d’entre vous, messieurs, montent ici me montrer mon erreur au moyen des Écritures, sans manuel. Si la semence du serpent ou d’autres choses que j’enseigne, ça ne tient pas debout, venez donc me le montrer au moyen des Écritures.” Personne n’a réagi (Voyez?) – c’est que la chose n’est pas faisable. C’est vrai. Ce n’est pas par esprit de contradiction, mais c’est la Vérité, tout simplement; c’est la Parole. Et c’est là que... Personne ne peut contester ça; c’est la Parole de Dieu; personne ne peut le faire. Voyez?
52        Mais, bon : “Est-ce que ceux qui n’ont pas...” Laissez-moi le lire, pour être sûr que c’est bien ça. Voyez? “À propos des autres baptêmes, sont-ils sauvés ou non? Qu’en est-il aussi de ceux qui sont décédés et qui n’ont jamais reçu la lumière?”
53        Eh bien, je crois–je crois fermement que Dieu a appelé Son peuple, et qu’Il a prédestiné Son Église et tous ceux qui allaient être là-bas, avant la fondation du monde. Je crois que la Bible enseigne cela. Et je crois que tout homme qui aime Dieu de tout son cœur cherchera la Vérité. Je–je–je le crois, je crois qu’il le fera. Tout homme qui aime Dieu le fera.
54        Je crois que si, par ignorance, un homme a été baptisé de la mauvaise manière, qu’il ne savait pas qu’il avait été baptisé de la mauvaise manière... Bon, ceci, je ne peux pas le dire d’après l’Écriture, mais je le crois dans mon cœur, qu’un homme, s’il ne savait pas quelle est la bonne chose à faire, et qu’il avait fait quelque chose de son mieux, je crois que Dieu fermerait les yeux là-dessus et le sauverait quand même, parce qu’il n’avait pas... Souvenez-vous, du temps de Wesley, du temps de Luther, pendant la réforme, ces grands hommes de Dieu, que Dieu a honorés, et Il l’a prouvé qu’Il les honorait, ils sont morts dans la foi (Voyez?), avec toute la Lumière qu’ils avaient reçue.
55        Et il se peut qu’il y ait encore des choses que moi, je crois, comme... Est-ce que quelqu’un a écouté Charles Fuller, ce matin, à l’émission “L’heure du réveil à l’ancienne mode”? C’est l’un de mes docteurs de la Bible favoris, pourtant il est très très âgé, et... Mais je trouve que c’est un grand docteur de la Bible. Et ce matin il a dit (il enseignait sur–sur la prophétie, je crois); il a dit que–qu’il y avait de grandes choses devant nous, des choses dont l’église ne savait rien, qui seraient dévoilées aux gens. J’ai dit : “Amen!” à ça. Je crois qu’il y a encore une grande quantité de Lumière qui arrive maintenant pour nous, que celle-ci va inonder la terre un de ces jours, pendant une courte période, peut-être l’affaire de quelques mois seulement. Mais je crois qu’une grande quantité de Lumière va arriver.
56        Je crois vraiment que toute personne, sur la base de sa foi, et de sa sincérité, et du fait qu’elle marche dans toute la Lumière qu’elle a reçue, sera sauvée.
57        Souvenez-vous, lors de la venue du Seigneur Jésus, vous vous souvenez qu’Il a trouvé des gens qui marchaient dans toute la Lumière qu’ils avaient reçue, qui y marchaient? Vous vous souvenez de ce qui est arrivé? “N’est-ce pas un homme bon, un centenier romain, même, il a construit notre ville, ou, une synagogue pour notre peuple, et il (toutes ces choses qu’il avait faites), il mérite cette bénédiction qu’on demande pour lui.” Vous voyez, Dieu est un Père compréhensif; Il connaît votre cœur, si vous voyez vraiment la Lumière ou si vous ne voyez pas la Lumière, Il le sait.
58        Or, je crois vraiment de tout mon cœur que la réponse correcte à cette question, c’est que le baptême correct doit se faire au Nom de Jésus-Christ, et que ceux qui ont été baptisés autrement et qui, dans leur cœur – non pas par motif égoïste, de dire : “Eh bien, moi, je ne veux avoir rien à faire avec ça!”... Bon, cette personne-là, ce sera entre elle et Dieu. Mais si ces gens n’ont pas connu autre chose, je crois qu’ils sont sauvés. Je–je le crois de tout mon cœur, parce qu’ils n’ont pas connu autre chose.
            Nous pourrions passer beaucoup, beaucoup de temps sur celle-là, mais nous allons essayer de les prendre toutes, si nous pouvons.
152. S’il vous plaît, pourriez-vous expliquer Hébreux 6.4 et 6, et expliquer aussi Hébreux 10.26-39? S’il vous plaît expliquer si ceci fait référence aux gens qui ont le Saint-Esprit ou aux gens qui sont sanctifiés; s’il vous plaît expliquer la différence.
59        Eh bien, voyons à quel passage cette personne fait référence : Hébreux 6.4. J’aime les questions sur la Bible; ça fait sortir quelque chose de vous, ce qui fait qu’on a–qu’on a là quelque chose qu’on n’aurait pas autrement. En effet, on–on a là ce que les autres pensent, ce qui leur tient à cœur (Voyez?), et on a connaissance de ce qu’ils font.
            Maintenant, voilà Hébreux 10, et voici Hébreux 6.4. Très bien.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit,
Qui ont goûté la... parole de Dieu et la puissance du siècle à venir,  
Et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie.
            Donc, en voilà un. Maintenant Hébreux 10.26. Très bien, Hébreux 10.26.
Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché,
Mais une attente terrible du jugement... l’ardeur d’un feu qui dévorera le rebelle.
Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins;
...quel pire châtiment pensez-vous que sera digne- pourtant digne, celui qui aura foulé le... aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé les œuvres de la grâce?
60        Les deux passages parlent à peu près de la même chose. Maintenant, j’aimerais expliquer ceci à cette–cette personne. Maintenant, si vous remarquez ici, dans Hébreux 6.4, il est dit : “Il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés.” Ça–ça, c’est relié à cet autre passage qu’on vient de lire. Si on a été éclairé et qu’ensuite on se détourne de la lumière qui nous a éclairé – il est à tout jamais impossible que cette personne-là retrouve un jour sa position. Voyez?
61        Maintenant, dans Hébreux, il est simplement fait mention du châtiment qui accompagne ce rejet. C’est l’une des choses les plus horribles du monde : de rejeter Christ, de rejeter la Lumière de l’Écriture.
62        Maintenant, si vous remarquez : “Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés et qui ont eu part au Saint-Esprit, s’ils se détournent, qu’ils soient encore renouvelés et amenés à la repentance.” Voyez? Voilà. “Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont goûté (observez), goûté le don céleste.” Ils ont été tout près : “goûté les dons célestes”.
63        Maintenant, si vous remarquez, ils ne sont jamais arrivés au baptême du Saint-Esprit. Voyez? Ils ont été éclairés à ce sujet : “Et qui ont goûté le don céleste (Voyez?), mais, qui ont eu part au Saint-Esprit (en y goûtant), qui ont goûté la bonne Parole de Dieu (une partie de celle-ci. Voyez?), et les puissances du siècle à venir, et qui sont tombés, soient encore renouvelés.”
64        Maintenant Hébreux 10, ici, mentionne simplement le jugement rattaché à ça. “Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins. De quel pire châtiment sera, pourtant digne, celui qui aura foulé le Sang de Jésus-Christ, et aura tenu pour profane ce Sang, par lequel il a été sanctifié?”
65        Maintenant, pour relier les deux, pour répondre à votre question, considérons, dans la Bible, un passage et une personne qui a fait ça, et alors nous verrons.
66        Maintenant, toute l’église, aujourd’hui, est l’antitype du type. Nous le savons. Il y a un type et un antitype. Or, quand Israël était en route, du pays de la Palestine, ou, de l’Égypte vers la Palestine, c’était un type de l’église qui est, sur le plan spirituel aujourd’hui, en route vers le pays promis... Vous êtes tous d’accord là-dessus, n’est-ce pas? Tous les théologiens sont d’accord là-dessus, là, que c’en était le type.
67        Ils ont quitté l’Égypte. L’Égypte, c’était le monde. Ils sont sortis, ils ont traversé les eaux de séparation à la mer Rouge, par le baptême, ils sont ressortis de l’autre côté tout joyeux, louant Dieu, ils sont allés au, ils ont reçu les lois, et de là ils ont continué vers le pays promis.
68        Eh bien, avez-vous remarqué que, juste avant qu’ils arrivent au pays promis (Voyez?), avant d’entrer dans le pays promis – en fait, c’était une question de quelques jours seulement, dix ou onze jours, peut-être moins, parce que c’était un trajet de seulement quarante et quelques milles [soixante-cinq kilomètres]. Ils auraient pu entrer juste là dans le pays promis, ils avaient traversé la–l’année–la, chaque–chaque étape du voyage que nous avons parcourue. Ils étaient venus là-bas, ils avaient traversé la mer Rouge. L’armée de Pharaon avait été engloutie derrière eux. Ils avaient été libérés de leurs ennemis, avaient entrepris leur traversée du désert, et étaient arrivés au bord du pays promis, à Kadès-Barnéa, et là, ils ont échoué. Pourquoi? Pourquoi ont-ils échoué?
Bon, Moïse avait dit aux dix tribus, il avait dit “qu’il allait envoyer un homme de chaque tribu, représentant chaque tribu, pour aller explorer le pays, voir dans quel état il était”.
69        Or, voilà bien précisément le point où, là où vous en êtes ce matin, où vous, vous en êtes arrivés aujourd’hui. Vous... L’église est passée par la justification avec Luther, par la sanctification avec les méthodistes, et maintenant elle est arrivée au temps de la promesse. La promesse, c’est le baptême de l’Esprit, qui est promis d’un bout à l’autre de l’Ancien Testament et aussi du Nouveau (Voyez?), la promesse : “Voici, J’enverrai sur vous ce que Mon Père a promis.” C’est ce que Pierre a dit, le jour de la Pentecôte.
70        C’est ça la promesse. Le pays promis, c’est de vivre dans ce pays du Saint-Esprit. C’est ça la promesse de Dieu pour l’église : vivre dans la puissance de l’Esprit. C’est un autre monde, c’est un autre pays. Il faut que vous sortiez de cet état dans lequel vous avez été, que vous sortiez pour vivre dans ce pays promis, pour recevoir la promesse. Vous souvenez-vous de la promesse : “Vous recevrez la puissance d’en haut, après, le Saint-Esprit survenant sur vous”?
71        Pierre a dit que cette promesse, qui avait été faite d’un bout à l’autre du Testament, de l’Ancien et du Nouveau... On–on voit que cette promesse a été faite tout au long, tout au long, jusqu’à ce jour de la Pentecôte, et c’est là qu’ils sont entrés dans la promesse.
72        Donc, ces gens étaient sortis, et ils avaient vu de grands signes et des prodiges en Israël. Et là il a envoyé des hommes pour explorer, un de chaque tribu. Et quelques-uns d’entre eux sont revenus... En fait, quelques-uns d’entre eux n’ont pas voulu y aller. Deux y sont allés. Quand ils sont revenus, ils avaient une grappe de raisin qu’on n’avait pu porter qu’à deux hommes. Or, ils n’avaient encore jamais goûté de raisin. Ils étaient dans–ils étaient dans le désert; et donc, cet endroit-là, ce n’était pas un endroit où il y avait des fruits et ce genre de chose. Ils se nourrissaient de la manne, du pain du Ciel, et de cailles, de la faune et de la flore, de la nourriture qui leur était fournie.
73        Mais maintenant ils allaient entrer dans le pays, et ils avaient là une grappe de raisin qui était si énorme qu’il avait fallu deux hommes pour porter ces raisins. Ces deux hommes sont entrés dans le pays et sont revenus, et ils ont fait goûter ces raisins à tous les autres qui étaient restés au bord. Qu’est-ce qu’ils ont fait?
            À leur retour, au lieu de se réjouir parce qu’ils avaient goûté les raisins, au lieu de ça, ils sont retournés vers leurs tribus en disant : “Oh, mais nous avons vu les grandes villes fortifiées des Philistins, ou, des Héthiens, et des Phéréziens, et des–des–et des -iens de toutes sortes qu’il y a là-bas.” “Voyons”, ont-ils dit, “ce sont des géants. Voyons, nous sommes comme de petites sauterelles à côté d’eux. Nous ne pouvons pas nous emparer de ce pays. Mais enfin, pourquoi est-ce que tu nous as amenés ici?” Voyez? Et la Bible dit qu’ils ont tous péri dans le désert, tous; ils sont morts. Qu’est-ce qu’ils ont fait? C’étaient des croyants frontaliers. Ils sont venus jusque-là, à la réalité de la chose, ils ont vu la promesse, et ils ont estimé qu’ils n’étaient pas capables d’aller s’emparer de la promesse.
74        Or, c’est exactement ce qui est arrivé aujourd’hui, par la justification et la sanctification. Voyez? “Aura foulé le Sang de Jésus-Christ par lequel il a été sanctifié”, il s’agit là des gens sanctifiés, qui viennent jusque-là, ils voient le baptême du Saint-Esprit et ils s’en détournent en disant : “C’est du fanatisme; nous ne pouvons pas accepter ça. Nous ne serons plus admis au milieu de nos classes sociales. Nous ne serons plus admis dans les lieux que nous fréquentons. Nous ne serons plus admis dans nos églises. Nous ne pouvons pas faire ça (Voyez?), parce que c’est contraire à l’enseignement de notre église.” Voyez? Aura tenu pour profane le Sang de Jésus-Christ, qui lui a fait parcourir toute cette distance jusqu’au scellement de la promesse, et ensuite il s’en détourne. Il dit qu’il est totalement impossible qu’eux soient sauvés. Voyez, voyez? Pas celui qui est entré jusque dans le pays promis.
75        Souvenez-vous, Josué et Caleb ont été les deux seuls, de tout ce groupe de deux millions et demi de personnes, à entrer dans le pays promis, parce qu’ils sont allés jusque dans le pays promis, ils ont reçu la bénédiction et ils sont revenus. Ils ont dit : “Nous sommes capables de nous en emparer, parce que Dieu l’a dit.”
76        Et eux sont restés là – pourquoi? Tous ces gens-là, ils regardaient aux circonstances, mais Josué et Caleb regardaient à ce que Dieu avait dit : “Je vous ai donné ce pays; allez en prendre possession.”
77        Et c’est comme ça aujourd’hui, les gens disent : “Oh, si je me fais baptiser au Nom de Jésus-Christ, si je reçois le Saint-Esprit, si–si je parlais en langues ou prophétisais, ou bien si je témoignais ou poussais des cris dans mon église, on me mettrait dehors.” Allez-y!
78        Vous dites : “Eh bien, moi, je vous le dis tout de suite : je mène une vie chrétienne, je mène une vie bonne, propre, sanctifiée.” C’est vrai, mais vous voilà arrivé au tournant décisif, arrivé à cet endroit, à la frontière. Et si vous vous détournez de ça, alors “il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés...” Voyez?
79        Autrement dit, un homme passe par la justification, il avance en disant : “Je crois que je veux prêcher la Parole.” Il reçoit le salut; il dit : “J’en ai assez du péché.” Très bien. Puis il repart et, d’abord, il continue à fumer, et il a peut-être de la convoitise ou autre chose. Au bout d’un certain temps, il dit : “Ô Dieu, ce n’est pas convenable pour un Chrétien, ça, et particulièrement pour un ministre, de regarder les femmes d’une manière incorrecte, de fumer des cigarettes!” Ou : “Je bois effectivement un verre de bière en société, avec les copains, mais, et même mon assemblée le fait, mais il me semble que ce n’est pas bien. Sanctifie-moi, Seigneur.” Et là, le Seigneur le sanctifie, lui enlève toute cette convoitise, et tout. Alors il est un vase sanctifié. Ensuite, ce que Dieu lui présente, c’est le baptême du Saint-Esprit. Pour arriver à ça, il faut qu’il quitte la bande qu’il fréquente. C’est là qu’il se montre sous son vrai jour; alors il recule. Quand il recule, qu’est-ce qu’il fait? Il foule le Sang de Jésus-Christ, qui l’a sanctifié, il le tient pour profane, comme si celui-ci n’avait pas le pouvoir de l’amener jusque-là. Il est alors impossible qu’il soit sauvé. Et quoi ensuite, alors, quoi? Il va vers l’ardeur du feu et vers le jugement, c’est tout.
            J’espère que c’est clair. Si ça ne l’est pas, eh bien, une autre fois, faites-le-moi savoir. J’en ai tellement ici, que je...
153. Frère Branham, qu’est-ce que Jésus a voulu dire dans Jean 21.15 à 17, quand Il a demandé à Pierre s’il L’aimait et qu’Il lui a dit de paître Ses agneaux, ensuite Il a dit : “Pais Mes brebis!”, et au verset 17, Il a dit de nouveau : “Pais Mes brebis!”?
80        Eh bien, c’est simplement ceci. Vous voyez, Christ est le Berger. Il allait partir, et Il laissait des directives à propos de Ses Brebis, ce que tout berger paît, c’est-à-dire Son Troupeau, Son Église... Voyez? Il conduisait, ou, Il laissait des directives aux disciples pour qu’ils continuent à paître le troupeau, les, à en être le berger, à paître les brebis.
81        Exprimé en d’autres termes : si–si vous regardiez ici... Tenez, ce matin, c’est ce que je suis en train de faire. Or, les brebis vont se développer seulement si on leur donne de la nourriture de brebis. Maintenant, si vous faisiez frire un gros hamburger et que vous le donniez à une brebis, elle ne pourrait pas se développer avec ça, parce que, vous voyez, elle ne, ce n’est pas de la nourriture de brebis. Voyez? Et–et, si je faisais frire ou, que c’était là, que je préparais un beau steak T-bone, et que je donne ça à une brebis – ça, ce n’est pas de la nourriture de brebis. Elle ne pourrait pas la manger, c’est tout, parce qu’elle est une brebis. Par contre, les brebis aiment la nourriture de brebis. Eh bien, alors, quand vous devez paître le Troupeau de Dieu, ne les nourrissez pas avec de la théologie humaine, nourrissez-les avec la Parole; c’est avec ça que les brebis se développent. Nourrissez-les de la Parole!
82        Soyez un berger, un vrai berger. “Pais Mes brebis.” Les agneaux sont les petits, bien sûr, et les brebis sont les adultes. Donc, aussi bien les jeunes que les plus âgés, paissez le Troupeau de Dieu! Voyez? Et paissez-les, en les nourrissant de la Parole! La Parole (vous voyez?) est la Vérité! Jésus a dit : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Pas vrai? Donc, si les hommes doivent vivre, et qu’ils sont le troupeau de Dieu, les, l’église, alors, pour bien se développer, ils devront se nourrir de la Parole et de la Manne de Dieu. Sa Manne, c’est Ceci!
83        Dans la–la Bible, nous venons de voir ça, là, dans les–dans les–dans les Âges de l’Église. Jésus est la Manne cachée; Christ est la Manne de l’église. De la manne, qu’est-ce que c’est? La manne, dans l’Ancien Testament, c’est ce qui descendait frais du Ciel toutes les nuits, pour donner des forces à l’église pendant son voyage. Pas vrai? Maintenant, dans le Nouveau Testament, la Manne cachée, qu’est-ce que c’est? “Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (caché); mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.” Christ est cette Manne cachée qui descend du Ciel, d’auprès de Dieu, fraîche tous les jours–tous les jours.
84        Nous ne pouvons pas dire : “Eh bien, il y a deux semaines, j’ai eu une grande expérience avec Dieu.” Mais qu’en est-il de maintenant? Voyez? Tous les jours, fraîche, une nouvelle bénédiction, quelque chose de nouveau qui vient de Dieu, la Manne cachée qui descend du Ciel, d’auprès de Dieu : Christ. Nous nous régalons de cette Manne, qui est Christ, et c’est Lui qui nous donne des forces tout au long du voyage, jusqu’à ce que nous atteignions le–le Pays de l’autre côté.
85        Alors, voilà ce qu’Il a voulu dire par “Pais Mes brebis”. Si on s’arrête sur celle-là, on n’arrivera jamais à aborder les autres questions, parce que moi, celle-là, je trouve que c’est une bonne question. J’aime parler de cela : Christ qui est la Manne et la Nourriture des brebis.
86        Nourrissez-les de Christ, tiré de Sa Parole. Voyez? Prenez la Parole de Christ, exactement telle qu’Elle est écrite ici, et donnez-La aux brebis. Peu importe ce que n’importe qui d’autre peut dire. “Oh, ils ont besoin d’un hamburger!” N’allez pas croire ça. Voici de quoi ils ont besoin, ici même! Ce qu’il leur faut, c’est Ceci. Voyez? Donnez-leur Ceci! Ceci, c’est la Nourriture des brebis. C’est Ça qui les fait grandir. Le Saint-Esprit, Ses directives, Sa Parole, c’est ceci. La Parole est une Semence. La semence produit une plante; nous mangeons la plante. Or, voilà ce qui produit la plante dont se nourrit le Saint-Esprit, c’est l’Église. Il se nourrit... Il–Il–Il se nourrit de l’Église, c’est ce que le Saint-Esprit fait, Il se réjouit dans la présence de Dieu, parce que les gens croient Sa Parole et Le laissent agir à travers eux, alors qu’Il leur donne de faire les choses mêmes que Dieu a promis qu’ils feraient. Dieu voit Son Église se développer, donc les brebis sont nourries et le Saint-Esprit est glorifié. Voyez? C’est ça. “Pais Mes brebis!” Très bien.
            Bon, si ce n’est pas tout, vous n’aurez qu’à me le faire savoir un peu plus tard.
154. Frère Branham, quand je suis passée dans la ligne de prière dernièrement, des mains ointes ont été posées sur moi, et on a prié pour mon mari qui n’est pas sauvé. J’ai été terrassée par la puissance du Seigneur! Est-ce un signe manifeste qu’il sera sauvé?
87        Eh bien... C’est forcément une femme. Soeur, je ne–je ne pense pas que c’était un signe manifeste qu’il va être sauvé, bien que je croie que si, que Dieu, ça... Je crois qu’il sera sauvé, certainement, mais quant à dire... “Maintenant, pourriez-vous dire que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR?” Il faut être prudent avec ça (Voyez?), parce que, vous voyez, c’est peut-être le Saint-Esprit qui vous bénit parce que vous avez pris une position comme celle de Christ. Voyez?
88        Vous êtes venue ici prendre le parti de votre mari pécheur, comme Christ est allé à la croix prendre le parti de l’église pécheresse. Vous voyez? C’est grand ce que vous avez fait là. Mais, à votre place, ce que je ferais... Si vous êtes présente ce matin, si vous l’êtes, vous qui avez écrit cette question : à votre place, ce que je ferais, je croirais de tout mon cœur que Dieu va le faire (Voyez?), que Dieu va le faire, parce que, qu’Il vous ait donné cette bénédiction ou pas, ça, c’était quelque chose que Dieu vous a donné en plus. Mais je crois que ça–que ça devrait vous réjouir, le fait qu’Il vous a bénie.
89        Si, par exemple, vous parliez en langues et qu’il n’y ait pas d’interprète dans l’église; eh bien, il ne vous est pas permis de parler dans l’église, à moins qu’il y ait là quelqu’un pour interpréter les langues. Mais, si vous parlez en langues et qu’il n’y a pas d’interprète... Eh bien, utilisez... vous... Où que vous soyez en prière, chez vous ou ailleurs, parlez là, parce que “celui qui parle dans des langues inconnues s’édifie lui-même”. C’est pour lui un réconfort. Voyez? Il se sent bien, parce qu’il est là, en train de prier, et tout à coup le Saint-Esprit vient sur lui ou sur elle, et ils se mettent à parler en langues. Leur âme heureuse se réjouit, parce qu’ils–qu’ils ont parlé en langues. Voyez?
90        Eh bien, c’était–c’était, ce n’était pas spécialement une indication que Dieu allait exaucer la prière que vous aviez faite, mais c’était une indication que le Saint-Esprit vous écoute. C’est–c’est... Il vous connaît; Il est avec vous. Et dans ce cas-ci, je dirais que c’est la même chose. C’est le Saint-Esprit qui vous donne une–une bénédiction.
91        Il y a quelque temps. La dernière fois que j’ai parlé en langues, si je me rappelle bien, c’était, j’étais... Il y a environ deux ou trois ans. J’étais dans l’Illinois, et Billy est venu me chercher pour–pour aller à, pour la ligne de prière, à Zion City. J’avais le cœur lourd, je me suis agenouillé et me suis mis à prier. Pendant que je priais, je–j’ai entendu Billy qui arrivait et qui frappait à la porte. J’ai dit : “Billy, je–je ne peux pas y aller en ce moment.” Alors il est allé s’asseoir.
92        Et je priais, j’avais le cœur si lourd que je–je ne pouvais pas aller à l’église comme ça. D’habitude, vous voyez, il Lui arrive de me donner une vision pour me montrer quelque chose qui va se produire, mais là Il ne l’a pas fait. Comme je priais intensément dans la chambre, j’ai entendu quelqu’un parler. J’ai arrêté de prier. J’ai écouté, et il y avait quelqu’un près de la porte, qui... Ça ressemblait à une langue étrangère, à de l’allemand, ou du patois néerlandais, ou quelque chose comme ça; le débit était très rapide, comme un moulin à paroles. J’ai écouté de nouveau, et je me suis dit : “Eh bien, quelqu’un est arrivé et il parle en allemand au monsieur du motel; peut-être qu’il va lui répondre.”
93        Et j’ai arrêté de prier, appuyé contre une chaise comme ceci, j’écoutais, et il a continué à parler. Je me suis dit : “Eh bien, je me demande pourquoi personne ne lui répond.” J’ai écouté; je me suis dit : “Ça alors, c’est bizarre.”
94        Il y avait une station de pesage plus loin sur la route, et j’entendais le gars là-bas qui criait : “Allez-y!”, vous savez, et : “Avancez!” Je me suis retourné, j’ai regardé dehors dans cette direction, et à ce moment-là j’ai touché ma bouche. J’ai constaté que c’était moi qui parlais. C’était moi. Je suis resté vraiment tranquille, je ne savais rien du tout. Je n’avais absolument aucun contrôle de ce que je disais, je ne comprenais rien de ce que je disais, rien. Simplement je... Mes lèvres bougeaient, je parlais une sorte de langue. Je suis resté bien tranquille. Au bout d’un moment, ça s’est arrêté. Et quand ça s’est arrêté, oh! la la! j’aurais crié, tellement je–j’étais heureux. Je ne sais pas pourquoi, mais tout ce poids était parti.
95        Alors je suis allé à l’église, là, j’ai appelé Billy. Et quand je suis arrivé à l’église... Dans ce temps-là, c’était M. Baxter qui était l’organisateur des réunions. Il était, ils avaient chanté en attendant. J’avais plus d’une demi-heure de retard. Je lui ai dit que j’avais simplement du retard.
            Et–et il a vu que j’avais pleuré, il a dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
96        J’ai dit : “Rien.” J’ai continué, et une dizaine de minutes plus tard, une femme est entrée au fond de la salle, et elle accaparait l’attention là-bas, au fond. Et quand on s’est renseigné auprès de cette femme, on a appris qu’elle était venue en voiture depuis les “Twin Cities” (Saint Paul et Minneapolis, par là-bas, l’une de ces villes-là), les... Elle était tellement atteinte par la tuberculose que la–l’ambulance n’a pas voulu prendre le risque de la transporter, tant ses poumons étaient atteints, ce n’était que de la gelée. Alors quelques frères ont pris une vieille Chevrolet, ils ont retiré la banquette arrière, et ils y ont installé tant bien que mal un lit de camp pour elle, ou une couchette, ils l’ont déposée là-dessus, et ils sont partis avec elle à la réunion. Elle voulait venir.
97        Les médecins avaient abandonné son cas. Et pendant qu’ils étaient en route... On l’avait prévenue que le moindre petit cahot provoquerait une hémorragie, et que ce serait la fin. Et elle a eu une hémorragie. Ils l’ont sortie de la voiture et l’ont déposée sur l’herbe. Et les saints étaient penchés vers elle, en train de prier pour cette femme. Elle était... À chaque respiration, ça gargouillait; le sang giclait de sa bouche, comme ça.
98        Et tout à coup elle a été guérie, instantanément! Elle s’est levée d’un bond et s’est mise à se réjouir, elle est venue à l’église. Et elle était là-bas au fond, en train de témoigner, là-bas tout au fond.
99        J’ai dit : “C’est arrivé à quelle heure?” Quand elle a dit l’heure, l’heure à laquelle c’était arrivé, c’était précisément au moment où ce parler s’était manifesté à travers moi. Eh bien, qu’est-ce que c’était? C’était le Saint-Esprit qui intercédait pour cette femme là-bas! Vous voyez ce que je veux dire?
100      Eh bien, la Bible en parle. Parfois nous marmonnons des mots, nous ne savons pas ce que nous disons. Mais c’est le Saint-Esprit qui est à l’œuvre là, intercédant pour des choses que nous ne comprenons pas. Voyez?
101      Et cette femme a été guérie instantanément. Après, pendant longtemps, elle nous a donné des nouvelles. Elle est en parfaite santé, elle s’est rétablie.
102      Alors, vous voyez, Dieu sait où sont ces choses, et Il a Sa façon d’agir. Voyez? Il a Sa façon à Lui d’agir. Nous devons simplement nous soumettre à ce qu’Il fait. Et alors–alors, ce qui est difficile à faire, quand vous en arrivez là, c’est de vous en tenir à la Vérité, sans tomber dans le fanatisme, car la marge est étroite.
103      Or, si vous ne faites pas attention, le diable vous entraînera dans toute sorte de fanatisme, et vous perdrez toute votre expérience et tout le reste (Voyez?), à ce moment-là. Mais si vous restez attaché à la Vérité immuable, que vous observez la Bible et que vous vous en tenez à Elle, et que vous restez doux et humble, Dieu continuera à vous faire avancer vers le Calvaire, avancer sur la route comme ça, si vous vous en tenez à ça.
104      Et c’est un peu ça qui vous est arrivé, soeur. Dieu vous donnait simplement une bénédiction. C’est peut-être un témoignage manifeste que vous allez... Mais moi, je ne m’appuierais pas uniquement là-dessus (vous voyez?), en disant : “Le Seigneur m’a dit!” En effet, j’ai raconté cette expérience, pour que cela vous encourage à continuer à croire. Quoi que Dieu ait fait là, en faisant venir l’Esprit sur vous comme ça, c’était dans un but. Peut-être que c’était autre chose; mais si c’était pour votre mari, alors il va certainement entrer tout droit dans le Royaume de Dieu. C’est ce que je crois.
155. Frère Branham, n’est-ce pas conforme aux Écritures que les femmes ne doivent pas parler dans l’église?
105      Il a posé deux questions ici. C’est vrai. C’est–c’est vrai. Il n’est pas permis aux femmes d’être ministres et–et de parler dans l’église. C’est exact : I Corinthiens, chapitre 14.
106      Bien sûr, tous ceux de l’église, ici, ça, vous le savez tous. Il s’agit peut-être d’un nouveau venu ici ce matin; je ne sais pas. Mais il n’est pas permis aux–aux femmes de–d’être, d’exercer ce ministère. C’est–c’est vrai.
            Je vais vous le lire ici, alors vous–vous pourrez le constater. Et comme ça vous–vous saurez : I Corinthiens, chapitre 14, je crois. J’y serai dans un instant, si je peux trouver... Oui, le voici.
Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler; mais qu’elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. (Or, en ce temps-là, la loi n’autorisait pas les femmes sacrificateurs ni rien de tout ça. Voyez?)
Si elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles interrogent leurs maris à la maison; car il est malséant à une femme de parler dans l’église.
107      Maintenant, si vous remarquez, Corinthe, ici... Ces Chrétiens de Corinthe, beaucoup d’entre eux, et beaucoup de... À cette époque-là, la grande déesse du monde, c’était Diane, qui était une déesse romaine. Et c’était la déesse d’Éphèse. Et on l’adorait dans le monde entier. Et alors, ses ministres... Bien entendu, vu que c’était une femme, automatiquement ses ministres étaient des femmes. Et quand elles se sont converties au Christianisme, sous Paul... Bon, quand il a écrit ces épîtres, évidemment, Paul était en prison, à Rome.
108      Donc, elles lui ont écrit des lettres, vous voyez, après qu’elles se sont mises à parler en langues et que de grands dons se manifestaient au milieu d’eux. Eh bien, ces femmes ont pensé qu’elles devraient poursuivre leur ministère.
109      Maintenant, si vous remarquez, vous qui lisez dans votre Bible, au verset 36, il a dit :
Est-ce de chez vous que la parole de Dieu est sortie? et est-ce de chez vous seuls qu’elle est venue?
Si quelqu’un croit être prophète ou spirituel, qu’il reconnaisse que ce que je vous écris est un commandement du Seigneur.
Et s’il... l’ignore, eh bien, qu’il l’ignore.
110      Donc, autrement dit, les femmes... Maintenant, si vous prenez le contexte historique relié à l’église (Voyez?), qui s’applique à cette épître : ces femmes pensaient qu’elles devaient poursuivre leur ministère, puisqu’elles avaient été des, du nombre des prêtresses de la déesse Diane. Dieu n’est pas une femme; Dieu est un Homme. En réalité, il n’y en a qu’Un seul, et c’est un Homme. La femme est un produit dérivé de l’homme. L’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. Voyez? Si seulement vous ouvriez la porte à votre intelligence spirituelle, vous voyez. Voyez?
111      L’homme, au départ, quand l’homme est apparu sur terre, il était à la fois mâle et femelle, féminin et masculin, avant de devenir un être sexué. Voyez? Un esprit féminin, l’esprit inférieur, c’est celui qui est timide. Et puis, il était aussi masculin : l’homme. Mais quand Il a formé, qu’Il l’a placé dans quelque chose d’autre... Afin de peupler le monde, Il a retiré de lui l’esprit féminin, a pris une côte de son côté, et a formé une femme.
112      Elle ne devait pas dominer! Au commencement, lorsqu’elle s’est mise à faire ça, elle a causé l’effondrement de toute la race humaine. Voyez? De tout, et même que cela a été... C’est elle qui a causé la chute. Ensuite Dieu l’a relevée, Il a ramené la Vie dans le monde, grâce à Christ, par la femme. Mais jamais il n’a été permis à la femme, nulle part, de–d’être ministre dans l’église.
113      Plus loin, dans II Timothée, chapitre 3, il a dit : “Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence.” Vous voyez? Il n’est pas permis à la femme de prêcher; c’est vrai.
114      Bon, je sais, j’ai vu des femmes qui étaient de vrais prédicateurs, – et elles prêchaient vraiment bien, aussi, – comme Aimée McPherson et beaucoup de ces femmes-là. Mais faites un peu affaire avec elles pour voir. Voyez? Ce n’est pas... Je connais des gens qui pourraient parler en langues ce matin, ici même, dans cette église. S’il n’y avait pas d’interprète, ils ne s’aviseraient jamais de le faire. Voyez?
115      Il faut vous rappeler que ces femmes sont nées sous l’effet d’une certaine ascendance, ce qui fait qu’elles... Votre naissance a beaucoup à voir avec ça. C’est que votre nom, votre, tout ce qui vous concerne (vous voyez?) a une incidence sur votre personne, peu importe ce que c’est.
116      Ce matin, je pourrais aller quelque part, appuyer sur la gâchette d’une arme à feu et tuer un homme, mais jamais je ne m’aviserais de le faire. Par contre, je suis capable de le faire, absolument, ça, c’est sûr. Vous voyez, je pourrais tuer un homme, autant qu’on peut tuer un écureuil; mais on–on n’a pas le droit de faire ça. Voyez? Et là c’est la même chose. Alors, il faut veiller à ces choses, là, à ne pas... Ceci, ce sont les commandements du Seigneur.
117      Quand elles ont écrit là-bas, en disant : “Eh bien, c’est le Saint-Esprit qui nous l’a dit!” (Voyez?), Paul a dit : “Quoi? est-ce de vous que la Parole de Dieu est sortie? Et est-ce de chez vous seulement qu’Elle est venue? Si quelqu’un parmi vous, si vous avez des prophètes là-bas, ils reconnaîtront que ce que moi, je dis, ce sont les commandements du Seigneur. (Voyez? C’est vrai!) Mais si quelqu’un veut étaler son–son, s’il veut s’opposer, s’il veut être ignorant, eh bien, qu’il soit ignorant. (Voyez?) Alors, laissez-le, laissez-le faire. (Voyez?) Ne vous opposez pas.” Mais, souvenez-vous, il ne lui est pas permis de parler dans l’église.
118      Et donc, c’est par cela que vous pouvez juger de votre pasteur ou de n’importe qui d’autre, voir s’il est spirituel ou pas. Voyez? Il a dit : “Si quelqu’un est spirituel ou prophète, il reconnaîtra que ce que moi, je dis, ce sont les commandements du Seigneur.” Voyez?
119      C’est pour cette raison que j’ordonne aux gens de se faire rebaptiser au Nom de Jésus-Christ. C’est ce que Paul a fait, et il a dit : “Si un ange du Ciel venait enseigner autre chose, qu’il soit anathème.” Et c’est ce qui est déjà enseigné ici, aussi. Si quelqu’un vient... Si un ange venait du Ciel, disant : “Que les femmes prêchent et soient prédicateurs, ordonnez-les comme ministres!”, la Bible dit : “Qu’il soit anathème.” Les commandements du Seigneur, c’est ceci, ici.
156. Est-ce en ordre pour des Chrétiens et des Chrétiennes de s’embrasser (Oh!) en se saluant?
120      Non monsieur! Absolument pas! Non monsieur! Embrassez une seule femme, frère : votre femme (Voyez?), ou votre–votre enfant, ou... Voyez?
            “Est-ce en ordre pour...” Voyons si j’ai bien saisi! “Est-ce en ordre pour des Chrétiens et des Chrétiennes de s’embrasser en se saluant?”
121      Non monsieur! Absolument pas! Ça... Surtout ne commencez jamais ça! Oui monsieur! Non monsieur! Tenez-vous loin des femmes! Fuyez-les! Tout à fait!
122      Bon, ce sont nos sœurs, mais ne... Bon, ça se fait, ça, chez... Cette chose-là s’est même retrouvée chez les pentecôtistes, et on appelle ça “l’amour libre”. Et quand vous, effectivement, quand vous voyez ce genre de chose se retrouver là, tenez-vous loin. C’est vrai!
123      Peu m’importe combien vous êtes vertueux. Vous êtes mon frère, et je–je crois que vous êtes, il se peut que vous soyez un brave homme sanctifié et saint. Peu m’importe combien vous êtes saint, vous êtes quand même un homme. Et peu m’importe combien elle est sainte, elle est quand même une femme. Tenez-vous loin, jusqu’à ce que vous soyez mariés. Et faites-le, là!
124      Souvenez-vous, le corps... Maintenant je vais parler à mots couverts, de telle manière que vous qui êtes plus âgés puissiez comprendre. Ce groupe est mixte, mais je suis votre frère, et c’est une question. Voyez?
125      Les êtres humains, selon qu’ils sont hommes ou femmes, ont des glandes différentes. La femme a une glande féminine, une glande sexuelle féminine. L’homme a une glande masculine, une glande sexuelle masculine. Et ces glandes se trouvent dans les lèvres humaines. C’est vrai.
126      Et voici un autre point qu’on pourrait soulever : les hommes qui s’embrassent sur la bouche. Ça, c’est dégoûtant! Ça, c’est répugnant! Et qu’est-ce que ça produit? Ça crée des homosexuels. Tenez-vous loin de ça! Vous dites...
127      Il n’y a pas longtemps, un homme m’a demandé, il a dit : “Frère Branham, mais, ils se saluaient les uns les autres par un saint baiser.” Ils s’embrassaient sur la nuque, ils se jetaient au cou de la personne et l’embrassaient sur la nuque. Ça, c’était avant l’introduction de la poignée de main. C’est une forme de salutation. C’est comme ça. Ils ne se serraient pas la main, ils se donnaient l’accolade et s’embrassaient sur la nuque, par sur les lèvres ni sur le visage. Ça crée une perversion. Tenez-vous loin de ça! Ne faites jamais ça!
128      De nos jours, nous nous serrons la main. Si vous voulez... Si vous donnez l’accolade à votre frère et que vous l’embrassez sur le cou, ou que lui vous embrasse sur le cou, ça, ça va. Mais n’embrassez pas cette femme, et ne laissez pas cette femme vous embrasser. Voyez? C’est vrai! Prenez-lui la main et dites : “Minute, soeur, un instant, là (Voyez?); mettons les choses au clair!” Donc, et faites-le, là.
129      Tout à l’heure, en commençant, qu’est-ce que je vous ai dit? Quand vous voyez quoi que ce soit... une voiture qui arrive sur la route à quatre-vingt-dix milles [cent cinquante kilomètres] à l’heure, ôtez-vous de son chemin. C’est vrai! Dès que vous voyez le moindre écart de ce genre, éloignez-vous de ça; tenez-vous loin! Et vraiment, c’est un terrain sur lequel vous ne devriez pas vous trouver. Satan vous présentera là quelque chose qui démolira votre âme et vous enverra en enfer. Tenez-vous loin de ça! Fuyez l’apparence même du mal. C’est vrai!
130      Soyez un homme, soyez une femme, comme... Je vais prendre la défense des femmes pendant un instant. C’est rare, ça, n’est-ce pas? Ils–ils disent : “Oh, c’est à cause de la femme! Oh, c’est la faute de la femme. Si elle était restée à sa place, eh bien, l’homme aussi serait resté à sa place.” C’est vrai. Ça, disons que c’est vrai. Elle n’est pas restée à sa place. Un homme ne peut pas mal agir sans qu’une femme ait mal agi; mais souvenez-vous, une femme ne peut pas mal agir sans qu’un homme ait mal agi. C’est vrai!
131      Et vous qui prétendez être un fils de Dieu, où sont vos principes? Même si cette femme n’est pas, pas à sa place, vous, n’êtes-vous pas un fils de Dieu? N’est-ce pas vous le vase plus élevé, plus fort? Comme la Bible le dit, elle est plus faible, alors, si elle est plus faible, dans ce cas, montrez que vous êtes un homme de Dieu. Dites-lui, dites : “Soeur, vous avez tort.” C’est vrai! Je l’ai fait, et d’autres Chrétiens l’ont fait. Et vous le ferez toujours, pourvu que vous soyez Chrétien. Mais montrez ce que vous êtes. Vous êtes un fils de Dieu. Vous êtes, vous avez plus de maîtrise de vous-même que la femme. Si elle est plus faible, reconnaissez-le, qu’elle est plus faible. Comprenez ses erreurs et tout ça, ou essayez de la reprendre. Dites : “Soeur, nous sommes des Chrétiens, il ne faut pas faire ça.” Voyez? Soyez un vrai homme, soyez un fils de Dieu, et soyez prudent avec les femmes.
132      C’est ce qui a déclenché la grande chute du commencement. C’était Satan avec Ève. C’est ça qui a entraîné l’effondrement complet de la race humaine, c’est à cause de ça.
133      Et, si vous êtes un fils de Dieu, soyez fort; soyez un vrai homme. Si vous n’êtes pas comme ça, restez devant l’autel jusqu’à ce que vous le deveniez. Et fuyez l’apparence même du mal. Et ne commencez pas, là, à saluer...
134      Il y a quelque temps, quelqu’un m’a dit avoir vu ça deux ou trois fois ici, à mon église, des... Pas ici, dans l’église, mais des gens qui étaient venus à l’église. Et si vous êtes assis ici ce matin : j’avais l’intention de bien enfoncer le clou pour que vous compreniez. Voyez?
135      Des femmes, des jeunes femmes, arrivent, et les hommes embrassent ces femmes. Surtout ne faites pas ça! Surtout ne... Tenez-vous loin de là. Souvenez-vous-en! Qu’elle soit jeune, célibataire, ou quoi que ce soit; un jour, elle sera la femme de quelqu’un. Et vraiment vous n’êtes pas à votre place de faire une chose pareille. Tenez-vous loin d’elle. Si vous voulez la saluer, alors soyez un fils de Dieu, serrez-lui la main en disant : “Bonjour, soeur.” Et que ça s’arrête là. Voyez?
136      Tenez-vous loin de ces choses; c’est répugnant. Vous ne tarderez pas à vous attirer des ennuis à cause de ça. Vous... Oh, c’est vraiment... C’est tellement facile de pécher, et c’est tellement attirant et tellement agréable. C’est tellement facile de tomber là-dedans. Le mieux, c’est, devant l’apparence même du péché, tenez-vous loin! Reculez! Soyez un vrai Chrétien!
137      Quant aux hommes qui s’embrassent, si vous embrassez votre frère sur le cou, si vous voulez le faire, ça, ça va. N’embrassez aucun homme sur les lèvres, sur la bouche, ou quelque chose du genre, parce que ça–ça, ce n’est pas bien. Voyez? Non, ça–ça montre qu’au départ il y a un petit quelque chose qui ne va pas. Voyez? Donc, tenez-vous loin de ce genre de chose, fuyez ça. Ne–ne commencez pas à faire ça ici, au Tabernacle. Non, nous ne tolérerons pas ça, mais pas du tout. Voyez?
138      Vous, si vous voulez voir votre frère, si vous voulez l’embrasser sur le cou, eh bien, allez-y, faites-le, mais n’embrassez pas les gens sur la bouche, parce que ça ne passe pas, ça; ce n’est pas bien! Et ça crée une perversion, c’est tout. Ça crée des homosexuels et tout ça.
139      En fait, il y a deux seules conséquences à ce genre de chose. Si vous commencez, que vous laissez les hommes... J’ai vu, oh, souvent, ils vont s’avancer parmi les gens. J’ai vu des églises où, en entrant, le prédicateur tend les bras, saisit chaque soeur, la serre dans ses bras, l’embrasse et la fait rasseoir. “Bonjour, soeur, alléluia!” Il tend les bras, prend celle-là et l’embrasse. Il traverse toute l’église en faisant ça. À mon avis, c’est mal, ça!
140      Quand j’étais en Finlande, que nous étions tous là-bas... Vous êtes peut-être au courant, nous avions des réunions, et j’étais à l'Y.M.C.A. Il n’y avait pas de savon, pas de détergents en Finlande. Seulement... J’avais du savon à barbe, alors chacun de nous a dû se contenter de faire une toilette de chat, debout, vous savez, avec ce savon à barbe. On n’en avait qu’un seul morceau, et en Finlande, il n’y avait pas de savon. Ils se lavent avec une sorte de mixture qui vous arrache pratiquement la peau.
141      Et donc, nous... On nous a dit qu’on allait nous emmener prendre un sauna finlandais. Et nous sommes allés à l'Y.M.C.A. Nous y sommes allés pour prendre un sauna. C’est ce bain finlandais, ce bain finlandais réputé. J’en avais déjà pris, et c’était agréable. Mais, je me suis dit : “Eh bien, nous allons au–au Y.M.C.A., alors ce sera très bien.”
            Mais, comme je partais, le Saint-Esprit m’a dit : “Ne fais surtout pas ça.” Oh, qu’il est bon d’avoir le Saint-Esprit. “Ne fais surtout pas ça.”
            Eh bien, je, aussitôt j’ai dit : “Je crois que je n’ai pas envie de prendre un bain ce matin.”
            Le docteur Manninen et les autres ont dit : “Oh, Frère Branham,” ils ont dit, “oh, il y a de grandes pièces vitrées, et”, ils ont dit, “c’est magnifique.” Ils ont dit : “Ce n’est pas...”
142      Généralement, au moment de ce bain, on jette de l’eau sur des pierres brûlantes, ce qui vous couvre de sueur, et on vous tapote avec des rameaux de bouleau, comme ça, ensuite–ensuite vous courez vous plonger dans l’eau froide. Les Finlandais, eux, vont se rouler dans la neige et dans la glace, et tout ça. Mais, bien sûr, ils ont l’habitude; ce sont de grands hommes costauds et baraqués. Ensuite ils reviennent et–et entrent de nouveau dans ce bain chaud, ils passent comme ça, rapidement, du chaud au froid. Mais moi, ils m’ont permis de juste me tenir à l’air frais avant d’entrer de nouveau, parce que ça, je ne pouvais pas. Je craignais qu’en le faisant, mon cœur s’arrête, je n’avais pas l’habitude.
            Donc, je–j’aimais bien ça, mais Quelque Chose m’a dit de ne pas prendre celui de là-bas. Eh bien, Howard, mon frère, et Frère Baxter, et les autres qui y allaient, les frères, et tous les autres, vous savez, ils causaient tous, vous savez, en allant là-bas. Alors là je me sentais devenir un peu nerveux, vous savez, parce que le Saint-Esprit avait dit : “Ne le fais pas.”
142      a  Donc, nous sommes allés au Y.M.C.A. et, en entrant, tous ces hommes qui étaient là m’ont salué. Oh, ça faisait les–les gros titres dans le journal, la première et la deuxième page, tous les jours, les réunions. Alors ils étaient là.
            Je suis allé m’asseoir dans une petite pièce, et eux sont tous allés au vestiaire, pour se déshabiller. Et pendant qu’ils étaient là, en train de se dé-... qu’ils allaient se déshabiller, une jolie petite Finlandaise blonde est arrivée; et ce sont de braves gens, des gens qui sont on ne peut plus purs et de la plus haute moralité. La voilà qui arrive, les serviettes sur l’épaule, et elle s’apprête à entrer dans la pièce. J’ai dit : “Hep, hep, hep! Arrêtez! Psitt!” J’ai essayé de l’arrêter. Elle a regardé vers moi et a ri, elle est entrée là, et elle a donné à chacun d’eux (et ces hommes étaient dévêtus) une serviette. Ces femmes, chacune est arrivée, a pris un homme, l’a emmené là-dedans et l’a frictionné, comme ça. J’ai vu ce que le Saint-Esprit voulait dire.
Et donc, quand je suis ressorti, j’ai dit : “Docteur Manninen,” j’ai dit, “comment est-ce possible? Vous qui êtes des Chrétiens, vous allez là, prendre ces saunas avec elles.”
            “Oh,” il a dit, “ce sont des frictionneuses, Frère Branham.”
            J’ai dit : “Peu m’importe ce qu’elles sont. C’est mal, ça. Ce n’est pas bien.” J’ai dit : “La nature elle-même vous l’enseigne.”
            Il a dit : “Mais, Frère Branham, dès leur enfance on leur apprend à frictionner. C’est comme vos infirmières en Amérique et tout ça, elles, c’est ça qu’on leur apprend.”
            J’ai dit : “Peu m’importe ce qu’elles sont, c’est quand même mal. Absolument. C’est là un homme et une femme, et ils doivent être séparés, vêtus l’un devant l’autre.” Amen.
            Je ne veux pas me lancer là-dedans, parce que je finirais par prêcher là-dessus, n’est-ce pas? Très bien.
156b. S’il vous plaît expliquer ce qu’est la Foi apostolique.           
142b    Voilà une question; il y a une, deux, trois questions. La Foi apostolique, ça veut dire “la Foi des apôtres”. Voilà ce que veut dire la foi apostolique : c’est que vous vous en tenez à la Bible. Maintenant, ce qu’on appelle la foi apostolique aujourd’hui – beaucoup ne s’en tiennent pas à la Bible. Mais apostolique, ça veut dire la–la Foi apostolique, la Foi apostolique de la Bible. Très bien.
156c. ...et le groupe de gens qui se disent fondamentalistes, est-ce que ces deux groupes sont sauvés?
142c    Eh bien, je ne sais pas. Vous voyez, je ne saurais répondre à ça. Alors : “Est-ce que ces groupes sont sauvés?” Je ne sais pas.
Expliquer la différence entre l’esprit et...
            Bon, là c’est une autre question.
            Donc : “Est-ce que ces deux groupes sont sauvés?” Je vais essayer de vous présenter ça de façon un peu plus rationnelle, tout en disant : “Je ne sais pas. Je n’en sais rien.”
            Maintenant souvenez-vous, ce sont là mes pensées, il se peut qu’elles soient fausses. Mes pensées, c’est que, si un catholique romain, ou qui que ce soit, quelqu’un qui est méthodiste, presbytérien, de l’église du Christ, luthérien, quel que soit l’endroit où il se trouve, s’il croit au Seigneur Jésus-Christ et qu’il se confie strictement en Lui pour son salut, je crois qu’il est sauvé.
            Mais, vous voyez, l’église catholique romaine ne fait pas ça. Eux, ils croient que c’est l’église qui les sauve. Voyez? Leur–leur salut est dans l’église. C’est comme le prêtre à qui on a retiré le temps d’antenne, ici, il y a quelque temps, pour avoir dit : “Il n’y a pas de salut si ce n’est dans l’église, vous voyez, l’église romaine.” Or ça, c’est faux. Le salut se fait par Jésus-Christ. C’est vrai. Pas par l’église, mais par Christ.
            Donc, s’il est apostolique, ou, oui, apostoliques et fondamentalistes, là, c’est ce qu’ils disent être.
143      Bon, c’est comme ce fondamentaliste qui est venu à moi, il y a quelque temps, et qui m’a dit, il a dit : “Vous penchez un peu pour le calvinisme, n’est-ce pas?”
            J’ai dit : “Eh bien, tant que Calvin est dans la Bible, je suis de son avis.” J’ai dit : “Moi, je suis du même avis que la Bible, c’est tout, alors, pourvu que Calvin s’en tienne à la Bible. Mais, s’il s’écarte de la Bible, moi je continue à avancer, à croire la Bible.”
            Il a dit : “Eh bien,” il a dit, “je veux vous dire quelque chose. Vous avez déclaré, je vous ai entendu dire qu’un homme, une fois sauvé, ne pouvait jamais être perdu.”
            J’ai dit : “C’est exactement ce que dit l’Écriture. ‘Il a la Vie Éternelle et ne viendra jamais en jugement, ou ne sera jamais condamné, mais il est déjà passé de la mort à la Vie.’” J’ai dit : “Ce n’est pas moi qui l’ai dit. C’est Jésus-Christ qui l’a dit.”
            Il a dit : “Alors, je veux vous demander quelque chose.” Il a dit : “Croyez-vous que Saül était sauvé?”
            J’ai dit : “Le, Saül, le–le roi Saül?”
            Il a dit : “Oui.”
            J’ai dit : “Mais bien sûr!”
            Il a dit : “Maintenant souvenez-vous, il était prophète.”
144      J’ai dit : “C’est exact, la Bible dit qu’il a prophétisé avec les prophètes.” Il avait un don de prophétie. Il n’était pas prophète, mais il avait un don de prophétie, parce qu’il était là-bas, avec les prophètes, quand ils prophétisaient. Par contre, nous savons que c’est Samuel qui était prophète à cette époque-là, alors, mais Saül prophétisait avec les prophètes.
            Il a dit : “Alors, s’il était prophète, alors il était sauvé?”
            J’ai dit : “Absolument!”
            Il a dit : “Alors, je veux vous demander quelque chose.” Il a dit : “Je veux vous demander quelque chose.” Il a dit : “Et là vous dites que Saül était sauvé, et il, la Bible dit que l’Éternel s’est retiré de lui et qu’il est devenu un ennemi de Dieu, et qu’il s’est suicidé, et là vous dites qu’il était sauvé?”
145      J’ai dit : “Et vous êtes un fondamentaliste?” J’ai dit : “Frère, c’est que vous ne lisez pas comme il faut, c’est tout. Vous ne lisez pas ce que dit l’Écriture.”
            Il a dit : “Eh bien, Saül ne pouvait pas être sauvé, s’il est devenu un ennemi de Dieu.”
            J’ai dit : “Saül était sauvé.”
            “Oh,” il a dit...
146      J’ai dit : “Il était prophète, forcément qu’il était sauvé. Voyez? Dieu l’a sauvé, et Dieu ne donne pas pour reprendre ensuite, comme on dit. Il ne... Eh bien, si Dieu vous donnait le Saint-Esprit en sachant qu’Il va vous perdre un peu plus tard, voyons, ce serait vraiment une bêtise de Sa part de vous donner le Saint-Esprit au départ.”
147      Vous pouvez imiter le Saint-Esprit, et faire comme si vous aviez le Saint-Esprit, mais si vous avez le Saint-Esprit, Dieu connaît votre commencement depuis la fin. C’est vrai! Ça, c’est de gérer ses affaires avec des à peu près. Dieu ne gère pas les Siennes comme... Il est infini, Il connaissait la fin depuis le commencement, et Il savait tout ce qu’il y aurait un jour ici. Chaque fleur, chaque moucheron qu’il y aurait un jour sur la terre, Il savait tout ça dès avant le commencement du monde. Alors, vous voyez, pourquoi est-ce qu’Il gérerait Ses affaires comme ça? Il ne fait pas ça.
148      Si, à un moment donné, vous, si vous avez vraiment le Saint-Esprit, vous êtes sauvé pour l’Éternité. Je peux le prouver par les Écritures, et nous l’avons fait maintes et maintes fois. Mais, afin de garder du temps pour répondre à ces questions, je pourrais dire ceci (vous voyez?), là, cet homme a dit : “Eh bien, alors, que diriez-vous à propos de Saül?”
149      J’ai dit : “Bien sûr que Saül était sauvé.” J’ai dit : “Souvenez-vous, Saül a rétrogradé; ça, je l’admets. Il a rétrogradé et s’est éloigné de Dieu, à cause de sa cupidité. Il aimait l’argent.” Il a rapporté tous ces sacrifices et différentes choses, alors que Samuel, par la Parole de Dieu, lui avait dit de tout détruire. Mais il a quand même épargné le roi et gardé beaucoup de choses, et il a rapporté ça, parce que... Voyez? Plutôt que de suivre à la lettre ce que dit la Parole de Dieu, vous Y ajoutez votre propre opinion; c’est là que vous rétrogradez.
150      C’est ce que je pense des dénominations et tout ça, elles rétrogradent, parce qu’elles ne suivent pas la Parole. On leur montre la Parole, et elles Y tournent le dos, en disant : “Oh, notre église enseigne ceci.” Ce n’est pas ça qui est vrai, c’est ce que Dieu a dit!
151      Samuel avait reçu le mandat d’aller là-bas, ou plutôt Saül, et de tout exterminer : “Tout, tu détruiras tout.” Plutôt que de faire ça, il en a gardé une partie afin de les sacrifier, et il a épargné la vie du roi, et il a fait toutes sortes de choses. Alors Samuel s’est avancé vers lui et lui a dit que l’Esprit de Dieu s’était retiré de lui et–et ainsi de suite.
152      Et puis Samuel est mort. Et environ deux ans plus tard, eh bien, là, Saül était... L’Esprit de Dieu s’était retiré de lui, mais il n’était pas perdu. Bien sûr que non. L’onction l’avait quitté. Maintenant observez, et voyez si c’était bien le cas, là.
153      Saül s’était tellement éloigné de Dieu que, lorsqu’il est allé au combat... Il allait partir au combat, et il était inquiet à l’idée d’aller au combat, alors il–il a demandé un songe au Seigneur. Le Seigneur n’a pas voulu lui donner de songe. Il n’y avait pas de prophètes dans le pays à cette époque-là, pas de prophètes. C’est Samuel qui était prophète. Ils avaient des “prophétiseurs”, mais, et tout ça, mais ils, il n’a pas pu recevoir de réponse de Dieu, d’aucune manière. Il est même allé vers l’Urim Thummim et s’est enquis là-bas. Et même les éclairs de lumière sur l’Urim Thummim n’ont pas voulu lui donner une réponse. Et qu’est-ce qu’il a fait? Il a rampé, est allé dans une caverne où il y avait une magicienne, une diseuse de bonne aventure. Et cette magicienne... Il s’était déguisé en fantassin, et il est allé là-bas, il a dit : “Évoque pour moi l’esprit de Samuel, le prophète.”
            Et elle a dit–elle a dit : “Bon, eh bien, tu sais ce que Saül a dit.” (Elle parlait à Saül, mais elle ne le savait pas.) Elle a dit : “Saül a dit que tous ceux qui évoquent les morts doivent être mis à mort.”
            Il a dit : “Je te protégerai de Saül, mais évoque pour moi l’esprit de Samuel.”
            Alors la magicienne s’est mise à faire ses incantations, et à un moment donné, quand elle a vu apparaître Samuel, son esprit qui venait se matérialiser devant eux, elle a dit : “Je vois des dieux qui montent de la terre.”
154      Ça, c’est un des réconforts. Regardez le brave Samuel qui se tenait là. Cela faisait deux ans qu’il était mort, mais il se tenait là. Non seulement... Il se tenait là vêtu de son manteau de prophète. Non seulement il était toujours vivant, mais il était toujours prophète. Alléluia!
            Elle a dit : “Tu m’as trompée.” Au pro-...
            Et Saül a dit : “Samuel, je ne sais pas ce qu’il faut faire; demain je dois aller au combat, et l’Esprit m’a quitté.” Il a dit : “Je ne peux même pas recevoir du Seigneur un songe. Et l’Urim Thummim ne veut pas me parler. Je suis dans une très mauvaise passe.”
155      Il a dit : “Puisque tu es devenu un ennemi de Dieu,” il a dit, “pourquoi m’as-tu fait sortir de mon repos?” Voyez? C’est ce que Samuel a dit. Il a dit : “Pourquoi m’as-tu fait sortir de mon repos, puisque tu es devenu un ennemi de Dieu?” Et là il lui a dit ce qu’il en était. Il a dit... Mais il allait tout de même lui annoncer la Parole du Seigneur. Et quand il l’a fait... Maintenant souvenez-vous, cela faisait deux ans qu’il était mort. Voyez? Mais il a dit : “Je vais t’annoncer la Parole.” Il lui a annoncé la Parole du Seigneur. Il a dit : “Demain, tu vas tomber au combat, et Jonathan, ton fils, va tomber avec toi. Et”, il a dit, “à cette heure, demain soir, vous serez avec moi.” S’il était perdu, alors Samuel, le prophète, l’était aussi. C’est ça le fondamentalisme; vous voyez alors ce qu’est le prétendu fondamentalisme. Voyez, voyez? Il a dit : “Vous serez avec moi demain soir, à cette heure.” Voyez? Alors, si Saül était perdu, Samuel l’était aussi, puisqu’ils étaient tous les deux au même endroit.
156      Non, non! Les fondamentalistes, vous... les prétendus fondamentalistes, comme la prétendue église du Christ et les prétendus Chrétiens, le prétendu Christianisme. Aujourd’hui, du fait que vous êtes Américain, vous êtes censé être Chrétien – du fait que vous êtes–que vous êtes Américain. Voyez? Ça, c’est–c’est du prétendu Christianisme. Mais un vrai Chrétien, c’est un homme né de nouveau de l’Esprit et une femme née de nouveau de l’Esprit. Ça, c’est vraiment... Les autres, ils imitent, mais les vrais Chrétiens sont appelés par Dieu.
157. S’il vous plaît expliquer la différence entre l’esprit et l’âme.
157      Bon, eh bien, ça, c’est une question difficile. Mais, d’abord vous êtes un être trin, tout comme Père, Fils et Saint-Esprit. Père, Fils et Saint-Esprit sont trois titres se rapportant à une seule Personne, c’est-à-dire, Jésus-Christ. Et vous êtes âme, corps et esprit. Mais il faut ces trois éléments pour constituer votre personne. S’il n’y a qu’un seul de ces éléments, vous n’êtes pas vous. Il faut les trois éléments pour constituer votre personne.
158      Comme je l’ai dit l’autre jour : “Ceci, c’est ma main; ceci, c’est mon doigt; ceci, c’est mon nez; ceci, c’est mes yeux; mais moi, c’est qui?” Moi, celui à qui appartient tout ça, c’est qui? C’est ce qui est à l’intérieur de moi; c’est ça la–l’intelligence.
            Si ces yeux, si ces mains, si ce corps se trouvait ici, exactement tel qu’il est aujourd’hui, je–je pourrais quand même, mon corps pourrait être ici, mais moi, ce que je suis, pourrait être parti. Ce que, celui que je suis, à l’intérieur de moi, serait parti. C’est–c’est cette partie-là–partie-là qui est l’esprit. L’âme, c’est la nature de cet esprit, de sorte que, lorsque le Saint-Esprit vient sur vous, Il ne fait rien... Vous... Il change ou convertit votre esprit en une âme différente. Et cette âme, c’est une nature différente sur cet esprit. Donc, l’âme est la nature de votre esprit.
159      Au départ vous étiez mesquin, mauvais, il y avait de la haine, de la méchanceté et un esprit de dispute; maintenant vous êtes affectueux, doux, gentil, et–et... Vous voyez la différence? C’est votre nature. On pourrait appeler, moi j’appelle ça comme ça. C’est votre âme qui a été changée. La vieille âme est morte, et la nouvelle âme, qui est la nouvelle nature, vous l’avez reçue par une naissance. Voyez?
160      Votre cerveau n’est pas votre intelligence; c’est l’esprit qui est en vous qui est votre intelligence. Voyez? Votre cerveau est un amas de matière et de cellules, et tout; il n’a pas d’intelligence propre. S’il en avait une, alors, tant qu’il se trouverait là, que vous soyez mort ou vivant, il fonctionnerait quand même. Voyez? Mais ce n’est pas–ce n’est pas votre cerveau; c’est votre esprit, à l’intérieur de vous. Et votre âme, c’est la nature de cet esprit. C’est l’âme de l’esprit qui contrôle, l’esprit qui contrôle le corps. Voyez? Voilà, c’est ça.
            Bon, il faut que je me dépêche, parce que nous prenons du retard. Bon, je pense que ça, j’espère que ça répond à la question.
158. Frère Branham, s’il vous plaît expliquer, s’il vous plaît préciser si les femmes devraient témoigner ou parler en langues dans l’assemblée.
161      Eh bien, je crois que si une femme est prédicateur dans l’assemblée, être prédicateur, ça, il ne lui est pas permis de l’être. Par contre, si elle a le don des langues et qu’elle parle dans l’assemblée, là où il y a–il y a des prophètes et–et où les dons sont réunis, ça, je crois qu’elle a le droit de le faire. En effet, dans la Bible, nous voyons qu’il y avait des prophétesses, comme Miryam et d’autres, et elles n’étaient pas, elles n’avaient aucune juridiction. Si je peux arriver à ma mini-prédication, ici, je–j’inclurai ça. Voyez?
162      Mais les femmes, si elles ont des dons... Bon, je crois que la manière correcte, quand nous nous réunirons bientôt, quand notre église sera un peu mieux établie... Et–et, soit dit en passant, il y a un nouveau groupe, un nouveau, une autre église qui va s’unir et...?... se joindre à cette église, dès que nous aurons de la place pour eux ici, et tout. Une autre église va venir s’unir à cette église, ce ne sera pas une organisation, elle va simplement venir à l’église en tant que corps de croyants, dans un groupe. Et–et eux, c’est un groupe de gens qui ont des dons.
163      Et alors, quand on se réunira, il faudra que ces personnes qui ont des dons se réunissent entre elles à certains moments, pour voir ce que l’Esprit leur dira. Et ensuite, cela pourra être donné depuis l’estrade. Et les gens... C’est pour l’édification de l’église.
164      Alors, si on parle en langues et que, vous savez, personne n’interprète cela... Et là, quand on est en pleine réunion, parfois il y a un grand manque de respect, vous savez, c’est ce qu’on constate parfois. Il m’est arrivé d’être en train de faire un appel à l’autel dans mon assemblée, et que quelqu’un se lève et interrompe l’appel à l’autel en parlant en langues. Eh bien, vous voyez – or, il se peut que cette personne ait bel et bien parlé en langues, il se peut que cela ait été le Saint-Esprit, mais, vous voyez, sans que cette personne ait reçu l’enseignement, pour savoir ce qu’il faut faire, savoir retenir cela.
165      Il m’est arrivé d’être assis là, sur l’estrade, à écouter prêcher un prédicateur, et en le voyant arriver à un point... Oh, j’avais tellement envie de me lever pour aller lui donner un coup de main, que je ne savais plus quoi faire. Et vous avez fait pareil; tous, nous faisons pareil. Mais, qu’est-ce que c’est? Ça, c’est un manque de respect. Restez bien assis. Respectez mon frère.
166      J’ai écouté–j’ai écouté Frère Neville prêcher, et il m’a écouté prêcher, alors qu’on, sans doute, qu’on... Frère J. T., ici, et tous les autres, ou, et tous les autres, quand on s’écoute mutuellement prêcher, on se dit : “Oh, frère, je crois que je vais me lever pour aller lui donner un coup de main.” Voyez? On sent vraiment l’Esprit nous envahir, mais qu’est-ce qu’on fait? On garde le silence. Voyez? Parce que l’esprit des prophètes est soumis au prophète. Voyez? C’est vrai, gardez le silence. Voyez? Faites-le.
167      Mais je crois que, si la femme, – c’était ça la question, – si la femme a un don des langues et qu’elle veut parler, je crois que, lorsque c’est le moment pour ça, elle a le droit de s’exprimer par un don des langues, mais pas de prêcher ni de prendre de l’autorité sur l’homme. Évidemment, quand elle est prédicateur, là elle l’est, au-dessus de l’homme.
159. Frère Branham, j’ai été marié à une femme qui avait été mariée avant. Nous avons divorcé, et elle s’est mariée deux fois depuis. La Bible déclare que, si nous désirons nous marier–si nous désirons nous marier, il faut retourner vers notre première femme. Maintenant, pourrais-je retourner vers elle, qui a été mariée avant, ou bien pourrais-je être libre?
168      Bon, eh bien, mon frère, voici quelle serait, pour vous, la seule manière de faire. Maintenant, ceci est un sujet très vaste et, un jour, je–je voudrais, si–si l’église arrive à s’organiser et à être bien d’aplomb comme elle doit être, ou... Je–je dis ceci avec révérence, je... Dans les églises, il y a deux factions sur la question du mariage et du divorce, d’un côté on défend une faction, et de l’autre côté l’autre. Et, à mon avis, – avec de la grâce dans mon cœur devant Dieu et devant Sa Bible, – les deux ont tort. Voyez? Mais il y a une vérité là-dessus.
169      Si vous remarquez ce que Jésus a dit... Tenez, j’ai un frère, là, mon propre frère de sang, qui a l’intention de se marier avec une femme. Or, mon frère a déjà été marié, et il a eu un enfant d’une brave femme. Il est venu à moi pour que je le marie. J’ai dit : “Pas question!”
170      Dans Matthieu 5, Jésus a dit : “Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, si ce n’est pour cause de fornication (quelque chose qu’elle aurait fait avant d’être mariée et qu’elle ne lui aurait pas dit), la fait commettre adultère; quiconque épouse une femme répudiée vit dans l’adultère.” Alors, ne faites pas ça. Non, vous ne pouvez pas retourner vers votre–vers votre première femme, si elle s’est remariée. Mais si vous, si elle a divorcé de vous et vous a chassé...
171      Et là, vous avez dit : “Suis-je libre?” Je vais relire ça. “J’ai été marié à une femme qui n’avait jamais été mariée avant. Nous avons divorcé, et elle s’est mariée deux fois. (Je suppose que cette personne est restée seule.) La Bible déclare que, si nous désirons nous marier, il faut retourner vers la première.”
172      Non monsieur! Prenez les lois du Lévitique. Si vous retournez vers cette femme, – elle appartient à quelqu’un d’autre, – vous vous souillez et vous vous mettez dans une situation pire que jamais. Non, vous ne devez pas reprendre une femme qui a été mariée à quelqu’un d’autre.
173      Maintenant : “Pourrais-je retourner vers elle, qui a été mariée avant, ou dois-je–ou dois-je être libre?” Vous êtes libre! Restez libre! Oui; il ne faut pas retourner. Non monsieur! Elle s’est mariée avec quelqu’un d’autre; tenez-vous loin d’elle. C’est vrai! Ne... Ce qui a été souillé...?... Vous comprenez. Si nous avions un peu plus de temps, j’aimerais approfondir ça. Mais, pour ce qui est de votre question, mon frère, qui que vous soyez. Non monsieur! Ne retournez absolument pas vers cette femme pour la reprendre, alors qu’elle s’est mariée deux ou trois fois après s’être mariée avec vous. C’est mal.
174      Il n’y a pas longtemps, j’ai marié un couple qui avait déjà été marié, ils avaient divorcé et étaient partis, et, un couple âgé. Eh bien, c’étaient Frère et Soeur Puckett; voilà qui c’était, en fait. Ils n’arrivaient pas à s’entendre, ils ont eu une petite prise de bec, ils ont divorcé. Elle a vécu seule et est restée fidèle, vraiment, et lui, il a fait pareil. Au bout d’un certain temps, ils ont vu que c’était ridicule de leur part, ils sont revenus, et ils désiraient être mariés. J’ai dit : “Bien sûr!” Voyez? “C’est en ordre, c’est ce que vous devriez être.” Alors, ils... En fait, pendant tout ce temps, ils étaient toujours mariés. Ils n’avaient jamais été divorcés; on leur a simplement donné les papiers pour qu’ils puissent vivre ensemble comme mari et femme, c’est tout, parce que, dès le départ, ils étaient mariés.
160. Que signifient les trois lettres sur le crucifix catholique? (Voyons.) Que signifient les trois lettres sur le crucifix catholique?  
175      Eh bien, je pense que tous les crucifix sont pareils, si je ne... Je ferais mieux de vérifier. Mais il y a I-R-N-I, ce qui signifie “Jésus de Nazareth, Roi des Juifs”. Voyez? S’il s’agit de ça, je ne savais pas qu’il y avait quelque chose de spécial à part ça, ou quelque chose d’autre. Mais ces lettres signifient “Jésus de Nazareth, Roi des Juifs”. I-R-N-I, c’est ce qu’il y a sur le crucifix. Bien.
161. Serait-ce mal d’employer les dîmes pour alimenter le fonds de construction de l’église?
176      Bon, eh bien, voici–voici un point délicat pour l’église en ce moment. Non, ce qui est correct, c’est que les dîmes aillent au ministre. C’est vrai! Dans la Bible, ils avaient une boîte qu’ils plaçaient près de la porte – dans l’Ancien Testament – lors de la construction. Cette boîte était un fonds que les gens alimentaient pour les réparations... Vous avez souvent lu ça dans l’Ancien Testament. Ils entretenaient les bâtiments et tout ça. Toutes les réparations effectuées sur le bâtiment étaient couvertes par ce fonds. Mais le dixième de cela allait, le dixième des dîmes... toutes les dîmes allaient à leurs sacrificateurs, leurs pasteurs. Oui, les dîmes ne doivent pas servir à autre chose.
177      Je sais que des gens prennent leurs dîmes pour les donner à une veuve. C’est mal. Si vous avez quelque chose à donner à cette veuve, donnez-le-lui, mais ne lui donnez pas l’argent de Dieu. Premièrement, ce n’est pas à vous. C’est à Dieu!
178      Si vous m’envoyiez en ville acheter une miche de pain et que vous me donniez vingt-cinq cents pour acheter cette miche de pain, et que je rencontre dans la rue quelqu’un qui veuille ça pour autre chose, et que je lui donne ces vingt-cinq cents, vous voyez, c’est votre argent que je lui donnerais. S’ils me réclament quelque chose, qu’ils le reçoivent de cette poche-ci, que je leur donne mon argent à moi; mais ceci, c’est votre argent. Et un dixième de ça appartient au Seigneur. Et Lévi, le sacerdoce, vivait de ce dixième.
179      Ce dixième, c’est une dîme qui doit être apportée à la maison du trésor, et une promesse que Dieu bénira cela y est rattachée. Et une mise à l’épreuve qu’Il a prononcée : “Si vous ne le croyez pas, venez, mettez-Moi à l’épreuve, et voyez si Je ne le fais pas.” Voyez? C’est vrai.
180      Les dîmes sont apportées à l’église, pour que le pasteur et ainsi de suite puissent vivre de cela. Et puis, le–le–le fonds de construction et tout ça, c’est un fonds tout à fait distinct. Or ça–ça, c’est conforme à l’Écriture.
181      Une fois, quand on aura démarré, je voudrais prendre une soirée... Il y a quelque temps, avant de quitter le Tabernacle, je suis venu ici et j’ai passé deux ou trois semaines à traiter des sujets comme celui-là, et j’ai vraiment traité ça à fond, j’ai montré ce qu’étaient les dîmes dans l’église.
162. Frère Branham, est-ce mal d’appartenir à un club après qu’on est devenu Chrétien, par exemple celui des francs-maçons?
182      Non monsieur! Soyez un Chrétien où que vous soyez. Peu m’importe l’endroit où vous êtes, vous pouvez quand même être un Chrétien.
163. Quelle est, à votre avis, la meilleure manière de trouver la... Quelle est, à votre–quelle est, à votre avis, la meilleure manière de trouver la volonté du Seigneur dans certaines affaires importantes?
182      a  Bon, voyons... Je ne crois pas que je... Voyons si je peux saisir la chose dans sa continuité. “Quelle est, à votre avis, la meilleure manière (je vois qu’il devrait y avoir une virgule là, je pense)... Quelle est, à votre avis, la meilleure manière de trouver la volonté du Seigneur dans certaines affaires importantes?”
183      Je vais vous le dire, cher ami : la meilleure manière de trouver la volonté de Dieu dans certaines affaires importantes, c’est par la prière. Voyez?
184      Maintenant, laissez-moi... Voici une merveilleuse petite chose, ici. Si vous–si–si vous avez une affaire très importante... Bon, voici comment moi, je m’y prends. Je présente ça au Seigneur. Et c’est ce qui a toujours fait ma force : je m’attends au Seigneur, pour voir ce qu’Il dira. Et je reste neutre à ce sujet, je ne penche ni d’un côté ni de l’autre, et je dis : “Maintenant, Père Céleste, cela–cela peut...”
185      Bon, bien sûr, dans mon cas, la plupart du temps, si c’est très important, j’attends d’avoir une vision. Mais, avec bien des gens, Dieu ne traite pas par des visions. Par conséquent, je ne vous conseillerais pas de faire ça. Voyez? Parce que c’est seulement certaines personnes qui ont des visions, et les autres font autre chose. Vous, vous faites autre chose, que moi, je ne pourrais pas faire, peut-être, – dans votre manière de servir le Seigneur, – et moi, je fais quelque chose que vous, vous ne pourriez pas faire. Voyez? Dieu traite avec nous de différentes manières.
186      Donc, moi, si j’étais à votre place et que je n’avais pas de visions du Seigneur, je m’attendrais simplement au Seigneur en disant : “Seigneur, maintenant montre-moi quelle décision prendre.” Et là, vous vous sentez conduit à agir d’une certaine manière, attendez encore un peu, et attendez encore un peu plus longtemps, et voyez dans quelle direction, de quel côté vous penchez, dans quelle direction l’Esprit... Dites : “Maintenant, Père, Tu sais que, dans mon cœur, ça n’a pas d’importance; mais je–je voudrais savoir ce que Toi, Tu veux faire à ce sujet.”
187      C’est comme ça que je fais, parfois, pour les réunions. Je me sens vaguement conduit à aller dans cette direction-ci, ou dans cette direction-là, et c’est cette direction-là que je prends. Voilà la manière de faire, parce que là c’est fait par la prière; vous faites de votre mieux.
188      Et je crois ceci, mes amis, comme pour ce qui était arrivé à Paul autrefois, dans le–dans le Nouveau Testament. Il était pressé des deux côtés, ne sachant dans quelle direction aller. Il s’est engagé sur la mauvaise route, et il a reçu un appel macédonien. De même je crois que, si vous prenez une décision pour Dieu et que vous faites de votre mieux, je crois que Dieu vous corrigera et que vous ne, veillera à ce que vous ne fassiez pas fausse route. Je crois que c’est ce que Dieu fera.
164. Voyons un peu. Frère Branham, qu’arrivera-t-il aux gens qui sont–sont considérés comme les vierges endormies, lorsqu’ils seront jugés, au jugement?
189      Eh bien, la vierge endormie sera sauvée, bien sûr. Elle sera sauvée, au jugement. Elle ne sera jamais l’Épouse, mais elle fait partie d’un groupe de gens sauvés qui passeront en jugement, qui ne seront pas comptés dans l’Épouse. Mais, du moment que ce sont des vierges, ils sont devant Dieu. Voyez? Ils seront sauvés. Il sépare... Eux, ce sera les brebis à Sa droite. Et ceux qui ne sont pas sauvés seront les boucs à Sa gauche, au Jugement du grand Trône Blanc.
            Je pourrais passer beaucoup de temps là-dessus, mais je, il se fait un peu tard.
165. Est-ce possible qu’une personne remplie du Saint-Esprit soit malgré elle poussée par des–poussée par des, à faire des petites choses... influencée à faire des petites–des petites choses qu’elle ne veut pas faire?
190      Oh oui! Oui monsieur! Oui, une personne remplie du Saint-Esprit... Vous êtes justement en position favorable, à ce moment-là, pour être–pour être poussé malgré vous par ces choses. Vous devenez alors une cible. Quand vous êtes là, en bas, à servir le diable, il vous laisse vous la couler douce à votre guise. Mais une fois que vous avez pris position pour Christ, là vous êtes passé dans l’autre camp, il braque alors toutes ses armes contre vous. Toutes les tentations, tout ce qui peut être envoyé contre vous, là vous écopez de tout ça. Mais qu’est-ce que vous possédez? “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez?
191      Bon, là vous n’étiez engagé dans aucun combat, vous traînassiez à votre aise. Voyez? Mais maintenant vous vous êtes–vous vous êtes lavé, vous vous êtes habillé, vous vous êtes rasé, vous vous êtes peigné, vous avez revêtu un uniforme, vous avez une arme à la main. “Allons-y!” Voyez? Vous êtes au combat, pas pour parader, mais pour vous battre, battez-vous! Bien sûr : quand les tentations surgissent, alors, avec l’Esprit et le bouclier de la foi, repoussez ces assauts et continuez à avancer. Voyez? C’est vrai. Oh, revêtez-vous de l’armure complète de Dieu. Pourquoi est-ce que vous revêtez une armure, si vous n’avez pas l’intention de vous battre? Tous les soldats sont habillés pour aller se battre, pas pour parader, pour s’avancer en disant : “Je suis Untel. Maintenant je suis Chrétien. Regardez qui je suis. Je suis membre de ceci. Alléluia! J’ai reçu le Saint-Esprit l’autre soir. C’est sûr, plus rien ne me dérange maintenant.” Non–non! Oh, frère, je–je crois que vous feriez mieux de retourner là-bas essayer encore. Voyez?
192      Oh, je vous le dis, aussitôt que vous dites que vous avez reçu le Saint-Esprit, Satan braque toutes ses armes sur vous, il vous tire dessus. Là vous êtes revêtu de l’armure complète, alors prenez le bouclier de la foi, l’épée de l’Esprit, la Parole, et prenez... resserrez les attaches de, chaussez-vous de l’Évangile, et prenez l’élément central, ici, la cuirasse, et tirez sur la sangle, pour la serrer un peu plus sur vous, et tenez-vous prêt, parce que ça va venir, ne vous en faites pas. Oui monsieur! Des ennuis, vous allez en avoir tout plein. Mais souvenez-vous : “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.”
166. Qu’est-ce que Jésus voulait dire, dans Matthieu 16.9 et 10? Que représentent les douze paniers et les sept paniers? Question pour dimanche matin.
193      Voyons un peu–voyons un peu : Matthieu 16.10. Je ne suis pas vraiment sûr, là. Un instant, que je le trouve : Matthieu 16.9 et 10, 16.9 et 10. Nous y voilà.
Êtes-vous... sans intelligence, et ne vous rappelez-vous plus les cinq pains ou les cinq mille hommes et combien de paniers vous avez emportés?
Ni les sept pains ou les quatre mille hommes et combien de corbeilles vous avez emportées?
            Maintenant observez. Prenons juste un peu plus haut.
Et Jésus leur dit : Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens et des sadducéens.
Les disciples raisonnaient en eux-mêmes, et disaient : Est-ce parce que nous n’avons pas pris de pains.
Jésus... (Maintenant observez!) ...Jésus, l’ayant connu... (Il a capté leurs pensées, vous voyez.) ...dit : Pourquoi raisonnez-vous en vous-mêmes, gens de peu de foi, sur ce que vous n’avez pas pris de pains?
Êtes-vous...sans intelligence, et ne vous rappelez-vous plus les cinq pains et les cinq mille hommes ou combien de paniers vous avez emportés?
194      Exprimé en d’autres termes : “Si vous avez vu Dieu pourvoir et accomplir un miracle, alors ne peut-Il pas de nouveau accomplir un miracle?” Voyez? Vous voyez, si... Exprimé en d’autres termes : S’Il vous a sauvé d’une vie de péché, ne peut-Il pas guérir votre corps? Ne vous rappelez-vous pas que, quand vous étiez pécheur, Il a élevé votre âme dans la foi, pour que vous croyiez? De même, ne peut-Il pas de nouveau faire quelque chose de grand pour vous? Ne peut-Il–ne peut-Il pas accomplir ce miracle ou faire n’importe quoi pour vous? Les cinq paniers. Il a dit : “Rappelez-vous.”
195      Comme... Quand ils ont traversé la mer Rouge, Dieu a ouvert le passage et a fait en sorte que la mer Rouge s’ouvre, ils ont traversé, et en ressortant, de l’autre côté, dès qu’il n’a plus eu d’eau, ils se sont mis à murmurer. Pas vrai? Dès qu’ils se sont retrouvés sans pain, ils se sont mis à crier : “Nous n’avons pas de pain.” Voyez? Il a dit : “N’avez-vous pas songé au miracle, là-bas, à la mer Rouge? N’avez-vous pas traversé...” Lorsqu’ils étaient–étaient tous dans le pétrin, près de la mer Rouge : “Oh,” qu’ils ont dit, “il aurait mieux valu mourir. Voilà les Égyptiens, ils sont sur nos talons maintenant. Voici; qu’est-ce que nous allons faire?”
196      Il a dit : “Qui a frappé la terre de plaies, là-bas? Qui a fait en sorte que le soleil continue à briller dans Gosen?” Voyez? Nous devons nous rappeler ces choses, rappelez-vous que Dieu est Dieu! Alléluia! En toute circonstance, Il est toujours Dieu. Il peut vraiment tout faire.
167. S’il vous plaît, pourriez-vous expliquer “le Corps de Christ”, dans I Corinthiens 12.27, et “l’Épouse de Christ”, dans Apocalypse 2.9-9. Est-ce que la nouvelle Jérusalem est spirituelle ici, dans–spirituelle ici, dans l’Apocalypse? Cela–cela, est-ce le discernement spirituel de ce qu’est l’Église?
197      Non! Bon, voyons un peu, si je prends celui-ci en premier, I Corinthiens, en vitesse, I Corinthiens, chapitre 12, bien, et verset 27.
Et vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part.
198      Ensuite, quel était le passage suivant? Apocalypse 2–21.9, Apocalypse, au chapitre 21, et le verset 9. Bien, nous y voilà.
Puis un des sept anges–puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept derniers fléaux vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, et je te montrerai la–la–je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau.
199      Oui, le Corps de Christ. Vous voyez, le corps de Christ a été rompu pour nos péchés, et nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former ce Corps-là, et nous en devenons membres. Et d’où est-ce que–d’où est-ce que le–le corps... D’où est-ce que ma femme, symboliquement parlant... D’où est-ce qu’Ève est venue? Du corps d’Adam. Elle a été prise de son côté. Ève a été prise du côté d’Adam. Le Christ... Et elle faisait partie de son corps. Il a dit : “Elle est chair de ma chair et os de mes os. Et je l’appellerai femme.” Voyez?
200      Bon, et le Corps de Christ a été pris du corps de Jésus, car nous sommes esprit, chair et os de Lui. Voyez? En effet, nous sommes dans Son Corps par une naissance. Et parce que ce corps-ci Lui appartient, bien qu’il soit né dans le péché, Il l’a racheté. Dieu le ressuscitera aux derniers jours, et je vivrai dans celui-là pour l’Éternité. Voyez? C’est ça. Bien.
201      Maintenant, voyons un peu, la dernière question ici, c’était : “Est-ce que la nouvelle Jérusalem est spirituelle?” Non, non, la nouvelle Jérusalem, Jean l’a vue descendre du Ciel, d’auprès de Dieu; ce n’est pas le discernement de ce qu’est l’Église actuelle. Voyez? C’est–c’est une, la–la nouvelle Jérusalem, Jean l’a vue descendre du Ciel, préparée comme une, – Apocalypse 21, vous voyez, – préparée comme une Épouse qui s’est parée pour Son Époux.
            La dernière question, maintenant; je pense qu’on les a toutes prises.
168. La Bible dit que tout concourt au bien de ceux qui aiment le Seigneur. Alors, si vous aimez Dieu et que vous retournez dans le monde, est-ce que Dieu vous laissera mourir dans le péché, ou est-ce qu’Il vous réconciliera avec Lui avant de vous reprendre?
202      La dame a signé, donc, je peux dire qu’il s’agit d’une–d’une dame (Voyez?), parce qu’elle a signé. Oui, soeur. Si vous êtes née... Maintenant, laissez-moi répondre à ça. Vous voyez, temporairement, de façon mineure, tous, nous rétrogradons bien des fois par jour. Nous savons cela. Nous sommes tous coupables, tous; aucun de nous n’est dans sa perfection. Et aussi longtemps que nous sommes dans ce corps, nous sommes encore... Peu importe combien les gens essaient de dire : “J’ai été sanctifié; je peux embrasser cette femme ou faire ça.” Il ment; il ne le peut pas. Un point, c’est tout.
203      Je n’essaie pas de dire : “Seigneur, laisse-moi voir jusqu’où je peux m’approcher.” C’est plutôt : “Seigneur, garde-moi le plus loin possible.” Voyez? Tenez-vous aussi loin que... Souvenez-vous, vous êtes encore un être humain. Voyez?
204      Et, mais alors, si vous faites une erreur, et que vous faites quelque chose de mal, vous ne le faites pas volontairement. Si vous êtes un Chrétien, si vous êtes un Chrétien né de nouveau, vous ne faites pas exprès de mal agir. Vos intentions, et tout, sont bonnes. Mais si vous le faites, comme elle l’a dit ici, si vous faites une erreur, et que vous faites quelque chose de mal, est-ce que Dieu vous laissera continuer comme ça, et vous laissera mourir dans cet état et être perdu, ou bien est-ce qu’Il vous ramènera à la réconciliation? Il vous ramènera. C’est exact. Il vous ramènera.
205      Et si, et d’autre part, si vous faites quelque chose de mal, et que ça ne vous condamne pas, que vous continuez comme ça, hors du chemin, souvenez-vous, c’est qu’au départ vous n’étiez pas sauvé. C’est vrai. Vous–vous n’étiez-vous n’étiez pas sauvé, vous aviez seulement un semblant de foi, vous n’étiez pas sauvé. Mais, quand vous êtes sauvé, vous avez un esprit différent, vous êtes d’une nature différente. Vous êtes une nouvelle créature en Christ, et les choses anciennes sont passées, elles sont mortes et ensevelies dans la mer de l’oubli. Vous voyez?
206      Et, mais, étant donné que vous vivez ici, dans ce monde, il y a partout des pièges qui vous sont tendus – et vous marchez les regards fixés sur Christ. Et souvenez-vous, quand vous faites une erreur, un vrai Chrétien reviendra toujours rapidement se réconcilier.
207      Regardez, dans l’arche, Dieu a lâché ce vieux corbeau, ou plutôt, Noé a lâché le corbeau. Or, qu’est-ce qu’il était? Il était un corbeau. Oh, certes, il s’était perché là, sur le même perchoir que la colombe. Les deux s’étaient perchés sur le même perchoir; mais quand il a lâché ce vieux corbeau, eh bien, le... J’imagine que toutes les eaux sentaient mauvais à cause des millions de corps humains gonflés et en décomposition qu’il y avait sur l’eau, et des chevaux et des animaux qui étaient tous morts. Le monde entier avait été détruit. Il y avait là ces vieilles charognes qui flottaient à la surface de l’eau, et tout ça. Et Noé a lâché la colombe, parce qu’il pensait avoir vu le soleil briller un peu. Et il voulait savoir si le niveau des eaux avait baissé ou non, alors il a lâché le–le–le corbeau. Et le corbeau est allé se poser sur un cadavre : “Oh, formidable; c’est bon!” Vous voyez, il mangeait un cadavre. Pourquoi? C’était sa nature. Il était un corbeau. Peu importe combien de temps il était resté avec la colombe, combien de fois il avait entendu Noé prêcher, combien de temps il était resté avec cet oiseau pur, il était un corbeau, au départ. Dès qu’il a eu l’occasion de se montrer sous son vrai jour, il l’a fait.
208      Mais, par contre, quand il a lâché la colombe, lorsqu’elle s’est envolée, fiou, elle n’a pas pu supporter ça. Elle n’a pu aller nulle part; elle n’a pu trouver aucun lieu pour poser la plante de ses pieds, alors elle est revenue dans l’arche. Et c’est comme ça.
209      Il peut arriver qu’on vous lâche pendant un petit moment pour voir ce que vous allez faire, mais ce que vous ferez toujours, si vous avez une nature de colombe, vous ne pourrez pas manger la nourriture de corbeau. C’est tout. Elle ne peut pas être digérée, c’est tout.
210      Où iriez-vous, que feriez-vous? Dites-moi ce que vous feriez si vous n’étiez–si vous n’étiez pas un Chrétien! Dites-moi ce que je ferais ce matin, si je n’étais pas un Chrétien! Que pourrais-je faire ce matin, alors que ma mère est alitée là-bas, à l’hôpital, dans cet état-là, qu’elle est inconsciente et alitée, aurais-je le cœur à me tenir ici à la chaire pour prêcher et agir comme ça, en donnant l’impression que je n’en fais pas grand cas? C’est parce que je sais que ma mère est sauvée. Voyez? Je sais qu’elle est sauvée. Je sais en Qui j’ai cru; je suis persuadé qu’Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là.
211      Qu’est-ce que maman ferait maintenant? Eh bien, peut-être qu’elle aurait eu de bonnes intentions toute sa vie : “Un jour, je serai Chrétienne.” Mais comment pourrait-elle l’être maintenant qu’elle est alitée comme ça, inconsciente? Comment pourrait-elle devenir Chrétienne maintenant? Que feraient ses enfants?
212      L’autre jour, quand nous l’avons envoyée, emmenée là-bas, pour qu’on lui donne du glucose, là-bas... C’est tout ce qu’elle a dans le corps, du glucose. Elle ne peut pas avaler, elle est paralysée. Elle a dit : “Il y a une chose que je veux que tu saches, Billy”, elle a parlé de moi et de Dolorès, nous étions là, de ses enfants et tout, et de quelques-uns de mes frères qui boivent.
            J’ai dit : “Eh bien, ils t’ont brisé le cœur.”
            Il a dit, elle a dit : “Mais, Billy, tout ça, c’est la vie d’une mère, la roue qui tourne.” Elle a dit : “Mais je suis sauvée.” Et elle a dit : “Je suis prête à partir.”
213      J’ai dit : “Maman, tu aurais pu nous laisser une maison qui s’étende de Jeffersonville à Utica, un palais; tu aurais pu nous laisser dix millions de dollars, qui n’auraient été qu’un sujet de disputes et de querelles après ton départ (c’est tout ce qui en serait résulté); mais, maman, tu nous laisses le plus grand trésor que quelqu’un puisse laisser : la–l’assurance que nous te reverrons dans ce Pays au-delà du fleuve.” C’est vrai. Voyez?
214      Vous êtes sauvés, et je suis si content de savoir que Christ sauve nos... Mais il se peut que nous rétrogradions, il se peut que nous agissions mal, tous, nous avons nos hauts et nos bas; mais, dans votre âme, dès que vous faites quelque chose, eh bien, il y a en vous quelque chose qui se détraque; vous le savez. Alors, à l’instant, c’est le moment de sauter sur le côté. C’est le moment de sauter sur le côté. Éloignez-vous de ça.
215      Bon, disons que vous alliez quelque part aujourd’hui, et–et que quelqu’un s’avance vers vous en disant : “Hé, on me dit que tu es l’un des exaltés, là-bas.”
            Immédiatement, Satan dit : “Remets-le à sa place!” Voyez?
216      “Un exalté, ça je ne sais pas; je suis un Chrétien!” Voyez? Et toujours, en présence du mal, répondez au mal par le bien. Et souvenez-vous, maintenant attachez-vous à ceci, souvenez-vous-en : quand vous répondez au mal par le bien, le mal ne peut pas tenir en présence du bien. Il ne le peut pas.
217      Bon, je suis missionnaire, et j’ai été dans le monde entier, j’ai été confronté au mal sous toutes ses formes, à toutes sortes de spirites, d’ismes, et à toutes les formes de culte des démons, et, oh, à tout ce qu’on peut imaginer, là où il y a de tout, et j’ai toujours constaté que le bien triomphe toujours du mal.
218      Écoutez, peu m’importe à quel point la nuit est sombre. Elle pourrait être sombre à un point tel que vous pourriez la palper. Vous pourriez lever les mains comme ceci et ne voir absolument aucune ombre. Le moindre rai de lumière va montrer ce que cache cette obscurité. Certainement, c’est ce que fait la vie en présence de la mort. C’est ce que fait le bien en présence du mal. C’est ce que fait la foi en présence du doute, elle le disperse.
219      Comment la nuit peut-elle rester là, quand le soleil fait briller à travers elle ses bénédictions? Où va la nuit? Elle n’existe plus. Qu’est-il arrivé à la nuit? Où est l’obscurité qu’il y avait dans ce Tabernacle il y a environ douze heures? Où est l’obscurité qui était figée ici à l’intérieur de ces murs? Elle n’existe plus. Elle a disparu. Pourquoi? La lumière est entrée. Et quand la lumière est entrée, l’obscurité a été forcée de partir. Oui monsieur!
220      Prenez les créatures qui se promènent la nuit, les blattes et les scarabées, les bestioles et tout ça. Que le soleil se lève ou qu’une lumière se mette à éclairer : regardez-les filer vers l’obscurité. L’Évangile est comme ça. Quand il se met à éclairer, qu’arrive-t-il à ceux qui veulent vous traiter d’exalté? Qu’arrive-t-il aux gens qui se moquent de vous? Quand la Lumière se met à éclairer, ils se précipitent vers l’obscurité à toute vitesse, parce qu’ils–qu’ils sont les enfants de la nuit. Mais les enfants du jour marchent dans la Lumière.
221      Alors, c’est nous qui sommes les enfants de la Lumière, par la grâce de Dieu. Donc, une fois que la Lumière s’est mise à éclairer, nous rendons grâces à Dieu, et nous marchons les yeux ouverts, en regardant des choses qu’on ne peut pas voir avec l’œil naturel. En effet, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Amen! J’aime ça.
222      Je n’ai pas le temps de faire ma mini-prédication, d’apporter ce que j’avais l’intention de prêcher, parce que là nous allons devoir prier pour les malades.
223      Combien aiment le Seigneur? Amen! Maintenant, après ces questions que nous avons eues, et certaines étaient tranchantes et tout, et peut-être qu’en y répondant, peut-être que je ne l’ai même pas fait comme j’aurais dû, parce que je n’ai pas eu le temps de chercher les passages de l’Écriture. Je les aurais écrits sur la feuille, si j’avais eu le temps. J’espère que tout le monde est satisfait. Sinon, eh bien, retournez-la-moi par écrit. Donnez-moi le temps de l’étudier, si vous trouvez que je n’y ai pas répondu complètement.
224      Merci d’être restés. Et maintenant, nous allons former la ligne de prière dans un instant. Mais, avant de le faire, changeons l’atmosphère maintenant, après avoir donné des réponses, l’une répondant à ceci, et à quelqu’un qui croit comme ceci ou comme cela. Vous voyez, quand on répond aux questions, parfois c’est un peu tranchant, donc, adorons simplement le Seigneur et chantons :
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier         
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.          
            Maintenant, je voudrais que vous serriez la main de quelqu’un près de vous, pendant que nous chantons de nouveau.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier         
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.          
            Maintenant, levons simplement les mains vers Lui, comme ceci.
            Je (Fermons maintenant les yeux.) L’aime, je L’aime,          
Parce qu’Il m’a aimé le premier         
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
225      Notre Père Céleste, nous T’aimons, Seigneur. Et je crois que ce petit groupe T’aime. Nous sommes venus à la maison du Dieu Vivant, à un petit bâtiment, non pas au bâtiment, mais au Dieu qui vit dans le bâtiment. Par exemple, ce qui est en moi : ce vieux corps, il devra s’effondrer un de ces jours, mais l’homme qui vit à l’intérieur ne peut pas s’effondrer, parce qu’il est tenu par la puissance de Dieu.
226      Ce vieux bâtiment, ici, dans lequel nous adorons ce matin, quoi que nous fassions pour l’arranger, un jour, il s’effondrera, mais le Dieu qui vit dans ce bâtiment est Éternel. Nous nous présentons devant Toi maintenant, Père, pour Te rendre grâces et Te louer.
227      Et quant à ces questions qui étaient dans le cœur des gens, nous voyons qu’ils se demandaient s’ils devaient faire ceci ou cela. Père, j’espère que, dans le cœur tendre de tous les Chrétiens, la réponse aura été un moyen de leur faire comprendre la Vérité. Accorde-le, Seigneur. Et si j’ai échoué, alors pardonne-moi. Je ne voulais pas échouer, parce que ce sont là Tes enfants, et ils ont posé ces questions. Et je–je veux leur donner tout ce que je sais, Père, comme si Tu te tenais ici même pour me juger sur ce que j’ai dit.
228      Maintenant, Seigneur, nous nous présentons devant Toi pour les malades. Or, nous savons, par la Bible, que nous recevons seulement ce que nous croyons que nous recevons. Nous nous souvenons qu’une fois, Père, quand Jésus était ici sur terre, la Syro-Phénicienne est venue à Lui en disant : “Seigneur, aie pitié de ma fille, c’est qu’elle est tourmentée de diverses façons par un–un démon.”
            Et nous entendons ce qu’Il a dit : “Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants et que Je le donne aux chiens.”
229      Ô Dieu, apparemment, quel–quel refus net, et pas seulement ça, mais Il l’a appelée un chien. Pourtant, au lieu de réagir en étant arrogante, c’est avec beaucoup de douceur et d’humilité qu’elle a dit : “C’est vrai, Seigneur.” Parce que c’était la Vérité. Elle a dit : “C’est vrai, Seigneur, mais les chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres.” Voilà exactement ce qu’il fallait pour que l’œuvre s’accomplisse. Elle était disposée à se contenter des miettes de la table des enfants. Et, ô Dieu, c’est notre attitude en ce moment. Nous sommes disposés à servir à tout ce pour quoi Tu voudras nous utiliser, Père. Nous sommes entre Tes mains.
230      Je suis si content de savoir que le Dieu de l’Ancien Testament, qui a donné des visions, et qui a donné des signes et des prodiges, vit toujours aujourd’hui. Et le Ciel où ces gens désiraient tant aller, un jour, par la grâce de Dieu, nous aussi, nous y irons, parce qu’il s’agit de ce même Dieu, qui montre qu’Il est le même Dieu au milieu de nous.
231      Certains de ceux qui sont parmi nous ce matin, Père, sont malades et ont des besoins. Ils vont passer par une ligne de prière. Qu’ils ne viennent pas en disant : “Eh bien, je ne crois pas que Tu puisses me faire du bien. Je–je...” Seigneur, que ce ne soit pas leur attitude, mais, qu’en venant, ils se souviennent que Dieu a dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Tu l’as promis; Tu l’as dit.
232      Qu’ils viennent avec une sainte révérence, en croyant que dès qu’on aura prié et qu’on leur aura imposé les mains, qu’alors le Saint-Esprit va pouvoir descendre sur eux – comme cette chère soeur qui a écrit la question, qui disait que le Saint-Esprit avait presque terrassé son corps mortel sous l’impact d’un formidable baptême de Sa présence.
233      Que ce soit–que ce soit l’effet produit sur tous ceux qui viendront ce matin, Seigneur. Accorde-le. Qu’ils soient guéris. Qu’ils viennent en sachant, en sachant, sans l’ombre d’un doute, que Tu l’as promis et que Tu ne peux pas mentir, et que, dès que la lumière entre, l’obscurité et le doute se dissipent. Accorde-le, Père. Nous Te les confions maintenant, alors que nous prierons pour eux au Nom de Jésus. Amen!
234      Maintenant, que ceux qui veulent qu’on prie pour eux, de ce côté-ci premièrement, se mettent en ligne ici le long du mur, pendant que Teddy joue pour nous Le grand Médecin est proche maintenant. Avancez, directement par là, quelques-uns par ici.
Le grand Médecin...
235      Frère Neville. Continuez à vous mettre en ligne, venez. Nous nous placerons ici. Que toute l’église prie. Et Frère Neville et moi, nous serons ici ensemble; il fera l’onction d’huile, et moi, j’imposerai les mains aux malades, juste ici, à l’avant. Alors, maintenant, que tout le monde soit en prière.
236      Maintenant, qu’est-ce que nous faisons là? Nous venons oindre les malades et prier pour eux. Maintenant je vais vous citer les Écritures : “S’il y a des malades parmi vous, qu’on appelle les anciens de l’église, que les anciens les oignent d’huile et prient pour eux : La prière de la foi sauvera les malades, Dieu les relèvera; ceux qui ont commis des péchés, ils leur seront pardonnés. Confessez donc vos fautes les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris.”
            Maintenant, les autres de ce côté-ci, quand vous le désirerez, dès qu’on aura dépassé cette ligne, là, cet endroit, cette allée, venez vous mettre tout de suite derrière ceux-là. Maintenant, l’ancien de l’église, ici, fera l’onction d’huile et la prière. Moi, je prierai et j’imposerai les mains aux malades. Et maintenant, souvenez-vous, les amis, vous qui êtes dans la ligne de prière, c’est maintenant le moment pour vous de démontrer que vous avez foi en ce qui vous amène ici. Vous ne pouvez pas faire autrement que vous rétablir.
            Et je crois de tout mon cœur que c’est ce qui a gardé ma mère ici pendant tout ce temps (alors que c’est une femme âgée), c’est parce que je crois. Tant qu’Il ne me le dira pas (il se peut qu’elle soit mourante), mais tant qu’Il ne me le dira pas, moi je prends par la foi qu’elle n’est pas mourante. Voyez? Bon, je sais qu’elle devra s’en aller, et qu’elle est assez âgée pour s’en aller, et qu’elle veut s’en aller, et qu’elle essaie de s’en aller. Mais pourtant je–je continue à croire qu’Il me le dirait. Là je crois qu’Il me le dirait, vous voyez. Il se peut aussi que non. Je ne sais pas. Je ne sais pas s’Il le fera, mais je crois qu’Il le fera. Voyez? Mais, jusqu’à maintenant, Il ne m’a rien dit à ce sujet. Et je le crois. Et si vous, tous les jours, vous...
237      Je n’exprime pas aux gens tout ce qu’Il me montre, vous savez ça. Eh bien, hier, j’étais à un certain endroit, et j’ai vu en vision exactement ce qui allait se passer, et Dieu sait que c’est vrai, et j’étais assis avec deux ou trois autres hommes. Environ une demi-heure plus tard, j’ai vu la chose arriver parfaitement, exactement telle quelle. Je suis resté là, je tremblais intérieurement en y réfléchissant. Voyez? Peut-... Je me suis dit : “Peut-être que j’aurais dû leur dire que cela allait arriver comme ça.” Mais je me suis dit : “Bon, laisse tomber, tu vois.” Voyez?
238      Et ça arrive tous les jours, vous voyez. Quelque chose qui va arriver – je laisse. Dieu sait que c’est vrai. Voyez? Quelque chose qui va arriver, tout simplement, Il le montre, Il le dit. Quelque chose apparaît devant moi, et Il dit : “Dis seulement cette parole, comme ceci, et telle chose va arriver par ici.” Et alors, je le dis : “Eh bien, qu’il en soit ainsi.” Ensuite j’observe, et la voilà, ça y est. Voyez? Oui.
239      Eh bien, s’Il peut faire en sorte que des objets – de la matière, une chose qui n’a aucune vie en elle – réagissent à Sa Parole parce que nous l’avons prononcé, à combien plus forte raison peut-Il le faire avec vous, qui vous êtes associés à moi. Vous êtes avec moi, vous êtes mon–vous êtes mon frère et ma soeur qui sont malades. Alors, si nous disons ces mots : “Que la puissance de Dieu guérisse cette personne”, voyons, cela va forcément arriver. Or la matière, elle, ne peut pas dire : “Non, j’en doute.” Elle va obéir, un point c’est tout. Par contre vous, vous pouvez dire : “Eh bien, je me demande”, et la chose n’arrivera pas, vous voyez. Mais, si vous allez de l’avant et que vous restez bien aligné sur votre idée, là : “Je serai guéri”, vous allez forcément recevoir cela. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
240      Maintenant prions tous. Notre Père Céleste, nous imposons les mains à cette jeune femme, à cette jeune mère debout ici, qui souffre de ce mauvais rhume. Que le...
241      [Espace.non.enregistré.sur.la.bande, pendant que Frère Branham et Frère Neville continuent à prier pour les malades.–N.D.É.]
242      Donc, je Te prie de guérir les gens sur lesquels ces mouchoirs seront posés. Accorde-leur leurs requêtes. C’est au Nom de Jésus-Christ que je le demande. Amen.
243      Je vous suis profondément reconnaissant d’être restés, et de la loyauté dont vous avez fait preuve en restant tout ce temps, et en attendant dans l’église, comme ceci, pendant que nous... Mais je ne connais pas de meilleur endroit où se trouver, pas vrai, que dans l’église? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Je ne connais vraiment pas de meilleur endroit où se trouver. Et le réconfort que nous recevons en ayant égard au fait que Dieu, qu’Il est présent en ce moment.
244      Et nous allons simplement, pendant un instant – simplement, pensons à Sa grandeur et à ce qu’Il a fait pour nous. Qu’aurions-nous pu faire sans Lui? Alors que nous L’avons vu, et qu’il n’y a pas une seule chose qu’Il ne nous ait dite au moyen de ceci : Il m’a donné des visions, et je vous pose la question ce matin – en avez-vous vu une seule qu’Il n’ait pas accomplie? Exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait, et au moment précis. Alors, Il est Dieu. Alors, Il est notre Père. Il nous aime. Et où que soit Son Ciel, nous savons que nous irons là-bas un jour, c’est sûr. Nous savons qu’Il est présent ici en ce moment. Nous en sommes conscients.
245      Nous–nous regardons aux choses que nous ne voyons pas. Maintenant on a prié pour beaucoup d’entre vous, et, vous voyez, là nous rejetons tout symptôme, tout ce qui serait en contradiction avec cela. Voyez? Tout ce que Dieu a promis, vous voyez, le Chrétien ne regarde pas... De toute manière, on ne voit pas avec les yeux. Vous le savez. On ne voit pas avec les yeux. On voit avec le cœur. Voyez? Voir veut dire “comprendre”. On comprend avec le cœur – par conséquent, nous regardons aux choses que nos yeux ne voient pas. Voyez? La confession chrétienne, toute l’armure du Christianisme repose là-dessus. Nous–nous regardons aux choses que nous ne voyons pas; en effet, Abraham a appelé les choses qui n’étaient point, comme si elles étaient, parce qu’il a cru à Dieu. Voyez?
246      Alors, maintenant, qu’est-ce que nous faisons? Maintenant, quand on a prié pour vous, comme ça, alors Dieu a promis de vous guérir. Et, en ce moment, il se peut que vous ne sentiez pas le moindre changement, mais Il n’a jamais... Ça, ça n’a rien à y voir, rien du tout. Voyez? Nous le croyons quand même.
247      Si vous saviez : je suis venu à la chaire il y a environ deux heures, et je pensais presque ne pas pouvoir arriver à la moitié de la réunion. J’étais si fatigué, si épuisé, et j’avais l’impression de couver une grippe, mais maintenant je me sens bien, parce que j’ai dit : “C’est mon devoir envers Dieu. Je crois à Dieu.” Et j’ai dû combattre ça. Ma femme, là, pourrait vous dire la même chose : quand j’ai essayé de venir ici ce matin, j’étais enroué et tout. J’ai dit : “Comment vais-je y arriver?” Mais, honnêtement, maintenant je me sens merveilleusement bien. Et je–je crois que je pourrais prendre mon sujet et me mettre à prêcher, et–et vraiment, je me sens bien.
248      Mais, c’est que, vous voyez, il faut regarder aux choses qu’on ne voit pas avec les yeux. On les voit avec le cœur. On y croit, et on témoigne de ces choses qu’on ne voit pas mais qu’on croit. Parce que la foi, c’est ça. “Et la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.”
249      Ce matin, j’observais un jeune Chrétien assis ici devant moi. Et je suis au courant d’une décision que cette personne a prise. Et j’apprécie vraiment ça. Je ne dirai pas qui c’est, mais je–j’apprécie une–une décision qu’a prise ce Chrétien; peu importe, qu’il s’agisse même d’un associé, d’un ami, d’un père ou d’une mère, ou de qui que ce soit, il désire ardemment rester fidèle à Christ. Voyez?
250      C’est comme ça qu’on gagne un bien-aimé, c’est en étant fidèle. C’est en étant fidèle qu’on gagne ses bien-aimés. Maintenez votre conviction. Soyez sûr que vous êtes en règle avec Dieu, et ensuite ne bougez plus de là. Tenez-vous-en strictement à ça. Rien ne pourra jamais vous faire broncher, si vous vous en tenez strictement à ça.
251      Maintenant, nous allons tous faire des erreurs. Souvenez-vous-en. Et quand vous vous considérez les uns les autres, ne regardez pas l’erreur de l’autre. Vous voyez, ne faites pas ça, parce que, souvenez-vous, vous aussi, vous faites des erreurs. Mais regardez à Christ, qui guide cette personne. Et si elle a besoin d’aide, alors priez pour elle. C’est–c’est comme ça que nous marchons dans l’harmonie, vous voyez, en priant. Et souvenez-vous, quand vous priez pour quelqu’un d’autre qui a des ennuis, Dieu vous honorera et vous guérira, vous, quand vous priez pour quelqu’un d’autre. C’est vrai. C’est la base du Christianisme : s’entraider, s’assister mutuellement, être gentils les uns avec les autres, se comprendre mutuellement. Alors, si vous voyez l’erreur de votre prochain, si vous voyez que des gens ont fait fausse route, ne faites pas fausse route avec eux, mais priez simplement pour eux. Continuez simplement à prier, et Dieu comprendra. Il rectifiera tout.
252      Maintenant, j’espère, si c’est la volonté du Seigneur – je crois que Billy a un système, il envoie une carte à tout le monde. Et si maman va mieux cette semaine; pour autant que nous sachions, là, nous ne sommes pas sûrs, mais, si maman va mieux cette semaine, et tout, dimanche prochain, je–je voudrais apporter un–un Message évangélique. Si ça ne dérange pas notre–notre précieux pasteur ici. Et nous espérons que vous reviendrez, si vous le pouvez. Si vous pouvez venir, nous serons contents que vous soyez parmi nous.
253      L’aimez-vous de tout votre cœur? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] N’est-Il pas merveilleux? Que pourrions-nous faire sans Lui? Maintenant, que pourriez-vous faire? Pourriez-vous m’indiquer quelque chose qui soit plus glorieux? Si vous pouvez me montrer quelque chose qui soit plus glorieux que ça, alors je–je–je vendrai tout ce que j’ai, et je désirerai ardemment la chose que vous m’aurez montrée, qui serait plus glorieuse que Ceci. Oui monsieur. Ceci est la chose la plus glorieuse que je connaisse : de savoir avec assurance que nous sommes sauvés, de savoir que le Dieu même qui a fait les cieux et la terre a bien voulu S’abaisser, descendre habiter parmi nous, et nous porter assistance.
254      Maintenant, voici comment nous savons si nous sommes dans le vrai ou pas, vous voyez : c’est que la chose même qu’Il a faite au commencement, avec les Chrétiens de cette époque-là, – la même église, le même fonctionnement, la manière dont le Saint-Esprit a agi et la manière dont le diable les a combattus, et la manière dont ils se sont tenus debout, – c’est la même chose qui se produit ici même, avec les mêmes signes, les mêmes prodiges, le même Dieu, la preuve infaillible que c’est Lui.
255      Dites-moi, d’après ce que déclare la science, dites-moi, de manière scientifique, comment quelqu’un pourrait prédire quelque chose qui arriverait dans les années ou dans les temps à venir – avant que la chose arrive. Montrez-moi la puissance, où qu’elle soit, qui pourrait connaître cela d’avance, avant que la chose arrive. Dites-moi quelle intelligence humaine pourrait sonder quoi que ce soit, montrez-moi par quel moyen on pourrait voir quelque chose et prédire quelque chose qui arrive exactement tel–tel quel. Voyez? Il n’y en a aucun.
256      Donc, Il est Dieu. Vous voyez, Il est Dieu. Et parce qu’Il est Dieu, par Sa grâce Il vient habiter parmi nous, et exactement comme Il l’avait fait à cette époque-là, avec ces hommes qui ont prédit ces choses, et chacune d’elles est arrivée exactement comme elle avait été prédite. Maintenant, ce même Dieu est avec nous, prédisant et faisant exactement les mêmes choses que ce qu’Il avait fait à cette époque-là. Eh bien, nous devrions être tellement heureux, au point de sauter, pour ainsi dire, de nuage en nuage, comme ça, de marcher dans l’espace, presque, parce que nous savons.
257      Nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie. Nous savons que nous avons le salut. Nous savons que nous sommes Chrétiens. Et nous savons que nous irons au Ciel, parce que Dieu a fait la promesse, et Il est ici, continuant à avancer avec nous, et de manière que nous puissions Le voir.
258      Nous Le voyons. Comment est-ce que je Le vois? Quand je vous vois. Vous Le voyez en moi; je Le vois en vous. Vous voyez, je vois ce qu’Il fait pour vous. Tenez, ici, je Le vois ici me révéler la Parole. Vous dites : “Comment pouvez-vous Le voir en moi?” Eh bien, regardez, Il est ici, en train de me révéler la Parole. Je La vois là-bas : Il vous La donne et vous La gardez. Voyez? Ensuite vous regardez en arrière et vous dites : “Comment a-t-il, comment est-ce que ça a pu arriver?” Ensuite vous revenez et vous constatez que c’est bien vrai, vous voyez. Donc, vous Le voyez en moi; je Le vois en vous.
259      Et nous Le voyons dans le lever du soleil. Nous Le voyons dans le coucher du soleil. Nous Le voyons dans les fleurs. Nous Le voyons dans... Nous Le voyons partout, parce que nous sommes passés des éléments inférieurs de la condition terrestre à cet élément élevé, de la gloire de Dieu, qui nous permet de voir Sa beauté.
260      Il y a quelques jours, quand j’étais en voyage là-bas, à–à, sur la route de l’Alaska, quand j’allais faire une partie de chasse, j’étais là à me poser des questions : “Pourquoi? Pourquoi?” Regardez comme–comme Dieu est réel. Pourtant, il y a des malades partout, mais Dieu, qui savait.
261      Bon, demain, je suis censé partir, Frère Roy là-bas, au fond, et nous tous, nous sommes censés partir demain pour le Colorado, pour notre... tous les automnes, nous allons là-bas à la chasse, où nous... je suis rentré des réunions pour y aller. Mais je ne peux pas y aller à cause de maman, de l’état de maman.
262      Maintenant regardez la bonté du Saint-Esprit. Il savait ça depuis très longtemps. Alors, au lieu de me laisser y aller, voilà qu’Il m’a donné une vision et m’a envoyé là-bas, Il m’a donné un genre de partie de chasse que je n’aurais pas pu avoir dans le Colorado, vous voyez, parce qu’il n’y a pas d’animaux comme ça dans le Colorado. Voilà qu’Il m’a donné ça, par vision, Il m’a permis d’avoir ça, sachant qu’Il allait devoir me priver de ce voyage-là, dans le Colorado. Vous parlez de bonté et de miséricorde! Eh bien, alors, pourquoi? Alors, il y a très longtemps, Il savait que ma mère allait souffrir. Il savait que ma mère allait être à l’hôpital. S’Il le permet, alors Il le fait dans un bon but, que moi j’ignore. Mais je sais que tout ça “concourt au bien de ceux qui aiment le Seigneur”.
263      Si de temps à autre, nous prenions le temps de nous arrêter, église, pour voir notre Dieu! Arrêtez-vous, détachez-vous de vos contrariétés, et restez tranquilles quelques minutes dans la Présence de Son Esprit, alors vous pourrez Le voir agir partout. Vous voyez comme Il est bon?
264      Maintenant, maman est alitée là-bas, et moi je me pose des questions à son sujet. Pourquoi ne l’a-t-Il pas laissée s’en aller quand elle a eu l’attaque? Pourquoi n’est-elle pas morte à ce moment-là? Mais, vous voyez, Il savait ça à l’avance, et Il savait que j’avais promis de... que j’allais partir dans le Colorado, et Il savait que j’aime aller dans les bois, comme ça, alors, voilà qu’Il m’a donné quelque chose d’encore mieux. Il m’a envoyé là-bas, et Il m’a dit ce que j’allais attraper, et tous les détails, avant même que je parte. Il m’a dit comment les gens seraient habillés, ce que nous ferions, et tous les détails. Ensuite je suis venu vous le dire, à vous. Et puis lui, il se retrouve là-bas et voit la chose arriver, il revient, c’est exactement comme ça. Exactement, vous voyez, sachant que maman serait là-bas, sachant qu’elle–qu’elle aurait des problèmes de santé en ce moment, et que je ne pourrais pas faire cet autre voyage. Voyez? Nous ne compren-... Moi-même, je ne l’ai pas compris à ce moment-là. Mais si on s’abandonne simplement à Lui et qu’on L’observe bien, Il dirige tout de façon parfaite. Vous voyez, Il arrange tout, pour que la chose se déroule bien, étape par étape.
265      L’autre jour, j’étais près d’un jeune ministre qui avait eu des songes, et il m’avait présenté ces songes. Quand l’interprétation est venue, nous étions là, Billy et moi avec ce ministre, nous étions là ensemble. Et voilà, c’était ça. Mais, c’était absolument parfait. Et cet homme est resté dans–dans–dans l’émerveillement, et de voir que le Saint-Esprit avait pu révéler ces choses, et le ramener directement là, montrer exactement, en chemin, où ces choses devaient se produire. Oh, je vous le dis, Il est Dieu. Il–Il habite... Il est Dieu.
266      Donc, beaucoup d’entre vous ont fait des sacrifices. Vous avez renoncé à votre petit ami ou à votre petite amie, vous avez renoncé à vos foyers et tout, et beaucoup d’entre vous ont dû se séparer de leurs associés et de leurs amis, et tout ça, de vieux amis que vous connaissiez depuis longtemps, afin de marcher dans la voie du Seigneur. Je vous félicite pour ça. Je trouve que c’est formidable de faire ça. Maintenant, parce que vous avez vu la Lumière de l’Évangile, et que C’est là la Vérité, alors vous êtes, vous allez marcher dans cette Lumière. Et quoi que vous fassiez, mes enfants, quoi que vous fassiez, où que vous alliez, fuyez l’apparence du mal et marchez en suivant Christ. Tant que vous vivrez, restez toujours sur ce chemin. Ne le quittez pas; ce sera grandement récompensé, ça, c’est certain. C’est la Vie Éternelle.
267      Et je vois maman, alors que, chaque fois qu’elle... que pendant quelques minutes elle reprend conscience. Je dis : “Maman, maman, est-ce que tu m’entends?” Parfois elle reste étendue là, rien. Puis, un moment plus tard, elle dit : “Hah”, en secouant la tête comme ça. Je dis : “Est-ce que tu...” J’ai dit, l’autre soir, j’ai dit : “Maman, est-ce que tu me reconnais?” Elle ne me reconnaissait pas. J’ai dit : “Sais-tu qui est là?” Non, elle ne savait pas. J’ai dit : “Maman, connais-tu Jésus?” Et elle... Oh! la la! Il se peut qu’elle oublie son propre enfant, mais elle ne peut pas oublier Jésus. C’est ça. Oh, frère!
268      Vous ne savez pas ce que cela représente, avant d’avoir à en venir là, que ça touche votre propre famille, vous voyez. Le connaître Lui, c’est la Vie. Le connaître Lui, c’est la satisfaction de savoir qu’une fois la course de cette vie terminée, nous avons une Demeure là-bas, au-delà du ciel. Ce que c’est, je ne sais pas. Je ne sais pas vous exprimer ce que ce sera, parce que je ne le sais pas moi-même. Mais je sais qu’un jour, par la grâce de Dieu, nous partirons Là-bas.
269      Priez pour moi cette semaine. J’en ai besoin. Et là, priez pour moi, je prierai pour vous. Si le Seigneur le veut, s’Il le veut, je vous retrouverai dimanche prochain. Et souvenez-vous du service de ce soir. C’est possible – si je n’ai pas besoin de veiller ce soir, ou de faire quelque chose d’autre, d’être là-bas avec maman, je serai probablement de nouveau avec vous ce soir.
270      Et maintenant, Frère Neville, notre précieux pasteur, viens ici. Et certainement que je... Il n’y a ici que les habitués, vous savez. Nous sommes tous, comme on dit, les habitués. J’apprécie la position de Frère Neville en faveur de cette Vérité de l’Évangile. J’apprécie sa loyauté et sa sincérité devant les gens. Et l’autre jour, quand il parlait; je n’avais jamais remarqué ça, mais pendant qu’il était sous l’inspiration, en train de donner une prophétie, il m’a appelé un prophète, sous l’inspiration. Ce n’est pas lui qui m’a appelé comme ça à ce moment-là, c’est le Saint-Esprit. Alors ça m’a donné du courage et de la foi pour aller de l’avant vers de plus grandes profondeurs et des hauteurs plus élevées avec Dieu. Je t’apprécie, Frère Neville. Que Dieu te bénisse à jamais. Et jusqu’à ce que je vous revoie, que Dieu soit avec vous.